Coleman, Emma Lewis. (1925) New England Captives Carried to Canada Between 1677 and 1760 During the French and Indian Wars, Volume One. Portland Maine: The Southworth Press. Page 97.
Coleman, Emma Lewis. (1925) New England Captives Carried to Canada Between 1677 and 1760 During the French and Indian Wars, Volume One. Portland Maine: The Southworth Press. Page 98.
Ci-dessus traduction libre : [Page 97 et Page 98]
Claudius Petitpas, 1720.
C'était un service personnalisé pour lequel Massachusetts offert sa meilleure récompense. « En considération du tendre égard que le pétitionnaire a montré à divers captifs anglais à la fin de guerre des Indiens, non seulement les soulager les secourir quand le besoin était là, mais de les acheter des Indiens ennemis à ses propres frais et charge et les mettre à liberté; ce qui fut certifié par diverses personnes de bonne Réputation » il a été décidé de le payé cent livres, et « Qu'un de ses fils soit préparé et amené au Collège de Harvard pour quatre ans à la charge du Gouvernement, et que M. le Président Leveret soit demandé de prendre la charge de son éducation. »59 L'homme était un Acadien qui avait prêté le serment d'allégeance à la Grande-Bretagne en 1695, marié à une Indienne Micmac, il était un ami précieux ainsi qu’interprète. Il est intéressant de noter qu'aucun Petitpas était à Harvard, mais une lettre envoyée de Québec à Versailles en 1722 60 nous informe que Barthélemy, fils de Claudius, était à Boston pour trois ans, il est l'intention du gouvernement de faire un pasteur de lui pour qu'il puisse apporter les Micmacs à l'allégeance anglaise et la religion des anglais; mais M. de Saint-Ovide61 a trouvé un moyen de prendre le jeune homme des Anglais et l'attirer à Québec, où ils voulaient faire un prêtre de lui, mais il a préféré être un pilote et pour garder plus en sûreté, il fut envoyé en France pour apprendre sa leçon de navigation.62 Il était encore une fois à Boston comme pilote, mais il était en prison à Boston. En 1747, le Gouverneur Shirley justifiait ceci parce que son père « un sujet fidèle . . . avait reçu des marques de faveur . . . et par conséquent son fils n'avait pas le droit de secouer son allégeance et aller dans le service du Roi français, donc, » Shirley continue, « j'ai eu un droit incontestable de le retenir, mais sa mort doit mettre fin à n'importe conflit à son propos. »63 Drake64 l'appelant l'interprète Indien (il avait été officiellement nommé par la France en 1732), dit que tous les rançons pour lui ont été refusées et ils « l'ont finalement mis à mort, » mais aucune preuve de ceci n'a été trouvée. D'après les enregistrements du Conseil, nous savons qu'il a été pilote du Vigilant, qui a été capturé en mai 1745, et fut emprisonné comme « une personne dangereuse. »
59 Prov. Laws, IX, 676, en date du 30 juin. 60 Vaudreuil et Bégon au Conseil de la Marine N. Y., Docs. IX, 912.
61 Gov. de l'île Royale. 62 Can. Arch., 1904 34- 63 Que. Docs., III, 379·
64 French and Indian Wars, p. 43.
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