Extrait hyper lié vue de la ville et le fort d'Annapolis Royal et de la baie avec plusieurs bateaux à voile environ 1755. L‘expression « Les Nommés Petitpas » a été inclus en texte fantaisie dans cette image qui est des Archives Canada-France à Bibliothèque et Archives Canada (BAC).

TABLE DES MATIÈRES

  1. Introduction de sujet
    L’année 2004 marquait le 400e anniversaire et la célébration de la fondation de la colonie française de l’Acadie en Nouvelle-France. L’année 2008, marquait le 400e anniversaire et la célébration de la fondation de l’établissement des Français dans la colonie du Canada en Nouvelle-France. Salutations aux « acadiens/acadiennes » et « canadiens/canadiennes » de l’ère coloniale.
    Plusieurs fois, la domination de l’Acadie a basculé entre la Grande-Bretagne et la France. En 1713, cette domination oscillatoire fut arrêté par le Traité d’Utrecht (31 mars-11 avril 1713). La signature de ce traité termina la guerre de Succession d’Espagne connue en Amérique du Nord sous le nom de la guerre de la Reine Anne. La France céda l’Acadie (maintenant nommé la Nouvelle-Écosse) et a retenu la possession de l’Île Royale (maintenant l’Île du Cap Breton). Après le 11 avril 1713, l’une des conditions du traité précisait que toute personne vivant et résidant sous la dominion de la Grande-Bretagne, peu importe son héritage, devait obéir aux lois de la Grande-Bretagne. Les Français n’ont pas complètement abandonné les Acadiens en signant le traité d’Utrecht; une clause leur permettait de se relocaliser dans d’autres colonies françaises. Heureusement, certains Acadiens ont émigré à la nouvelle colonie française située sur l’Île Royale avant le grand exil (« dérangement ») de 1755. Il se trouve cependant que ce lieu n’était pas un lieu de résidence tout à fait sécuritaire pour les Acadiens. En 1763, la France, par le traité de Paris a cédé toute la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne. L’exception était Saint-Pierre et Miquelon. Ainsi, beaucoup de noms géographiques en Acadie furent renommés. Baye Françoise a été renommé Baie de Fundy. D’autres lieux pertinents au présent discours sont Port Royal/Annapolis Royal, Canceau/Canso et Port Toulouse/St Peters. Île Saint Jean devint la province de l’île du Prince Édouard.

    Le Croquis suivant illustre la perception française des lieux relatifs à cette époque :Table

    Croquis qui montre une partie du Canada, Accadie, Île Saint-Jean, île Royale, Baye Françoise, Chedabouctou, Canceau, l'île Madame, Port Toulouse, Louisbourg, Port Dauphin et l'océan Atlantique

    L’appellation « les nommés Petitpas » est la façon que le régime français identifiait cette famille aux 17e et 18e siècles.
    Surtout, cette présentation contient et se réfère à des copies de documents originaux. Il a été compilé pour illustrer et avec espoir que cela clarifiera les détails inexacts de deux biographies dans le Dictionnaire biographique du Canada / Dictionary of Canadian Biography. Ces biographies erronées sont pour Claude Petitpas II et son fils aîné Barthélemy Petitpas. La biographie de Claude Petitpas II a été publiée en 1969 dans volume II de DBC/DCB. La biographie de Barthélemy Petitpas a été publiée en 1974 dans le DCB/DBC volume III.
    En outre, ces deux biographies sont disponibles électroniquement à BDC/DCB en ligne :

    Cette recherche expliquera également l’effet que le traité d’Utrecht de 1713 a eu sur Claude Petitpas II et ses premiers quatre fils sous la domination anglaise et française dans les colonies.

  2. La mort de Barthélemy Petitpas
    L’histoire de ce rapport de recherche débute par la révision d’une copie d’un document original déclarant la mort officielle de Barthélémy Petitpas. L’année est 1750 et le lieu de l’audience est à Louisbourg, situé à ce moment-là dans la colonie française de l’Île Royale (maintenant l’Île du Cap Breton). La guerre du Roi George (1744-1748) était terminée. Louisbourg qui avait été capturé pendant la guerre par la Nouvelle-Angleterre a été redonné à la France par le traité D’Aix-la-Chapelle.

    Le site de la bibliothèque et des archives du Canada (BAC) affiche deux copies digitales du documentB1 original manuscrit. Daté du 9 octobre 1750, ce document dit :

    « Jean Jacques Brunet, négociant et demeurant en cette ville, George Barbudeau, chirurgien résidant au havre du Saint-Esprit en cette isle de présent en cette ville, et Pierre Brisson, habitant de l'Ardoise, lesquels ont affirmé par serment que Barthelemy Petitpas, interprète des sauvages en cette colonie est mort dans les cachots des prisons de Baston, en Nouvelle Angleterre, au mois de janvier de l'année 1747, au quel temps les trois étaient prisonniers dans la dite ville. »

    Ce site contient également trois autres pages numérisées d’un documentB2 manuscrit original daté du 12 avril 1749. Celui-ci dit :
    « Gervais Brisset, oncle du côté maternel, a été choisi comme le subrogé tuteur de Jean, Pierre, Claude, Guillaume, Paul et Pelagie Petitpas, enfants issus de la communauté de Madelaine Coste, et de feu Barthelemy Petitpas, de son vivant, interprète des Sauvages de cette colonie. »

    Il paraîtrait, tel qu’indiqué par les documents ci-haut que le régime français était conscient, considérait et ou a déclaré la mort de Barthélémy Petitpas depuis au moins le 12 avril 1749. De plus, deux copies digitales à la BAC, démontrent que depuis 1747, le régime français avait pris connaissance de la mort d'un pilote nommé Petitpas. Ici-bas sont deux documents/lettres témoignant d’une correspondance entre William Shirleyc1, gouverneur du Massachussetts et Charles de BeauharnoisA3.

    Lettre de William Shirley à Charles de Beauharnois, 31 juillet 1747. Il est à souligner et à noter que l’homme Shirley est bel et bien le même William Shirley qui avec le Gouverneur actuel Charles LawrenceA4 de la Nouvelle-Écosse (Acadie), ont planifiés et ont coopérés l’Exil de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants acadiens par bateaux vers d’autres Colonies. De ce fait, des milliers subirent une mort effroyable. Également, cet homme est le même qui avait déclaré la guerre aux peuples Mi’kmaq et Malécite en 1944 avec la proclamation britannique de la prise du scalpP6.P1. Ces informations contextuelles illustrent de quelles façons le gouverneur pouvait traiter les peuples français et Mi’kmaq et comment celles-ci ont eu un impact négatif sur le sort de Barthélémy Petitpas. Apparemment dans cette lettre de trois pages, le Gouverneur William Shirley de l’état de Massachussetts (moins de 10 ans avant le grand exil), tentait de justifier ce qu’il avait fait à l’Interprète officiel des Indiens pour la France - Barthélémy Petitpas. L’extrait suivant (voir image 288v) est tiré du documentB3A de trois pages sur le Site en ligne de la BAC : P11.P8

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez BAC à propos de le pilote nommé PetitpasExtrait transcription libre : Le pilote dont M. Caylus m'a parlé dans sa lettre était un petit Pas [Petitpas] qui mourut avant que j'ai reçu la lettre; il était natif d'Accadie et y avait habité plus années après que les Accadiens furent devenu Sujets de sa Majesté par le traité d'Utrecht dans la famille de son père qui était un fidèle Sujet du Roy de la grande Bretagne, et avait reçu du governement des marques de faveur pour ses services, et par conséquences n'a point droit de manquer de fidelité pour le prince et d'entrer aux service du Roy de France. De sorte que j'ai eu doit de le retenir, quoique sa mort doit mettre fin aux disputes qui ses sont étoit à son sujet.

    Le susdit document à BAC est une traduction de la lettre du 31 juillet 1747 de Shirley. BAC a une transcription de la lettreB3B. de Shirley. Ci-dessous sont les extraits des folios de transcription (302v & 303) du pilote nommé Petitpas :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez BAC à propos de le pilote nommé Petitpas
    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez BAC à propos de le pilote nommé Petitpas

    Ci-dessus transcription libre : The pilot mention'd in Mr. Caylus's letter was one Petitpas who died before my receipt of it, and as to him he was a native of Accadie and an inhabitant there for several years after the Accadians became subjects to His Majesty by the treaty of Utrecht, in his father's family who was a faithfull subject of the crown of Great Britain, & had received marks of favour from this government for his services, & consequently his son had no right to throw off his allegiance and go into the french King's service, so that I had an undoubted right to detain him, however his death must end any disputes about him.

    On doit souligner que les Français et les Anglais exprimaient un désaccord en prétendant que Barthélémy était un sujet de leurs pays. Ceci suppose que Barthélemy Petitpas était en effet le pilote nommé Petitpas. La lettre transcrite du 31 juillet 1747 de William Shirley, gouverneur du Massachusetts, à Charles de Beauharnois est retrouvée à la page 379 du livre intitulé Collection de Manuscrits Relatifs à la Nouvelle-France Vol. IIID1. Plus loin, il y a plus d’informations concernant les documents de référence (CMRNF Vol. III) relatifs aux biographies de Claude II (page 38 - 39, 379) et de Barthélemy Petitpas' 379) sur le site du DBC. L’extrait suivant est tiré à page 379 de la collection sur le pilote nommé Petitpas :P15.P3

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez Google livres à propos de le pilote nommé Petitpas

    Ci-dessus transcription libre : The pilot mention'd in Mr. Caylus's letter was one Petipas [Petitpas] who died before my receipt of it, and as to him he was a native of Accadie and an inhabitant there for several years after the Accadians became subjects to His Majesty by the treaty of Utrecht, in his farthr's family who (?) was a faithfull subject of the crown of Great Britain, and had received marks of favour from this government for his services, and consequently his son had no right to throw off his allegiance and go into the french King's service, so that I had an undoubted right to detain him, however his death must end any dispute about him.

    Le 16 septembre 1747 – Copie de la lettre du Marquis de Beauharnois à William Shirley, gouverneur du Massachusetts. Les trois images numériques du document B4manuscrit original peuvent être visionnées sur le Site Web de la BAC. Apparemment, l’extrait suivant de cette lettre (Image 296v) est la reconnaissance de la mort de Barthélémy Petitpas par la France :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez BAC à propos de le pilote nommé Petitpas

    Ci-dessus transcription libre : La mort du nommé Petitpas éteint toute discussion entre vous et M. le Mgr de Caylus, je vous renvoye la lettre de ce général.

    Aucun enregistrement du patronyme Petitpas n’a été trouvé dans l’index descriptif du site Web - Archives en ligne du Massachusetts. Cependant, il peut être conclu à partir des documents ci-dessus que la France avait reconnu la mort de Barthélémy Petitpas.

  3. Barthélemy Petitpas, William Shirley et le Traité d'Utrecht
    Les historiens (de DBC en ligne) qui ont écrit les biographies Petitpas pour Claude II et son fils Barthélemy ne mentionnent pas le traité d'Utrecht (31 mars - avril 11, 1713).

    Ironie du sort, tel que mentionné précédemment, apparemment William Shirley a utilisé le traité d'Utrecht pour justifier la mort de Barthélemy Petitpas; cependant, ce dernier aurait dû avoir les droits d'après le traité en tant qu'Acadien et un Amérindien Indien Mi'kmaq. Il est peu probable qu'un homme comme William Shirley ne serait pas au courant de cela.

    Dans sa lettre datée du 31 juillet 1747, William Shirley a écrit que « les Accadiens furent devenu Sujets de sa Majesté par le traité d'Utrecht ». Depuis longtemps, Barthélemy et son père Claude II avaient émigrés à la colonie française l'île Royale (aujourd'hui - Cap-Breton). En façon tellement déraisonnable, comment pourrait-William Shirley déclarer Barthélemy Petitpas un sujet de la Grande-Bretagne ? La réponse à cette question est plus probable dans la traduction du document original du traité Utrecht du latin à l'anglais et William Shirley lui-même.

    Notre mémoire en ligne (NML) site Web montre les suivants concernant le traité d'Utrecht Article XIV :
    « XIV. It is expressly provided, that in all the said places and colonies to be yielded and restored by the most Christian King, in pursuance of this treaty, the subjects of the said King may have liberty to remove themselves within a year to any other place, as they shall think fit, together with all their moveable effects. But those who are willing to remain there, and to be subject to the kingdom of Great Britain, are to enjoy the free exercise of their religion, according to the usage of the church of Rome, as far as the laws of Great Britain do allow the same. »
    Ce documentE1 peut être vu sur le site Web du NML. Après avoir lu l'article XIV précèdent, quelqu'un pourrait soutenir l'argument de William Shirley en disant que Barthélemy ne s'était pas retiré de l'Acadie (Nouvelle-Écosse) dans l'année, alors il est devenu un sujet de Grande-Bretagne.

    Toutefois, le site Web du NML possède une traduction française complète du traité d'Utrecht. Le mot anglais « subject » en surbrillance ci-dessus dans la traduction anglaise, n'est pas le bon mot à utiliser car il pourrait porter à confusion. Aussi, si le mot domination est utilisé pour la traduction du latin à l'anglais comme le mot domination est utilisé dans la traduction du latin au français, puis l'article XIV prend une interprétation claire que les Acadiens qui ont choisi de rester en Acadie (Nouvelle-Écosse) après un an resteraient des sujets français. Il n'y a rien dans l'article XIV qui dit que les Acadiens qui n'allaient pas ailleurs dans l'année renonçaient étre sujets de la France et ils sont devenus sujets de la Grande-Bretagne.*2 Au moment de l’écriture de cet ouvrage, la version originale en latin du traité d'Utrecht n'a pas été repérée pour la comparaison et la vérification.

    Article XIV traduction libre :P3.P9 It is expressly agreed, that in all places and colonies that must be yielded or returned by the most Christian King, in accordance to this Treaty, the subjects of the said King will have the liberty to withdraw elsewhere within the time of one year with all their moveable things that they can transport where they so please; those nevertheless who would like to live and stay under the domination of Great Britain will enjoy the exercise of the Roman Catholic Religion as far as permitted by the laws of Great Britain.

    Comme indiqué, NML site Web dispose d'un documentE2 avec l'article XIV en français qui a été utilisé pour traduire le dessus ou consultez le ci-dessous extrait :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne français à NML de l'article XIV du Traité d'Utrecht de 1713

    Un manuscrit français de Article XIVF1 copie du document est disponible à Archives Canada-France Site Web ou consultez le graphique extrait ci-dessous :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne français à Archives Canada-France de l'article XIV du Traité d'Utrecht de 1713

    Aussi, sur le site Web d'Archives Canada-France, il y a l'ÉditF2 de la Reine Anne de la Grande-Bretagne pour les Acadiens daté du 23 juin 1713, et la ProclamationF3du 19 avril 1720 de Richard Phillips, le gouverneur de la Nouvelle-Écosse pour les Acadiens en leur disant de prêter un serment d'allégeance au roi de la Grande-Bretagne ou de quitter la province. La Reine Anne de la Grande-Bretagne se réfère aux Acadiens qui resteraient en Nouvelle-Écosse comme ses (de la Grande-Bretagne) sujets dans l'Édit du 23 juin 1713.
    Comme indiqué ci-dessus, le mot « sujets » (subjects en anglais) n'est pas précisé relative à la Grande-Bretagne à l'article XIV du traité d'Utrecht (Voir l'article XIV traduit librement, P3.P6). Le site Web 1755 L'Histoire Et Les Histoires de le Centre d'Études acadiennes de l'Université de Moncton a une transcriptionc2 de (de la lettre) l'Édit.

    Cette recherche n'a trouvé aucun amendement de l'article XIV du Traité d'Utrecht.

    Par la suite, à l'écrit ci-dessus (voir P3.P5*2) une version latine avec la traduction anglaise du traité d'Utrecht l'article XIV a été trouvé sur l'Internet.
    Le documentH8 peut être consulté et téléchargé à partir de l'Université Memorial de Terre-Neuve site Web « Memorial University of Newfoundland - Digital Archives Initiative ». Voici un extrait de la page 74, l'article XIV avec la traduction du latin à l'anglais :

    Extrait hyper lié des Archives numériques à l'Université Memorial de Terre-Neuve. C'est l'article XIV du Traité d'Utrecht de 1713 en latin avec une traduction en anglais

    Après l’examination de l’article XIV en latin ci-dessus, on constate l’utilisation du mot ſubeſſe = subesse (Notez : Les lettres qui ressemblent à la lettre F dans le mot « ſubeſſe » sont les anciennes longues lettres romaines « s » ). Subesse signifie « to be under » en anglais. Le mot anglais « under » traduit comme « sous » qui est le mot traduit dans la version latine au français de l’article XIV du traité d'Utrecht. Dans l’article XIV anglais le mot latin subesse a été traduit par l'expression « to be subject to » au lieu de l'expression « to be under »
    (Notez : « sub = under » et « esse = to be » qui signifie en anglais « to be under » et « sub = sous » et « esse = être » qui signifie « être sous » (to be under) en français). Si le mot latin subesse aurait été traduit par l'expression to be under, cela aurait abouti la traduction du latin à l'anglais comme : « But those who are willing to remain there, and to be under the kingdom of Great Britain » dans l'article XIV anglais. Vraiment, l’article XIV latin ci-dessus vérifie que le mot sujets n’est pas mentionné en ce qui concerne la Grande-Bretagne dans l’article XIV du traité d’Utrecht. Le mot latin « subditi » qui signifie sujets (subjects) en anglais et sujets en français apparaît seulement une fois concernant (le roi très chrétien) les sujets du roi français. Le mot latin « Regno » traduction en anglais est correctement « Kingdom ».

    Ce qui pourrait tromper est l'utilisation de « subject » en tant que mot mal traduit comme décrit est qu'il peut être mal interprété et sorti de son contexte. En d'autres termes, l'utilisation du mot « subject » mal traduit en anglais dans l’article XIV peut être mal interprété en donnant l'impression de quelqu'un qui interprète cette phrase comme : « But those who are willing to remain there, and to be subject[s] to the Kingdom of Great
    Britain, ».

    Avoir un « s » à la fin du mot « subject » indiquerait que ceux qui n'ont pas quitté le territoire pendant la première l'année auraient renoncés étre sujets de la France et ils sont devenus sujets de la Grande-Bretagne.

    La déclaration précédente n'est pas un tel point extrême ou un scénario hypothétique irréaliste. En fait, plusieurs sites Internet ont été trouvés et avaient écrit le mot « subject » dans sa forme plurielle « subjects » dans leurs versions citation totale ou partielle de l'article XIV. Certains des Sites Web sont destinés à des forums informatifs, historiques et généalogiques pour les Acadiens et Cajuns. En outre, il convient de noter que, dans certaines (aujourd'hui) traductions juridiques en anglais du mot « subesse » a évolué de façon incorrecte pour signifier « subject to ».

    Un autre livreD11 que le titre numérisé par Google est : « Latin Synonyms, With Their Different Significations: And Examples Taken From The Best Latin Authors ». L'auteur s'appelait Jean-Baptiste Gardin Dumesnil. Son livre fut publié par G.B. Whittaker à Londres en 1825. Il confirme que dans la langue anglaise, le mot latin « subesse » traduction ou signification est « to be under ». Ci-dessous est un extrait du livre :

    Hyperlinked excerpt from an Online document at Google books

    Au surplus, le site Web Google TraductionD12 pour les mots latins « subditi » et « subesse » sont conformes aux traductions recherchées ci-dessus :

    Avant cette mise à jour comme indiqué plus haut, et en conclusion après avoir examiné la disposition latine article XIV du Traité d'Utrecht :

    • La reine Anne (16650206 - 17140801) de la Grande-Bretagne dans l'Édit date du 23 juin 1713 se réfère à ceux qui voudraient rester en Acadie et Terre-Neuve comme nos (de la Grande-Bretagne) sujets. Il n'ya rien dans l'article XIV qui dit que les Acadiens qui sont restés sur le territoire après la première année auraient renoncé eux-mêmes comme étant des sujets de la France et seraient devenus sujets de la Grande-Bretagne. De plus, l'article XIV ne dit pas que les Acadiens qui n'ont pas quitté perdraient leurs biens.P4.P1
    • Aussi rien n'a été trouvé dans le traité d'Utrecht de 1713 a déclaré que les Acadiens ont dû prêter un serment d'allégeance à sa Majesté ou la Grande-Bretagne s'ils ne quittaient pas après un an. Cela est très surprenant et semble contradictoire de la Proclamation du 19 avril 1720 par Richard Phillips, le gouverneur de Accadie (Nouvelle-Écosse) de sa Majesté le roi George. Dans un extrait de la Proclamation il indique :

    Extrait hyper lié des Archives Canada-France au BAC de la proclamation du 19 avril 1720 par Richard Phillips, le gouverneur de Accadie (Nouvelle-Écosse) de sa Majesté le Roi George.

    Ci-dessus transcription libre : que quoy que les dits Habitants Francois ayent par leur Obstination ou Negligence escoulé le tems, Stipulé pour eux dans le Traité de Paix conclu a Utrecht pour prester le dit Serment ou se retirer de ce pays avec leurs effets

    En plus de cette recherche, de nombreux documents en français après la signature en date du traité d'Utrecht ont été examinés à propos les nommés Petitpas. Ces documents ont été générés en raison de l’interaction des nommés Petitpas avec l'autorité française. L'Autorité française a mentionné les nommés Petitpas parfois comme mauvais françois ou mauvais sujets mais jamais en tant que sujets de Grande-Bretagne. Il n'a pas n'importe où les nommés Petitpas vivaient. Si M. Saint-Ovide, le gouverneur de l'île Royale pensait que Claude Petitpas II (quand il a vécu en Nouvelle-Écosse après le Traité d'Utrecht) ne vivait pas en accord avec ses espérances, M. St Ovide avait aucun problème d'envoyer l'autorité française de prendre le nommé Petitpas. Cela vaut pour le jeune fils de Claude II de même. Ceci sera exploré en détail plus loin dans cette présentation. Il existe deux enregistrements de captures tentées qui ont eu lieu à la fin de 1718 et 1719. Ceci sera abordé en profondeur ci-dessous à la P16.P2 et P16.P9. Cela s'est passé après que le nommé Petitpas avait annoncé à l'autorité française qu'il était dans cet endroit sous la domination angloise. Le site Web officiel de recherche pour la forteresse de Louisbourg avait un résuméG1 d'un enregistrement d'une lettre datée du 30 novembre 1717. BAC a une copie numérisée datée du 1er avril du documentB5 original de 15 pages concernant la délibération du Conseil. Il dit que quand à la pêche en territoire anglais comme la baye de Canceau, l'Autorité française a écrit que le nommé Petitpas a dit qu'il était dans l’endroit sous la domination anglaise. La déclaration se trouve sur le folio 18v et l'extrait suivant :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez BAC à propos de  Petitpas, ClaudeExtrait transcription libre : A Canceau pour avoir connaissance des habitants françois et anglois qui y sont établis et du commerce qui s'y fait, il lui a raporté [par capitaine de la Ronde] que les François sons au nombre de six qu'ils y font la pêche et peuvent avoir environ 100 matelots à leur service, le principal de ces habitants est un nommé Petitpas, Acadien, qui compte être dans cet endroit sous la domination des anglois, il commerce avec eux et son bateau est actuellement à Baston.

    Cela mène à la réalisation que la France considérait les Acadiens vivant en Acadie sous la domination anglaise comme étant sujets de la France. Les Acadiens sont restés comme tel selon la traduction française du traité d'Utrecht (1713) en tant que décrit précédemment. En d'autres mots, les Français n'ont pas cédé les Acadiens aux Anglais seulement le territoire de l'Acadie avec l'attente de loyauté chez les Acadiens. Enfin, cela a conduit à des actions barbares prises par la Grande-Bretagne et son armée coloniale en 1755 et a continué pendant de nombreuses années. C'était l'Exil massif des Acadiens connu sous le nom « Français neutres » de leur patrie. Le mot déportation n'est pas utilisé dans cette présentation pour décrire l'agonie des Acadiens. Ils n'étaient pas les étrangers en Acadie, ainsi le mot exil sera employé.

  4. Continuation de Barthélemy Petitpas, William Shirley et le Traité d'Utrecht
    P3.P19Le simple fait que la reine Anne se réfère aux Acadiens comme « nos Sujets » ses Sujets, n'a pas fait des Acadiens les Sujets de la Grande-Bretagne en termes juridiques. Elle aurait exigé un amendement au Traité d'Utrecht, qui aurait impliqué obtenir un accord du roi de France.

    Il n'est pas pensé que la reine Anne aurait écrit quelque chose (elle-même) sciemment pour induire erreur. Cependant, quelques-unes des semences ont été plantées avec son Édit pour donner l'apparence que les Acadiens étaient les sujets de la Grande-Bretagne s'ils ne quittaient pas en moins d'un an qui n'est pas indiqué dans le Traité d'Utrecht. Bien sûr, ce qui a aidé cette apparence était que dans la version anglaise de l'article XIV, le mot latin subesse a été traduit par l'expression « to be subject to » au lieu de l'expression « to be
    under ».

    Un certain nombre d'Acadiens étaient des gens instruits avec un savoir-faire et la plupart auraient su le latin et l'anglais. Par conséquent, l'article XIV du Traité d'Utrecht aurait été très clair pour eux qu'ils ne devenaient pas des Sujets britanniques après un an. C'est pourquoi ils sont restés en Acadie (Nouvelle-Écosse) et n'ont pas déménagé dans les autres colonies françaises de l'île Royale et au Canada. Aussi, les Acadiens auraient su qu'en donnant un serment inconditionnel ferait d'eux des Sujets britanniques.

    Les Acadiens n'étaient pas des Sujets britanniques ce point est soutenu légalement par l'article XIV du Traité d'Utrecht. En plus, ceci est aussi soutenu par les actions des Français, des autochtones et des Anglais au cours de la période de 1713 -1755. Et bien sûr, c'est soutenu par les actions de les Acadiens eux-mêmes.

    Les Acadiens et les Français ont lu et appliqué le traité d'Utrecht comme ils l'auraient vu à partir d'une traduction du latin au français. Bien sûr, les Anglais et sa force coloniale ont lu et appliqué le traité d'Utrecht comme ils l'auraient vu à partir d'une traduction du latin à l'anglais. On peut seulement imaginer les gouverneurs français et anglais colonial dans leur esprits, arguant sur les territoires contestés (non il dit que... – vous avez tort, il est dit que...).

    Comme dit précédemment, le mot « subject » ne doit pas être écrit au pluriel (comme
    « subjects » en ce qui concerne l'expression « and to be subject to the Kingdom of Great Britain ») car il modifie considérablement le contexte de l'article XIV. Peut-être que l'origine de l'erreur a commencé comme une erreur d'écriture ancienne et/ou dans des temps plus récents comme une faute de frappe. Toutefois, un fait surprenant a été découvert par une recherche Web sur Google. L'expression de recherche avec l'opérateur de recherche avec des guillemets anglais était : « "to be subjects to the kingdom of Great Britain" ». Un bon nombre de résultats des sites trouvés avait cette phrase incorrecte. Bien sûr, le « s » à la fin du mot anglais « subjects » trouvés dans les résultats de recherche Google sur l'Article XIV du traité d'Utrecht sont des erreurs. Un livreD7 que Google a numérisé fut publié en 1878 et son titre est : « Statutes, Documents and Papers Bearing on the Discussion Respecting the Northern and Western Boundaries of the Province of Ontario, Including the Principal Evidence Supposed to be Either for Or Against the Claims of the Province ». Un fait intéressant est que le livre numérisé par Google a été publié il y a plus de 135 ans, et il était à l'origine de l'Université Harvard et une partie de la bibliothèque de droit de Harvard. Le suivant est un extrait de la page 17 du livre :

    Extrait hyper lié d'un livre que Google a numérisé et fut publié en 1878. Il ne faut aucun  lettre  « s » à la fin du deuxième mot anglais « subjects ». Le titre du livre est : « Statutes, Documents and Papers Bearing on the Discussion Respecting the Northern and Western Boundaries of the Province of Ontario ».

    Il y avait plusieurs livres de Google numérisés et des documents trouvés qui ont une erreur différente qui modifie considérablement le contexte de l'Article XIV. Dans leurs cas, c'est ne pas en ajoutant une lettre « s » à la fin du mot anglais « subject » mais par les omis trois dernières lettres du mot anglais « Kingdom » . Il y a trois documents avec cette erreur inscrit dans cette de présentation « Source D » - Der1, Der2 et Der3.

    Pour continuer, il se peut bien que les Anglais involontairement aient visualisé, voyaient ou a vu (imaginé) un « s » à la fin du mot « subject ». Ce serait pour les engagements de la reine Anne (16650206 - 17140801) de la Grande-Bretagne, le gouverneur Charles Lawrence et William Shirley, etc. Cela dit, ils pensaient que les Acadiens qui ne quittaient pas en moins d'un an devenaient automatiquement des sujets britanniques. Il se pourrait très bien que les Anglais savaient que les mots ou les articles dans le traité d'Utrecht n'ont pas fait des Acadiens des Sujets britanniques après un an. Est-ce la raison pour laquelle les Anglais étaient si résolus en essayant d'obtenir le serment d'allégeance des Acadiens ? Pourquoi demander un serment inconditionnel s'ils étaient sujets britanniques après une année en 1714 ? Il était immoral pour les Anglais d’obliger les Acadiens à signer un serment les obligeant à porter les armes contre les Français et les Autochtones.

    L'article 4 du Traité de Paris de 1763H13 est tout à fait clair dans la formulation de la référence aux habitants du Canada (Canadiens / Canadiennes) comme étant de « nouveaux Sujets catholiques romains » de Sa Majesté de Grande-Bretagne. De plus, l'article 4 indique clairement « que les Habitans François ou autres, qui auroient eté Sujets du Roy Très Chretien en Canada ».

    En outre, n'oublions pas la Proclamation du 19 Avril, 1720 par Richard Phillips, le gouverneur d'Acadie (Nouvelle-Écosse) quand il a essayé de faire croire les Acadiens que le traité d'Utrecht stipulait dans comme suit :
    Transcription libre : « que quoy que les dits Habitants Francois ayent par leur Obstination ou Negligence escoulé le tems, Stipulé pour eux dans le Traité de Paix conclu a Utrecht pour prester le dit Serment ou se retirer de ce pays avec leurs effets »

    Les Acadiens savaient qu'ils étaient Sujets français qui vivaient dans un territoire cédé à la Grande-Bretagne d'après le traité d'Utrecht.

    Les Acadiens étaient des personnes distinctes qui n'avaient pas de mot à dire dans leur domination à un moment donné. Les premiers Acadiens et leurs descendants avaient vécus depuis plus de 150 ans dans l'union et l'amitié avec les autochtones.

    Le simple fait que les Acadiens ont été contraints ou forcés sur des vaisseaux en exil dans les colonies britanniques ou en Angleterre, et que les Français ont apparemment fait très peu pour arrêter cet exil ne fait pas des Acadiens moins des Sujets français selon le traité d'Utrecht.

    Warren A. PerrinH14 dans sa PetitionH15 (cela a abouti à la Proclamation royale de 2003H16 qui a désigné le 28 juillet de chaque année comme une commémoration du « Grand Dérangement » depuis le 28 juillet 2005) a déclaré ceci :

    • « Assumptions
      The Acadians were held to be British subjects (50) by the memorandum of Judge Jonathan Belcher »
    • « Genocide [...]
      4. Violation of customary international law regarding treatment of prisoners of war: If we assume that the Acadians were French-subjects, the British violated the then existing customary international law regarding the treatment of prisoners of war. (103) »

    Une transcriptionH17 du mémorandum daté le 28 juillet 1755 de juge Jonathan Belcher (en anglais et en français) peut être consulté à la Bibliothèque gratuite par Parlex sur leur site Web. Voici deux extraits du site Web de sa décision :

    • « Depuis le traite d'Utrecht jusqu'a cette date, ils se sont conduits comme des rebelles envers Sa Majeste dont ils sont devenus les sujets par la cession de la province. En outre, en vertu du traite, ils devinrent des habitants de la dite province. »
    • « Quant a leur conduite depuis le traite d'Utrecht en 1713 Bien qu'il y fut stipule qu'ils seraient laisses en possessions de leurs terres a condition qu'ils pretassent le serment dans l'intervalle d'une annee a partir de la date du traite »

    Belcher a fait une grave erreur en loi en utilisant à tort par un accord légal entre nations. Cela est, le traité d'Utrecht à l'appui de sa réclamation que les Acadiens étaient des Sujets britanniques.

    Belcher aurait su que l' Édit de la reine Ann n'était pas un document juridique contraignant ou une loi. Par conséquent, il ne se réfère pas à son Édit dans sa décision. Il a recouru à tort paraphrasant le contenu de l'article XIV du Traité d'Utrecht pour donner l'apparence que les Acadiens étaient des sujets britanniques par cela.

    Les méfaits que le juge Belcher a décidé comme faits que ce que les Acadiens avaient fait si peu à voir avec les Acadiens et ne sont pas fondées.

    En outre, ce n'est pas la faute des Acadiens que la Grande-Bretagne a fait un mauvais accord avec la France par le Traité d'Utrecht de 1713 au sujet de leur intérêt dans le territoire cédé.

    Cela est, dans l'insatisfaction anglais dans la façon dont les missionnaires français, les Autochtones et les Français ont réussi à se conduire aux termes des accords du traité. Aussi, bien sûr, que les Acadiens étaient capables de rester en Acadie (Nouvelle-Écosse) légalement comme Sujets français selon ce qui était la loi écrite dans le traité d'Utrecht de 1713.

    Dans le libellé ou articles du traité d'Utrecht de 1713, aucune mention n'a été trouvée pour soutenir que les Acadiens sont devenus Sujets britanniques parce que la province a été cédée, et/ou stipulation que les Acadiens ont dû prêter serment dans un an à partir de la date du traité.
    Selon le libellé de l'article XIV - Les Acadiens resté Sujets français et ne ferait que perdre leurs biens légalement s'ils avaient choisi de quitter librement Acadie après un an en 1714.

    Par conséquent, il va sans dire, nous savons les Acadiens n'ont pas laissé Acadie de leur propre libre volonté.

    La Proclamation royale de 2003 est un pas dans la bonne direction. Une bonne chose est qu'il ne parle pas de le peuple Acadiens comme des Sujets britanniques. Cependant, Toutefois, il ne fait pas grand-chose pour arrêter l'esquive depuis 1755, dans la question de loi que l'exil des Acadiens était illégale. Il est très peu probable que la Grande-Bretagne serait jamais admettre que l'exil des Acadiens était illégale.

    Par conséquent, cela aurait besoin d'être objectivement avoir lieu ou entendu et décidé dans un cadre comme un tribunal international. Souvenons-nous, qu'il est déclaré ici que le juge Jonathan Belcher a utilisé un traité international à tort d'une manière illégale à l'exil les Acadiens en 1755.

    Les torts de l'histoire doit être clairement reconnu, sinon ces torts envers les personnes iront sans conséquence, la responsabilité et la peine, ce qui donnera la place pour de nouveaux torts par d'autres pour être tolérés et répétés.

    Il y a beaucoup d'opinions sur le sort des Acadiens et ce qui s'est réellement passé à l'époque. Le monde doit être informé correctement de l'histoire, qui assurera le souvenir des torts terribles causés au peuple acadien. Les historiens et les gens ont besoin pour s'assurer si ils et elles se livrent à l'acte de la paraphrase doit s'assurer que leur information est de source fiable, et dans leur recherche à la pratique de la devise ou de dire « faites confiance mais vérifiez ».

  5. Continuation de Barthélemy Petitpas, William Shirley et le Traité d'Utrecht
    Un autre livreD8 numérisé par Google est très révélant, il a été publié en 1869 et intitulé :
    « Selections from the Public Documents of the Province of Nova Scotia: Published Under a Resolution of the House of Assembly Passed March 15, 1865 March 15, 1865 ». Sur les pages 264 et 265 du livre dans les notes, l'auteur Thomas Beamish Akins explique pourquoi il pense que les Acadiens sont devenus sujets britanniques. Il a déclaré :
    « No mention is made, either in the Treaty or the Queen's letter, of a qualified allegiance. It is therefore clearly obvious that those who chose to remain, thereby became subjects of Great Britain, and were bound to take the Oath of allegiance to the Sovereign, when lawfully required. »

    Ci-dessus traduction libre : « Aucune mention n'est faite, ni dans le traité ou la lettre de la Reine, d'une allégeance qualifié. Il est donc clairement évident que ceux qui ont choisi de rester, ainsi devenant des sujets de la Grande-Bretagne, et étaient tenus de prêter le serment d'allégeance au souverain, lorsque requis par la loi. »

    Ce que l'auteur semble avoir oublié ou manqué est que, selon le libellé du document juridique du traité d'Utrecht et son article XIV, les Acadiens étaient toujours légalement des sujets Français et n'avait pas à donner un serment d'allégeance pas du tout parce que le traité ne stipulait pas cela. La loi était le traité. En fait, les Acadiens ont fait une concession non requise selon le traité en donnant un serment conditionnel. Ils étaient prêts à quitter à plusieurs reprises lorsque forcés de prêter un serment sans condition. Les Acadiens ont été empêchés de quitter par l'autorité de la Grande-Bretagne de le faire. En effet, la Grande-Bretagne a eu peur en ce que si les Acadiens quittaient la Nouvelle-Écosse (Acadie), ils renforceraient les colonies de la France du Canada et Île-Royale. Les propres documents sélectionnés de l'auteur pour son livre le montre. L'une des fois que les Acadiens ont demandé de quitter la Nouvelle-Écosse (Acadie) est enregistrée dans une lettre (page 173, livre D8) en date du 6 Septembre 1749. Les députés des districts (acadienne) françaises ont présenté lors d'une réunion du conseil. Suivant est un extrait de la lettre :
    « The inhabitants in general, Sir, over the whole extent of this country, have resolved not to take the oath which Your Excellency requires of us; but if Your Excellency will grant us our old oath which was given at Mines to Mr. Richard Philips, with an exemption for ourselves and for our heirs from taking up arms, we will accept it.
    But if Your Excellency is not disposed to grant us what we take the liberty of asking, we are resolved, every one of us, to leave the country.
    »

    Ci-dessus traduction libre : « Les habitants en général, Monsieur, sur toute l'étendue de ce pays, ont décidé de ne pas prêter le serment que Votre Excellence exige de nous; mais si Votre Excellence nous accorder notre vieux serment qui a été donné à Mines à M. Richard Philips, avec une exemption pour nous et pour nos héritiers de prendre les armes, nous allons l'accepter.
    Mais si Votre Excellence est pas disposé à nous accorder ce que nous prenons la liberté de demander, nous sommes résolus, chacun de nous, de quitter le pays. »

    Ce qui suit est un extrait de la page 174 la réponse du gouverneur Edward Cornwallis aux Acadiens :
    « But you ought to know, that, from the end of the year stipulated in the treaty of Utrecht for the evacuation of the country, those who chose to remain in the province became at once the subjects of the King of Great Britain.
    The treaty declares them such— The King of France declares, in the treaty, that all the French who shall remain in these provinces, shall be the subjects of His Majesty.
    »

    Ci-dessus traduction libre : « Mais vous devez savoir, que, à partir de la fin de l'année stipulé par le Traité d'Utrecht pour l'évacuation du pays, ceux qui ont choisi de rester dans la province est devenue immédiatement les sujets du roi de Grande-Bretagne.
    Le traité déclare leur tel— Le roi de France déclare, dans le traité, que tous les Français qui demeurent dans ces provinces, sont les sujets de Sa Majesté. »

    Bien sûr, le traité d'Utrecht ne stipule pas ce que Cornwallis avait communiqué aux Acadiens. Il semble avoir été ignorant du libellé du traité, ou voulait-il sciemment faire les Acadiens à accepter quelque chose qui est évidemment faux. Comme dit précédemment, les Acadiens savaient ce qui était stipulé dans le traité. Beaucoup d'entre eux serait capable dans la langue latine, et si nécessaire, ils avaient disponible une consultation complémentaire en ayant l'expertise de leurs prêtres. En effet, ils ont peuvent vérifier en latin que leur traduction et de l'interprétation du traité d'Utrecht français était correct.

    Cependant, en 1750, la politique de Cornwallis a abouti à de nombreux Acadiens a décider qu'ils voulaient partir et aller à l'île Saint-Jean. Mais ils étaient détenus. On leur a dit de semer leurs champs ce qu'ils ont fait et après ils ont été refusé parce que pas de passeports ont été émis. Ceci est selon une réponse aux Acadiens par le gouverneur Edward Cornwallis lors d'un conseil tenu avec le gouverneur le 25 mars 1750 (voir pages 189 à 192 du livre D8).

    Cela nous amène à un autre extrait de la page 267 qui est une autre note dans le livre (D8) par l'auteur :
    « The term "Neutral French" having been so frequently applied to the Acadians in public documents—their constant denial of an unqualified oath ever having been taken by them, and the reiterated assertions of their priests that they understood the oaths taken from time to time, in a qualified sense, (by drawing a distinction between an Oath of fidelity and one of allegiance,) led the Governors at Halifax, in 1749, and at subsequent periods, erroneously to suppose that no unconditional Oath of Allegiance had ever been taken by the people of Acadia to the British Crown. »

    Ci-dessus traduction libre : « Le terme « Français neutres » après avoir été si fréquemment appliqué aux Acadiens dans les documents publics—de leur refus constant d'un serment sans réserve jamais avoir été prises par eux, et les affirmations réitérées de leurs prêtres qu'ils ont compris les serments qui étaient prises par eux de temps à autre, dans un sens qualifié, (en faisant une distinction entre un serment de fidélité et un serment d'allégeance,) ont amené les gouverneurs à Halifax, en 1749, et au cours des périodes subséquentes, à tort de supposer qu'aucun serment d'allégeance inconditionnelle n'a jamais été prise par les personnes de l'Acadie à la Couronne britannique. »

    Qu'est-ce que l'auteur n'a pas pris en compte est que les Gouverneurs n'aient pas fait d'erreur. La raison en est que le roi George II et les Lords de commerce savaient qu'il y avait un problème de légalité avec les serments. C'est la partie verbale du serment ou la clause que gouverneur Phillips a promis aux Acadiens – de ne pas avoir à porter les armes. Gouverneur Phillips était un représentant du roi de Grande-Bretagne et ne pouvait pas induire en erreur les Acadiens ou son roi dans son désir d'avoir les Acadiens ou son roi dans son désir d'avoir les Acadiens librement et d'une manière véridique devenir ses sujets. En outre, il y avait un problème avec la partie écrite du serment qu'il a donné. Dans une lettre datée du 20 mai 1730 de Monsieur le Secrétaire Popple à Whitehall au gouverneur Phillips, Popple a porté cela à l'attention de gouverneur Phillips, ce qui suit est un extrait (voir livre D8, pages 84 et 85) de la lettre :
    « Sir — You will perceive by the first paragraph of the letter from My Lords Commissioners for Trade and Plantations to you of this days date that their Lordships wish the Oath which the French Inhabitants at Annapolis have voluntarily taken had been in more explicit Terms, and therefore I am to observe to you that by the words of that Oath, the French do not promise to be faithful to His Majesty. »

    Ci-dessus traduction libre : « Monsieur— vous percevrez par le premier paragraphe de la lettre de mes Lords commissaires du commerce et de plantations à vous la date de ce jour que les Seigneuries souhaitent le serment qui les habitants Français à Annapolis ont volontairement pris avaient été en termes plus explicites, et je suis donc à observer pour vous que par les paroles de ce serment, les Français ne promettent pas d'être fidèle à sa Majesté. »

    Dans une lettre (voir pages 87 à 88 dans le livre D8) datée du 26 novembre 1730, Gouverneur Phillips a écrit aux Lords de commerce. Suivant est extrait de cette lettre :
    « I am sorry to find Your Lordships think the Oath which the Inhabitants of this River have taken not to be well worded, I used my best understanding in the forming of it and thought I had made it stronger then the original English, by adding the words, "en foi de Chrétien" and "que je reconnois" &c., the word fidèle is the only one I could find in the dictionary to express allegiance and am told by French men that both it and obéir govern a dative case, and the conjunction, et, between makes both of them to refer to the Person of the King, according as I have learned grammar, and I humbly conceive that the jesuits would as easily explain away the strongest oaths that could be possibly framed as not binding on papists to what they call a Heretic. Your Lordships will observe the oath that has been afterwards given to the body of the Inhabitants up the Bay of Fundy, to be varied; it was upon occasion of their thinking the other too strong. I believe Your Lordships will think this not liable to the same objection as the other, and not at all weakened in the alteration. »

    Ci-dessus traduction libre : « Je suis désolé de trouver Vos Seigneuries le serment que les habitants de cette rivière ont pris pour ne pas être bien exprimé, j'ai utilisé mon meilleur compréhension de sa formation et j'ai pensé que je l'avais fait plus fort que l'original en anglais, en ajoutant les mots, « en foi de Chrétien » et « Que je reconnois » & c., le mot fidèle est le seul que je pouvais trouver dans le dictionnaire pour exprimer allégeance et me dit par des hommes français que les deux cela et obéir gouverner un cas datif, et la conjonction, et , entre les deux fait de se référer à la personne du roi, selon que je l'ai appris la grammaire, et je conçois humblement que les Jésuites seraient aussi facilement expliquer les serments les plus puissants qui pourraient être éventuellement encadrée comme non contraignant sur papistes à ce qu'ils appellent un hérétique. Vos Seigneuries observer le serment qui a été ensuite donnée à l'ensemble des habitants en haut de la Baie de Fundy, à varier; c'était à l'occasion de leur pensée l'autre trop fort. Je crois que vos Seigneuries vont penser cela non responsable de la même objection que l'autre et pas du tout affaibli dans l'altération. »

    En outre, rien ne pouvait être plus clair sur la position de les Lords de commerce sur le traité d'Utrecht et un serment inconditionnel concernant les Acadiens. Dans une lettre datée du 29 octobre 1754, les Lords de commerce à Whitehall ont écrit au Lieutenant-gouverneur Lawrence. Un extrait (voir livre D8 pages 236 et 237) de la lettre stipule ceci :

    Un hyperlien extrait de la page 236 d'un livre que Google a numérisé et a été publié en 1869. Le titre du livre est : Selections from the Public Documents of the Province of Nova Scotia: Pub. Under a Resoltion of the House of Assembly Passed March 15, 1865.
    Un hyperlien extrait de la page 237 d'un livre que Google a numérisé et a été publié en 1869. Le titre du livre est : Selections from the Public Documents of the Province of Nova Scotia: Pub. Under a Resoltion of the House of Assembly Passed March 15, 1865.

    Ci-dessus traduction libre : « Il est certain que par le Traité d'Utrecht leur deviennent sujets à la Grande-bretagne (que nous appréhendons qu'ils ne puissent pas être, mais en prenant les serments requis des sujets) est en fait une condition expresse de leur continuation, après l'expiration d'une année, et donc c'est peut-être une question qui vaut la peine d'être considérée, comment loin ils peuvent être traités comme Sujets sans prendre de tels serments, et s'il leur refus de les prendre, ne fonctionnera pas à invalider les titres de leurs terres; il est une question, cependant, que nous ne prendrons pas sur nous-mêmes absolument à déterminer, mais pourrions souhaiter que vous souhaitez consulter le juge en chef sur ce point, et prendre son avis, qui peut servir de fondation pour de mesure future, qu'il peut être considéré recommandé de poursuivre en ce qui concerne les habitants en général. Quant à ceux du district de Chignecto, qui sont effectivement passés au Français à Beau Sejour, si le juge en chef est d'avis que en refusant de prendre les serments sans réserve, ou en désertant leurs habitations pour rejoindre les Français, ils ont perdu leur titre sur leurs terres, on pourrait souhaiter que des mesures appropriées ont été poursuivis pour l'exécution de la confiscation par une procédure légale, à la fin que vous avez peut-être activé de les accorder à toute personne désireuse de s'y établir là, »

    Le juge en chef Jonathan Belcher n'a pas suivi le mandat distribué par les Lords de commerce. Pour être parfaitement clair et bien méritent d'être répété.
    La première partie du mandat de Belcher était : « comment loin ils [les Acadiens] peuvent être traités comme Sujets sans prendre de tels serments, et s'il leur refus de les prendre, ne fonctionnera pas à invalider les titres de leurs terres ».
    La deuxième partie du mandat de Belcher était a décidé sur les Acadiens du District de Chignecto qui avaient déserté leurs habitations : « si le juge en chef est d'avis que en refusant de prendre les serments sans réserve, ou en désertant leurs habitations pour rejoindre les Français, ils ont perdu leur titre sur leurs terres ».

    Évidemment, le juge en chef de la Nouvelle-Écosse Jonathan Belcher a fait le contraire de ce que les Lords de commerce avait déclaré. Belcher a jugé que les Acadiens étaient Sujets britanniques après son interprétation injustifiée du traité d'Utrecht comme décrit précédemment. Autrement dit, le mandat de Belcher de les Lords de commerce a été simplement à déterminer conformément au traité d'Utrecht pourraient les Acadiens encore posséder un terrain s'ils n'étaient pas Sujets britanniques (traités comme Sujets ne signifie pas être légalement Sujets).

    Bien sûr, les Acadiens pourraient encore posséder des terres conformément à ce qui était stipulé dans le traité. Comme dit précédemment il n'y avait rien dans le traité d'Utrecht qui a contraint les Acadiens à jurer des serments à la Grande-Bretagne, et ou de perdre leurs biens s'ils restaient en Nouvelle-Écosse (Acadie). Le traité n'avait aucune limite de temps stipulé sur cette matière.

    Cela nous ramène dans cette présentation avec les faits présentés ici que les Acadiens exilés étaient légalement pas sujets britanniques selon le traité d'Utrecht. Ainsi, ils auraient dû être traités comme des prisonniers de guerre. Suivant est un extrait de la page 278 qui est une autre note dans le livre (D8) de l'auteur :

    Hyperlien de la page 278 d'un livre que Google a numérisé et a été publié en 1869. Le titre du livre est : Selections from the Public Documents of the Province of Nova Scotia: Pub. Under a Resoltion of the House of Assembly Passed March 15, 1865.

    Ci-dessus traduction libre : * Les Acadiens français qui ont été envoyés en Pennsylvanie, ont adressé une pétition au gouverneur et au Conseil de cette Province, en septembre I756, pour être traité comme des prisonniers de guerre, et être permis pour joindre leur propre nation et du ténor de leur pétition il apparaîtrait qu'ils n'ont pas voulu devenir des colons dans cette Province. Le gouverneur et le Conseil, cependant, sur la référence dans les lettres de Gouverneur Lawrence, ont refusé de les traiter comme des prisonniers de guerre et Sujets du Roi français, mais comme Sujets du Roi de la Grande-Bretagne et ont recommandé à la Maison d'Assemblée de « fournir pour eux dans une telle façon comme ils devraient juger bon. » —Records coloniaux, Pcn., vol. 7. P. 241. Ils semblent avoir reçu le meilleur traitement aux mains du gouvernement de Philadelphie que leur ont accordé dans certains des autres Provinces.

    La référence de l'auteur de la pétition de Pennsylvanie datée le 2 septembre 1756 est disponible sur les pages 239 à 241 à partir d'un livreD9 numérisé par Google intitulé : « Minutes of the Provincial Council of Pennsylvania: From the Organization to the Termination of the Proprietary Government. [Mar. 10, 1683-Sept. 27, 1775], Volume 7 ».

    Les Acadiens qui sont inscrits sur la pétition de Pennsylvanie, le 2 septembre 1756 peuvent avoir été impliqués dans une autre pétition (voir source H15*1). C'était en 1760 pour une audience judiciaire avec le roi de la Grande-Bretagne. Un autre livreD10 numérisé par Google intitulé : « An Historical and Statistical Account of Nova-Scotia, Volume 1 ». L'auteur juge Thomas Chandler Haliburton fait référence à la pétition dans les pages 183 à 195 et a exprimé ses commentaires très poignants de l'événement, à la page 196.

    Quelqu'un peut demander que ce point ou chapitre de cette présentation doit faire avec Bathélemy Petitpas. Pour avoir leur manière avec lui de 1745 à 1747, la Grande-Bretagne et son armée coloniale par le gouverneur William Shirley illégalement ont déclaré Bathélemy Petitpas un sujet britannique par le Traité d'Utrecht. Cela a permis à la Grande-Bretagne d'éviter de lui donner la protection et le traitement requis à un prisonnier de guerre par le droit International.

    Près de 10 ans plus tard, la Grande-Bretagne et sa force coloniale par la décision du juge Jonathan Belcher ont évité illégalement le droit international en la même façon quand il injustement a déclaré que tous les enfants, les femmes et les hommes Acadiens par le traité d'Utrecht étaient des sujets britanniques au lieu d'être Sujets Français et prisonniers de guerre.

  6. Continuation de William Shirley et Barthélemy Petitpas
    William Shirley avait déclaré la guerre contre les nations [Malécite] Amalécite et Mi'kmaq en 1744. Il a offert un paiement du Trésor public pour la prise du scalp pour prouver leur décès. L’index descriptif de recherche d'archives en ligne chez Massachusetts a un documentH1. Le résumé du document révèle :P2.P6 « PROCLAMATION BY GOV. WILLIAM SHIRLEY CALLING FOR VOLUNTEERS TO FIGHT AGAINST THE ST. JOHNS AND CAPE SABLE INDIANS. GOVERNOR SHIRLEY ENCOURAGED SCALPING AND INCLUDED THE SET BOUNTIES FOR SCALPS AND OTHER PLUNDER ». William Shirley aurait dû être conscient du fait que Barthélemy Petitpas était Mi'Kmaq et a-t-il pris Barthélemy pour quelqu'un d'autre ? N'était-ce pas Barthélemy la même personne qui avait reçu trois années d'études à Harvard à Boston, aux dépens de la Grande-Bretagne ? L'éducation apparente était due à l'action humanitaire de son père Claude II qui avait négocié la libération des prisonniers anglais dans la dernière guerre indienne. Il avait payé pour la libération avec son argent propre. Il s'agit, selon l'interprétation d'un (référence 59) dossier anglais par Emma Lewis Coleman en 1925. Son livreH2 a été utilisé comme référence (voir P11.P1) dans les biographies des Petitpas, Claude II et Barthélemy.

    La réalité est que William Shirley a pensé que Barthélemy Petitpas appartenait à la Grande-Bretagne. En plus, il est difficile de penser que William Shirley ne serait pas au courant donc ne mentionnerait pas que l'emploi français et le titre de Barthélemy Petitpas était Interprète des Indiens. Il a été employé à ce titre depuis 1733, suite à la mort de son père. Claude Petitpas II a occupé le poste avant la nomination de Barthélemy Petitpas. William Shirley, sur le plan militaire aurait dû savoir que Claude Petitpas II avait, comme son fils Barthélemy, émigré ailleurs à l'île Royale (île du Cap Breton).

    Il faut noter que les Anglais voulaient mettre fin à l'amitié que la France avait eu avec la nation Mi'kmaq. William Shirley, étant en guerre avec la France, saurait sans aucun doute qu'il pourrait avancer sa position si les Français devaient perdre leur Interprète des Indiens. Ceci aurait causé la France à perdre leur communication Amalécite (Malécite) et Mi'Kmaq ainsi que la capacité de mener des négociations diplomatiques. Par conséquent, cela aurait été une stratégie militaire et politique efficace.

    Le site Web de BAC a 11 images numérisées du manuscrit original du documentB6. C'est une facture pour des services rendus par les agents principaux et d'autres nécessités de la colonie au cours de l'année 1745. Ce document a été daté du 27 août 1746. Les détails de paiement sur Barthélemy Petitpas comme Interprète des Indiens est à la page 5 de 11 (deuxième dépense à partir du bas de la page). Voici un extrait de son emploi :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez BAC à propos de  Petitpas, Barthélemy

    Ci-dessus transcription libre : À Barthelemy Petitpas, Interprète Des Sauvages, la somme de 600# Emploi

  7. Le comment et quand des Petitpas comme Interprètes pour les Indiens
    L'un des documents sur le site Web à BAC est un documentB7 manuscrit (voir folio 5 et 5v). C'est un résumé d'une lettre datée du 16 novembre, 1732. C'est l'application et la recommandation pour l'approbation de Barthélemy Petitpas comme l'Interprète pour les Indiens pour remplacer son père Claude II qui est mort. Cette lettre confirme que Claude Petitpas II mourut en 1732, à DBC en ligne sa biographie déclare « Il mourut probablement entre 1731 et 1733 ». En outre, la lettre dit que Barthélemy Petitpas possède parfaitement les langues Mi'kmaq et Amalécite [Malécite], et a toutes les qualités nécessaires pour être un bon interprète.

    Notez : Il n'est pas mentionné au DBC en ligne dans la biographie de Barthélemy qu'il pouvait parler la langue indienne Amalécite [Malécite]. En plus, auteur Isabelle Ringuet apporte cela à l'attention de ses lecteurs dans sa thèseB8au bas de la page 73B8c(également, voir ci-dessous P12.P1). Ci-dessous, au (P17.P25) par des extraits traduits de cette lettre datée du 16 novembre, 1732 est un examen plus approfondi.

    Chez le site Web de BAC, un autre enregistrementB9 (voir portée et contenu) en date du 19 mai 1733 est l'approbation de Barthélemy Petitpas comme Interprète des Indiens.

  8. Le compte-rendu de l’abbé Maillard de la mort de Barthélemy Petitpas
    Pierre Antoine Simon MaillardA5 dont sa biographie est à DBC en ligne, dans un compte a écrit ceci : « About the same time one named Bartholomew Petitpas, an appointed savage-linguist, was carried away prisoner to Boston. The savages have several times demanded him in exchange for English prisoners they then had in their hands, of whom two were officers, to whom they gave their liberty, on condition of the Bostoners returning of Petitpas; whom, however, they not only kept prisoner, but afterwards put to death. »

    Cette recherche n'a découvert aucun rapport de preuve écrite Gouvernemental que les « Bostoners » ont exécuté Barthélemy Petitpas.

    Cependant, le père Maillard dit dans son manuscrit que Barthélemy Petitpas a été mené prisonnier à Boston environ juillet 1745. Les dossiers indiquent qu'il est mort en janvier 1747. Pendant ce temps, Barthélemy serait à la fin de ses cinquantaines, et il aurait passé environ 18 mois dans les cachots de Boston avant sa mort ou a été mis à mort. En tout état de cause, l'incarcération de Barthélemy dans les cachots de Boston pourrait être considérée comme une sorte de condamnation à mort en soi. Est-ce qu’un homme de son âge pourrait survivre pendant de nombreuses années dans les cachots de Boston ? Cela mène à penser que les gens le gardant dans la captivité seraient tout à fait conscients de la chance mince de survie de Barthélemy dans les cachots à son âge avancé.

    La référence ci-dessus pour le manuscrit de Pierre Antoine Simon Maillard a été traduit du français à l'anglais. Dans le livre, il y a 4 pièces d'écritures dont les deux premiers sont attribués au Père Maillard. La pièce de l'écriture qui fait référence à Barthélemy Petitpas est intitulé Memorial of the Motives of the Savages, called Mickmakis and Maricheets, for continuing the war with England since the last peace. Dated Isle-Royal, 175-.. Le livre est intitulé : An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets Savage Nations, Now Dependent on the Government of Cape-Breton. Ce documentH3 est disponible sur l’Internet à partir du site Web du Project Gutenberg. Le livre original publié en 1758 est maintenant dans le domaine public et disponible à partir de Google. La référence à Barthélemy Petitpas se trouve aux pages 64 et 65 du livreD2 original.

    Dans son livre publié en 1870 pour les plaintes françaises à la page 43, Samuel Gardner Drake fait une référence au sujet de Barthélemy Petitpas qu'ils ont « finalement lui mis à mort ». Il y a plus à propos de son livre ci-dessous au point 11. Dans son livre, à la page 44, il dit : « These accusations or charges are the substance of speeches delivered to the eastern Indians by the Count de Raymond, to inflame them to prosecute the war ».

    Ci-dessus transcription libre : Ces accusations ou plaintes sont la substance des discours par le Comte de Raymond prononcés aux Indiens de l'est à les enflammer à poursuivre la guerre.

    Evidemment, les accusations ou les plaintes étaient écrites d'une traduction du français à l'anglais. Heureusement, pour le bien d'authenticité des accusations françaises et l'exactitude de la traduction, il y a deux livres d'origine française qui ont le contenu des accusations. Cependant, les auteurs des livres sont en désaccord avec qui est l'auteur de la pièce de l'écriture.

    Le premier livreD3A était écrit en français par Thomas PichonA6 publié en 1760 et intitulé : Lettres et mémoires pour servir à l'histoire naturelle, civile et politique du Cap Breton. La lettre (page 129, LETTRE X.) est intitulé Suite des moeurs des sauvages, discours qui leur fut fait par le Comte de Raymond pour les empêcher de faire leur paix avec les Anglois.
    Suivant est des extraits du premier livré des pages 129 (titre de la lettre), 133 et 134 :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez Google livres à propos de Barthélemy PetitpasExtrait hyper lié d'un document en ligne chez Google livres à propos de Barthélemy PetitpasExtrait hyper lié d'un document en ligne chez Google livres à propos de Barthélemy PetitpasCôté transcription libre
    LETTER X.
    Suite des moeurs des sauvages, discours qui leur fut fait par le Comte de Raymond pour les empêcher de faire leur paix avec les Anglois.

    Dans le même tems un nommé Barthelemi Petitpas interpête appointé des savages fut emmené prisonnier à Baston; mais en vain vous le reclamâtes plusieurs fois en échange de quelques prisonniers Anglois qui étoient alors entre vos mains. En vain vous donnâtes à deux d`entr`eux qui étoient officiers, la liberté à condition que Barthelemi Petitpas vous feroit renvoyé. On fut sourd à vos offres autant qu`insensible à votre générosité, et ensuite on fit mourir votre frere.

    Le livre français de 1760 écrit par Thomas Pichon avait été traduit et publié en anglais. Ce qui suit du livreD3B anglais de 1760 est un extrait de la page 163 concernant Barthélemy Petitpas :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez Google livres à propos de Barthélemy PetitpasCôté transcription libre
    At the same time one Bartholemew Petitpas, being appointed interpreter of the savages, was carried prisoner to Boston. In vain did you claim him several times in exchange for some English prisoners at that time in your custody. In vain did you grant two of them, who were officers, their liberty, on condition that Bartholemew Petitpas was sent back. They were deaf to your offers, and insensible to your generosity; and soon after they put your brother to death.

    Le deuxième livreD4 a été écrit en français par le Père Henri Raymond CasgrainA7 qui a été publié en 1897 et intitulé : Les sulpiciens et les prêtres des Missions-étrangères en Acadie. La lettre (page 437 - mémoire) est intitulé MOTIFS DES SAUVAGES MIKMAQUES ET MARICHITES DE CONTINUER LA GUERRE CONTRE LES ANGLAIS DEPUIS LA DERNÈRE PAIX.

    Suivant, il y a 3 extraits du deuxième livre. Le premier extrait a l'explication du Père Casgrain des éléments de preuve découverts et ses raisons pour lesquelles la mémoire est attribuée à l'abbé Maillard. Aussi, le premier extrait de la page 437 contient le titre du mémoire. Le deuxième extrait est une note du bas de page qui est aussi de la page 437. Le troisième extrait de la page 439 est l'information de la mémoire à propos de Barthélemy Petitpas :

    Un lien hypertexte extrait d'un document en ligne à l'Internet Archive et Google de Barthélemy PetitpasExtrait transcription libre : C'est à ce moment que fut écrit le curieux Mémoire qu'on va lire. L'original de ce Mémoire, ou du moins une copie qui en a été faite à cette date, a été trouvée récemment par un savant antiquaire de Normandie, M. Gaston du Bosoq de Beaumont., en même temps qu'une Collection de manuscrits provenant de M. de Surlaville, officier français venu à Louisbourg en 1751, avec le comte de Raymond, nommé gouverneur de l'íle du Cap-Breton. Ce Mémoire n'est pas signé, mais M. de Surlaville, dans une note écrite de sa main, l'attribue à l'abbé Maillard; ce qui ne fait guère de doute après qu'on l'a lu. Le trop fameux Pichon, ancien secrétaire du comte de Raymond, devenu espion des Anglais, a eu entre les mains ce Mémoire. Il l'a reproduit dans ses Lettres sur le Cap-Breton, publiées à Londres en 1760 (pp. 130 et suivantes, 204 et suivantes), mais il l'a défiguré en le morcelant et en le transformant en discours qu'il met dans la bouche du comte de Raymond. Surlaville affirme au contraire qu'il n'est pas de ce gouverneur. Voici le texte de ce Mémoire qui a dû être écrit vers 1750 ou peu après :

    " MOTIFS DES SAUVAGES MIKMAQUES ET MARICHITES DE
    CONTINUER LA GUERRE CONTRE LES ANGLAIS
    DEPUIS LA DERNÈRE PAIX  1

    Un lien hypertexte extrait d'un document en ligne à l'Internet Archive et Google de Barthélemy Petitpas
    Ci-dessus transcription libre : 1- " Ce Mémoire n'est certainement pas de Raymond: je le crois de l'abbé Maillard ".-Note de M. de Surlaville, major des troupes de l'île Royale.

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à Archive Internet Archive et Google de Petitpas, Barthélemy
    Ci-dessus transcription libre : Dans le même temps, un nommé Barthélemi Petitpas, interprète apointé des sauvages, fut emmené prisonnier à Boston ; les sauvages l'ont demandé plusieurs fois en échange de prisonniers anglois qui étoient alors entre leurs mains, dont il y avoit deux officiers à qui ils donnèrent la liberté à condition que le d. Petitpas leur seroit renvoié, les Bostonnois ont néanmoins retenu prisonnier le dit Petitpas et l'ont fait mourir par la suite.

    En bref, le Père Casgrain a pensé que le mémoire ne devrait pas être attribué à un discours prononcé devant les Indiens par le comte de Comte de RaymondA8 le gouverneur de l'île Royale. Cependant, il est de l'avis de cette recherche il y a une explication très peu compliquée, le Comte de Raymond était assez nouveau dans la colonie. Ainsi, il a écouté et utilisé les informations que le Père Maillard et d'autres personnes ont fournies pour ses discours de motivation aux Indiens.

    Thomas Pichon a écrit qu'il n'était que l'éditeur des lettres dans son livre. Ils ont été écrits à Louisbourg commençant à partir de 1752 au siège de cette place. Il les a intitulés sur ce que la lettre X est importante pour cette recherche sur Barthélemy Petitpas. L'auteur de la lettre X avait promis un exemple d'un discours pour son lecteur qui avait été donné aux Indiens. Ce discours a été inclus dans le cadre de la lettre. Aucunes notes éditoriales n'ont été trouvés dans les lettres.

    Cela contraste fortement avec la façon dont le livre de référence ci-dessus intitulée An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets Savage Nations, Now Dependent on the Government of Cape-Breton (H3 et D2) dépeint les plaintes françaises. Ce livre a beaucoup de commentaires éditoriaux (entre crochets) dans les quatre pièces de l'écriture. Dans la plupart des cas, ces commentaires tentaient d'expliquer et justifier le récit des terribles événements et les accusations contre les Anglais. Ceci est fait en mettant le blâme ailleurs d'une manière sarcastique. Le livre dépeint les Indiens comme incivilisés, barbares et écartent irrespectueusement leurs coutumes. La première pièce de l'écriture comme dit précédemment est attribué au Père Maillard. Cependant, il y a soupçon de cette recherche que la lettre n'est pas de lui. Ses quatre premiers paragraphes semblent contenir le résumé du début d'une longue lettre, que le Père Maillard a écrite au sujet des manières indiennes de ces parties du pays. Il l'avait écrit pour M. de Lalane son supérieur à Paris. Cette lettre est discutée plus d'avantage ci-dessous au point P17.P3.

    Comme indiqué précédemment, cette recherche n'a découvert aucun rapport de preuve écrite Gouvernemental que les « Bostoners » ont exécuté Barthélemy Petitpas. Toutefois, la note de M. de SurlavilleA9 met crédibilité que Barthélemy Petitpas a été mis à la mort.

  9. La biographie de Barthélemy Petitpas et l'an 1722
    Eric KrauseP18.P4 (krause House Info-Research Solutions - L'histoire de construire Port Toulouse Île Royale, pour l'Institut de Louisbourg Université du Cap Breton) a un compte rendu au sujet de Barthélemy Petitpas. Ce résuméG2 était sur le site Web officiel de recherche de la forteresse de Louisbourg (« 1721 - NOVEMBER 05 »). Il précise que Barthélemy a perdu son procès civil relatif à la confiscation de sa goélette et le cargo. Sa peine a été confirmée en appel en 1722 : « Later, in 1722, the Council confirmed the sentence, and he was ordered to pay 1000 pounds [livres] plus court expenses. ».
    Ci-dessus traduction libre : « Plus tard, en 1722, le conseil a confirmé la peine et il a été condamné à payer 1000 livres plus les frais de justice. ».

    D'après le dossier, il apparaît que Barthélemy Petitpas :

    • était un résident de Port-Toulouse et à cette époque vivait sous la domination française.
    • a travaillé dans une certaine mesure comme interprète pour les Indiens pour les Français.
    • a été lui-même la conduite d'une manière civile, dans un jour, il fait appel de sa condamnation du 4 novembre, 1721.

    Par conséquent, il serait fort peu probable que les Français avaient à le capturer. Dans sa biographie sur le site en ligne DBC, paragraphe 4, il est indiqué qu'il a été capturé. Il peut avoir été arrêté mais n’est pas que le mot capture semble très audacieux et un terme sauvé pour un ennemi ?

    Cependant en 1925, Lewis Coleman Emma dans son livre écrit : « but M. de Saint-Ovide61 found a way to get the young man out of the hands of the English and entice him to Quebec ».
    Ci-dessus traduction libre : « mais M. de Saint-Ovide61 a trouvé un moyen pour mené le jeune homme hors de la portée des Anglais et l'attirer à Québec ».
    Ce fut en ce qui concerne Barthélemy Petitpas pour l'année 1722. Plus loin dans ce document, il y a plus de détails sur son livre et le fait que le premier nom du jeune homme n'était pas mentionné dans sa référence. Ceci est d'après les copies des documents originaux qui ont été examinés lors de cette recherche.

    Aussi, le prénom du jeune Petitpas n'était pas mentionné dans les deux références suivantes dans la biographie de Barthélemy à DBC en ligne AN, Col., B, 45F4 (Dossier article 1-1174 - voir 201), ff200F4f (Article 201), 205; et C7, 244B10*3. Ces documents sont disponibles à Archives Canada France et Bibliothèque et Archives Canada sites Web. Comme écrit précédemment, le jeune homme n'est pas mentionné par son prénom, seulement comme le nommé Petitpas et Petitpas fils d'un habitant de l'Acadie. La première référence ci-dessus (ff200) est datée 1722 :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne des Archives Canada-France à BAC du fils du nommé PetitpasExtrait transcription libre : À M. de Beauharnois - À Versailles décembre 15, 1722 - Le conseil a rendu compte, Monsieur M. de Regens de l'avis que vous avés donné de l'arrivée à Rochefort du fils du nommé Petitpas françois, habitant de l'Accadie, embarqué sur la flutte le Chameau [nom d'un bateau], en des raisons qui ont déterminé M. Vaudreüil et Begon d'envoyé ce jeune homme aux dépens du Roy. S.A.A. a jugé pour les même raisons que cela était juste lui faire apprendre le pilotage, et le faire servir lors qu'il est capable, nous vous conformerés aux mentions de S.A.R., vous rendrés compte de sa conduite, es aurés attention qu'il ne s'évade point pour s'embarquer sur des vaisseaux Anglois.

    La portée et le contenu de la deuxième référence mentionné (C7, 244*3) ci-dessus indique : Petitpas - Fils d'un habitant de l'Acadie - 1727, son transfert de Boston à Québec, puis à la Martinique. Il s'agit d'un fichier de page 4, avec des dates différentes - 1722, 1723 et 1727 :

    Couverture

    Extrait avec un lien hypertexte à la page couverture d'un document en ligne de BAC daté 1727. C'est sur le nommé Petitpas un fils d'un habitant [Claude Petitpas] de l'Acadie





    Côté transcription libre       
    Petit Pas
    1 fils d'un habitant de l'Acadie
       1727











                           C7 244

    Page 1

    Extrait avec un lien hypertexte à la page 1 d'un document en ligne de BAC daté 1727. C'est sur le nommé Petitpas un fils d'un habitant [Claude Petitpas] de l'AcadieExtrait transcription libre : fils d'un françois habitant de l'Acadie, qui était attaché aux anglois avait été envoyé par son père pendant la dernière guerre à Baston ou les Anglois pourvûrent à sa subsistance et à son entretien pendant trois ans dans la veüe d'en faire un ministre et de gagner la Nation MiKmaKe [Mi'Kmaq] et la faire changer de religion. M. de S. Ovide gouverneur de l'Île Royalle trouva le moyen de retirer ce jeune homme de chez les anglois et l'envoya à Quebec lui ayant fait entendre qu'on le mettroit au seminaire, mais ce jeune ayant temoigné à son arrivé à Quebec qu'il voulait point entrer dans l'Etat Eclesiastique. M. de Vaudreüil et Begon pour l'empecher de retourner à Baston se déterminent à l'envoyer en France par la Flutte le Chameau [nom d'un bateau] en 1722, et l'adressent à M. de Beauharnois.
    Haut de la page 1 : Signature de [?] 8 septembre, 1727
    En marge, page 1 : Petitpas – Apprové la proposition de M. de Beauharnois le envoyer à la Martinique pour [?] [?] [?] – R

    Page 2

    Extrait avec un lien hypertexte à la page 2 d'un document en ligne de BAC daté 1727. C'est sur le nommé Petitpas un fils d'un habitant [Claude Petitpas] de l'AcadieExtrait transcription libre : pour en prendre soin jusqu'a ce qu'il est reçu des ordres du Conseil de Marine. M. de Beauharnois en ayant donné avis, le conseil de marine approuva sa dépêche du cinq janvier 1723, qu'il lui fair apprendre le pilotage ce qu'il lui fait payé 50# par mois dans le port pour son entretien et nouriture a prendre sur les dépenses extraordinaire du port et qu'il fut embarqué pour pilotin [pilote] à 18. par mois.
    Je marque que depuis 1723, jusqu'a présent il a fait payer au d.[dit] Petit pas [Petitpas] 50# par mois pendant qu'il a resté à [?]. Suivant les ordres qu'il avait reçu, et 18.# seulement à la mer lorsqu'il à été embarqué en qualité de pilotin. Que depuis la dernière campagne Qu'il à fait sur le Caisseau le françois, il à presque toujour été malade et me communique que depuis deux mois à se rétablir. Que c'est un mauvais sujet.
    En marge, page 2 : du 26 avril, 1723.

    Page 3

    Extrait avec un lien hypertexte à la page 3 d'un document en ligne de BAC daté 1727. C'est sur le nommé Petitpas un fils d'un habitant [Claude Petitpas] de l'AcadieExtrait transcription libre : qui ne s'attache à rien, que les femmes et le vin l'on perdu et qu'il est capable de fair quelque mauvais coup. Je propose de le faire passer à la Martinique ou à St. Dominique y servir en qualité de soldat de nouvelle levée. Si cela est approuvé, il le fera embarquer sur le Portefois [nom d'un bateau].

    Il est difficile d'imaginer Claude Petitpas II considérant et en acceptant de changer de foi et d'encourager ses enfants à le faire – c’est de changer de catholicisme à la foi protestante, et son fils convertir toute la population Indienne. En outre, les documents ci-dessus semblent insinuer que le jeune homme n'est pas Barthélemy Petitpas.

  10. Barthélemy Petitpas a été confondu avec quelqu'un d'autre
    Rumeurs et histoires proviennent essentiellement de la documentation écrite en 1722 et 1727. Dans le document daté 1727, il y a référence au gouverneur de l'île Royale, M. de Saint-Ovide. Il avait un plan pour sauver la colonie française et obtenir Barthélemy Petitpas des mains des Anglais. Apparemment, Barthélemy est transféré à différents endroits sous autorité française. Comme indiqué ci-dessus, le fichier en date du 1727 disponible au site Web de BAC fait référence à un Petitpas sans prénom et l'année 1722.

    Les Archives nationales d'outre-mer à Aix-en-Provence France a un documentH11 daté du 24 février, 1730 de la Martinique. Les extraits suivants des pages 23 et 24 sont d'un soldat (pilote) nommé Petitpas qui leur a été envoyé du Canada :

    Page 23
    Un lien hypertexte extrait d'un document en ligne à ANOM sur le soldat pilote nommé Petitpas
    Page 24
    Un lien hypertexte extrait d'un document en ligne à ANOM sur le soldat pilote nommé Petitpas

    Ci-dessus transcription libre : Cependant Monseigneur, nous sommes obliges de vous suplier de trouver bon que nous renvoyons en France deux de nos soldats. L'un est Petitpas, c'est un pilote qui a été envoyé ici du Canada, rien n'est plus dangereux ici qu'un soldat pilote, il peut favoriser les enlevement de batteaux auxquels nos soldats sont sujets. Pendant la traverse de revolters à St Thomas, Ste Marie [Sainte-Marie Martinique] regrettoit toujours de n`avoir pas Petitpas, c'est d'ailleurs un très mauvais sujet capable d`un mauvais coup.

    Selon la biographie de Barthélemy à DBC en ligne site Web au paragraphe 4 et 5, il est dit que : « En 1722, Saint-Ovide l’envoya au séminaire de Québec » et « Il fut élargi en juin 1730, mais il lui était toujours interdit de retourner en Nouvelle-France. ».

    En 1715, Barthélemy a été marié dans la foi catholique à Port-Royal (Annapolis Royal). Ses enfants sont nés à Port Toulouse, l'île Royale. Son enfant aîné était sa fille Madeleine née vers 1717, puis Joseph 1723, Jean 1728, Pierre 1731, Claude 1734, Guillaume 1735, Pélagie 1738 et Paul 1740.

    Comment la documentation mentionnée ci-dessus datée 1727 et la biographie de Barthélemy pourrait être exacte si les anniversaires de ses enfants sont corrects ? De plus surprenant serait de savoir comment sa femme, Madeleine Coste, aurait supporté son exil, enfantant deux de ses enfants pendant cette période. Par ailleurs, comment Barthélemy Petitpas, sa femme et ses enfants auraient pu être enregistrés sur les recensements de Port Toulouse pour les années 1717, 1720, 1724 et 1726 ? Les enregistrementsG3 des recensements étaient à l'Institut de Louisbourg de l'Université du Cap-Breton. Ils sont au site Web de BAC.

    Lors du recensement de 1717 de la nouvelle colonie de l'île Royale, il est signalé que Barthélemy Petitpas a été de haute estime. Il fut l'un des 16 (sur 26) habitants qui ont été auto-suffisant et sans frais pour le roi de France. Le document est à BAC. Ce qui suit est un extrait du documentB11 :

    Extrait avec un lien hypertexte à le recensement de 1717 de la nouvelle colonie de l'île Royale d'un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Barthélemy

    Ci-dessus transcription libre : Barthelemy Petitpas accadien. Sa femme...0 [garçons]...1 [filles]
    [En marge:] Na
    Les seize habitants y dessus sont bons et utiles à la Colonie, ils travaillent tous à leur metier ou à la pêche et ne sont aucunement à charge au Roy

    BAC a le recensement de 1720 pour la nouvelle colonie de l'île Royale. Ce qui suit est un extrait du documentB12 :

    Extrait avec un lien hypertexte à le recensement de 1720 de la nouvelle colonie de l'île Royale d'un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Barthélemy

    Ci-dessus transcription libre : Barthelemy Petitpas .. 4 ch [chaloupes pour la pêche]...1 [femme]...2 [gaçons]...2 [filles]

    Notez : Les frères de Barthélemy, Joseph et Paul, vivaient dans le même logement pour les années de recensement 1724 et 1726. Cela enlève quelque soupçon que c'est Joseph ou Paul qui avait été exilé en 1722 et Barthélemy a été pris pour l'un d'eux dans sa biographie à DCB en ligne. Les exils à durée indéterminée, de trois des quatre frères sont décrits ci-dessous à P17.P5 dans une lettre datée du 3 novembre 1728. En 1722, Barthélemy aurait près de 35 ans donc, ne serait pas considéré un jeune homme à cette époque. Paul aurait eu environ 27 ans et Joseph 23. Le site Web de BAC a le recensement de 1724 pour la colonie de l'île Royale. Il est intitulé le « Recensement général des habitants établis à l'Isle Royalle fait en l'année 1724 ». Ce recensement 1724B13 item 11 montre les trois frères comme étant résidents de Port Toulouse. Item 12, montrent Claude Petitpas II sans enfant de plus de 15 ans vivant avec lui. Ses enfants seraient de son deuxième mariageH4, qui a eu lieu le 7 janvier 1721. Son fils âgé de 19 ans, Isidore, de son premier mariage, ne figure nulle part sur le recensement de 1724. Voir les deux extraits ci-dessous :

    Extrait avec un lien hypertexte à le recensement de 1724 de la nouvelle colonie de l'île Royale d'un document en ligne chez BAC à propos de Barthélemy Petitpas, Joseph Petitpas et Paul Petitpas
    Extrait avec un lien hypertexte à le recensement de 1724 de la nouvelle colonie de l'île Royale d'un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Claude

    Aussi, le site Web de BAC a le recensement de 1726 pour la colonie de l'île Royale. Il est appelé le « Recensement général des habitants établis à l'Isle Royalle fait en l'année 1726 ». Ce Recensement 1726B14 (item 11) montre les trois frères comme des résidents de Port Toulouse - voir ci-dessous des extraits :

    Extrait avec un lien hypertexte à le recensement de 1726 de la nouvelle colonie de l'île Royale d'un document en ligne chez BAC à propos de Claude Petitpas, Barthélemy Petitpas, Joseph Petitpas et Paul Petitpas

    Est-ce possible que quelqu'un d'autre aie été confondu avec Barthélemy Petitpas dans sa biographie à DBC en ligne ? La réponse pourrait être lequel des frères n’est pas sur le recensement des années 1724 et 1726 ci-dessus ? Est-ce que cette personne pourrait être Isidore Petitpas, le fils cadet de Claude Petitpas II et Marie-Thérèse ? Est-ce possible qu'Isidore Petitpas soit le jeune homme visé au document en date 1727 du fichier disponible à BAC site Web ? Mais, dans l'extrait ci-dessus du recensement de 1726 pour la colonie de l'île Royale, Claude Petitpas, le marchand, a un garçon de plus de 15 ans vivant avec lui.

    Auteur Isabelle Ringuet fait une référence intéressante sur Isidore Petitpas :
    « De plus, Isidore Petitpas, fils de Claude, fait des études à Harvard »

    La source est dans sa thèse de 1999, un document nommé Les stratégies de mobilité sociale des interprètes en Nouvelle-Écosse et à 1'Ile Royale, 1713 -1758 (BAC site Web) – voir la ligne 6 du haut de la page 98B8d.

    Les premiers noms et âges des quatre frères Petitpas sont inscrits dans un recensement de 1708, documentC3. C'est sur le site Web de 1755 l'Histoire Et Les Histoires par le Centre D'Études Acadiennes de l'Université de Moncton. En 1708, Isidore avait 5 ans, Joseph 9, Paul 13 et Barthélemy 21.

    La famille indienne ci-dessus est référée dans le recensement fait en novembre 1708. BAC site Web ont leur copie du recensement original sur la bobine de microfilm M-1680. Le documentH7 du recensement Indien original fait partie de la collection d'Edward E. Ayer (1841-1927) qui est dans la possession de la Bibliothèque Newberry. Une copie originale de la page 17 a été obtenue pour cette recherche :

    Extrait de page 17
    Extrait d'un document électronique reçu de la bibliothèque de Newberry (Newberry Library). C'est la copie de la page 17 du recensement de 1708 novembre des Indiens de l'Acadie. C'est la 30e famille qui montre les Petitpas et leur âge. Il est répertorié comme suit: Claude Petit pas [Petitpas] 45, Marie Thereze [Marie-Thérèse] 40, Berthelemy [Barthélemy] 21, Paul 13, Joseph 9, Isidor [Isidore] 5, Judie [Judith] 15, Marie Louise 7 Françoise 2
    Page 17
    Extrait petite image avec un lien hypertexte d'une vue plus grande page à ce site Web d'un document de la bibliothèque de Newberry (Newberry Library). C'est la copie de la page 17 du recensement de 1708 novembre des Indiens de l'Acadie. C'est la 30e famille qui montre les Petitpas et leur âge. Il est répertorié comme suit: Claude Petit pas [Petitpas] 45, Marie Thereze [Marie-Thérèse] 40, Berthelemy [Barthélemy] 21, Paul 13, Joseph 9, Isidor [Isidore] 5, Judie [Judith] 15, Marie Louise 7 Françoise 2
  11. Emma Lewis Coleman et les biographies des PetitpasP6.P1
    En 1925, Emma Lewis Coleman a écrit un livre anglais intitulé New England Captives Carried to Canada Between 1677 and 1760 During the French and Indian Wars. Le premier volume de cet ouvrage a été utilisé pour Claude Petitpas II et son fils Barthélemy dans leur biographies disponibles en ligne au site Web DBC. Vu dans volume 1 à pages 97 & 98:

    Page 97
    Extrait petite image avec un lien hypertexte d'une vue plus grande page à ce site Web d'un document copié du livre en 1925 de l'auteur Coleman, Emma Lewis. Il a été obtenu de la Bibliothèque publique locale. Dans le premier volume, une partie de la page 97 et toute la page 98 est à propos Claude Petitpas et son fils aîné Barthélemy.
    Page 98
    Extrait petite image avec un lien hypertexte d'une vue plus grande page à ce site Web d'un document copié du livre en 1925 de l'auteur Coleman, Emma Lewis. Il a été obtenu de la Bibliothèque publique locale. Dans le premier volume, une partie de la page 97 et toute la page 98 est à propos Claude Petitpas et son fils aîné Barthélemy.

    Ci-dessus traduction libre : [Page 97 et Page 98]
    Claudius Petitpas, 1720.
    C'était un service personnalisé pour lequel Massachusetts offert sa meilleure récompense. « En considération du tendre égard que le pétitionnaire a montré à divers captifs anglais à la fin de guerre des Indiens, non seulement les soulager les secourir quand le besoin était là, mais de les acheter des Indiens ennemis à ses propres frais et charge et les mettre à liberté; ce qui fut certifié par diverses personnes de bonne Réputation » il a été décidé de le payé cent livres, et « Qu'un de ses fils soit préparé et amené au Collège de Harvard pour quatre ans à la charge du Gouvernement, et que M. le Président Leveret soit demandé de prendre la charge de son éducation. »59 L'homme était un Acadien qui avait prêté le serment d'allégeance à la Grande-Bretagne en 1695, marié à une Indienne Micmac, il était un ami précieux ainsi qu’interprète. Il est intéressant de noter qu'aucun Petitpas était à Harvard, mais une lettre envoyée de Québec à Versailles en 1722 60 nous informe que Barthélemy, fils de Claudius, était à Boston pour trois ans, il est l'intention du gouvernement de faire un pasteur de lui pour qu'il puisse apporter les Micmacs à l'allégeance anglaise et la religion des anglais; mais M. de Saint-Ovide61 a trouvé un moyen de prendre le jeune homme des Anglais et l'attirer à Québec, où ils voulaient faire un prêtre de lui, mais il a préféré être un pilote et pour garder plus en sûreté, il fut envoyé en France pour apprendre sa leçon de navigation.62 Il était encore une fois à Boston comme pilote, mais il était en prison à Boston. En 1747, le Gouverneur Shirley justifiait ceci parce que son père « un sujet fidèle . . . avait reçu des marques de faveur . . . et par conséquent son fils n'avait pas le droit de secouer son allégeance et aller dans le service du Roi français, donc, » Shirley continue, « j'ai eu un droit incontestable de le retenir, mais sa mort doit mettre fin à n'importe conflit à son propos. »63 Drake64 l'appelant l'interprète Indien (il avait été officiellement nommé par la France en 1732), dit que tous les rançons pour lui ont été refusées et ils « l'ont finalement mis à mort, » mais aucune preuve de ceci n'a été trouvée. D'après les enregistrements du Conseil, nous savons qu'il a été pilote du Vigilant, qui a été capturé en mai 1745, et fut emprisonné comme « une personne dangereuse. »
    59 Prov. Laws, IX, 676, en date du 30 juin. 60 Vaudreuil et Bégon au Conseil de la Marine N. Y., Docs. IX, 912.
    61 Gov. de l'île Royale.     62 Can. Arch., 1904 34-      63 Que. Docs., III, 379·
    64 French and Indian Wars, p. 43.

    Elle a écrit que Claudius (Claude II) a prêté le serment d'allégeance à la Grande-Bretagne en 1695. Un enregistrementC4 confirme cela sur le site Web 1755 L'Histoire Et Les Histoires par le Centre D'Études acadiennes de l'Université de Moncton. Ce document est estampillé d'archives du Massachusetts. Il y avait plus de 50 habitants de Port-Royal qui ont signé ce document. La description expose cette déclaration: « Signatures d'habitants acadiens apposées sur le serment d'allégeance à la Couronne anglaise lors de la prise de Port-Royal en 1694 ». Ce qui suit est un extrait du document de la signature de Claude Petitpas II :

    Extrait avec un lien hypertexte de la signature de Claude Petitpas. C'est d'un document sur le site Web: L'Histoire Et Les Histoires - Le Centre D'Études Acadiennes de l'Université de Moncton

    Ce serment d’allégeance à la Couronne anglaise a eu lieu lors de la guerre du Roi William de 1689-1697. Les forces coloniales britanniques ont capturés Port-Royal Acadie. Cependant, le traité de Ryswick a rendu Port-Royal à la France en 1697. Enfin, Port-Royal a été repris par les Britanniques durant la guerre de la Reine Anne de 1702-1713 et rebaptisée Annapolis Royal en 1710.

    Ce n’est donc pas étonnant que, tel qu’indiqué, Emma Lewis Coleman n’ait trouvé aucun document d’un Petitpas à Harvard. Selon elle, Barthélemy était là pour devenir prêtre. De plus, il peut être noté que ceci était motivé par le désir d’encourager les Indiens de changer de religion. Cependant, sur examen du document pour la référence 60 en bas de la page 98, il n'y a aucune preuve que Barthélemy était le jeune homme visé dans la lettre française datée le 17 octobre 1722. En dessous ceci est examiné en détail avec une copie du document de la Bibliothèque de l'État de New York à le paragraphe ci-dessus (P19.P5).

    Aussi, très intéressant, c'est qu’Emma Lewis Coleman, par sa recherche, a trouvé que quelqu'un d'autre, « Drake » a corroboré le compte du Père Maillard que les Indiens avaient essayé de faire libérer Barthélemy et qu’il fut mis à mort.

    Il semble que le droit d'auteur du livre mentionné par Emma Lewis Coleman a expiré et est maintenant dans le domaine public. L'auteur est Samuel Gardner Drake. Ce livre a été publié en 1870. Une copie numérique du documentD5 est disponible pour lecture et téléchargement sur le site Web de Google Recherche de Livres. Quelques-unes des accusations portées par les Français ont été sélectionnés et mis en place par lui (pages 41 à 44). Un extrait de la page 43 dit ceci :
    Traduction libre : « Au mois de juillet, 1745, « le même David » a obtenu par stratagème une famille indienne dans ses mains, mais ils se sont échappés, la nuit même, ils ont été pris. Aux même temps ils ont pris l'interprète indien, du nom de Barthélemy Petitpas, et l'emmena prisonnier à Boston, a refusé toutes les offres de la rançon, et enfin il est mis à mort. »

    Encore plus intéressant est qu'Emma Lewis Coleman a trouvé des preuves dans les enregistrements du Conseil, que Barthélemy Petitpas a été emprisonné comme « une personne dangereuse ». La conclusion de cette recherche n'a pu faire valoir un argument que Barthélemy n'était pas « tout à fait un caractère » au cours de sa vie. Toutefois, aucune preuve ne peut être trouvée indiquant qu'il avait un caractère violent. Ses traits de caractère étaient ce qui serait attendu d'un négociateur. Il était un homme instruit avec beaucoup d'expérience de la vie. Il aurait su que la violence n'était pas le moyen de sortir de sa captivité. En outre, William Shirley, dans sa lettre (voir ci-dessus P2.P6) en date du 31 juillet 1747, ne dit pas Barthélemy Petitpas est violent.

    Les Français auraient su qu’une telle d'accusation n'était pas fondée. Par conséquent, les preuves concrètes des documents des enregistrements du Conseil ne sont pas favorables les unes aux autres sur la raison de l'incarcération indéfinie de Barthélemy comme « une personne dangereuse ». Ainsi le destin de Barthélemy Petitpas a probablement été déterminé bien avant que William Shirley eu tenté une justification et un raisonnement de la mort de Barthélemy dans sa lettre datée du 31 juillet 1747. Il prétendait que Barthélemy était un sujet de la Grande-Bretagne par le traité d'Utrecht. Barthélemy manquait de fidélité pour le prince et était entré au service du roi de France. En d'autres termes, William Shirley n'a pas libéré Barthélemy Petitpas comme d'autres prisonniers de guerre. Son argument était que Barthélemy Petitpas était un traître à la Grande-Bretagne, et probablement « une personne dangereuse » aux intérêts coloniaux de la Grande-Bretagne.

    Dans le dernier paragraphe à la page 98 Emma Lewis Coleman déclare : « From the Council Records we know that he was pilot of the Vigilant, which was captured in May, 1745, and was imprisoned as "a dangerous person." ».
    Traduction libre : « D'après les enregistrements du Conseil, nous savons qu'il a été pilote du Vigilant, qui a été capturé en mai 1745, et fut emprisonné comme « une personne dangereuse ». Elle ne montre pas de référence en bas de la page aux dossiers qui ont été examinés dans les enregistrements du Conseil pour vérifier si la personne était en effet Barthélemy Petitpas. Aussi, la date sur cet enregistrement serait importante pour déterminer si Barthélemy Petitpas a jamais eu une chance pour la liberté. Classé comme « une personne dangereuse » jusqu'à sa mort ou a été mis à mort. Il serait hautement improbable que les aînés Indiens n'auraient pas troqué pour sa libération. Mais, jusqu'à présent, cette recherche, ni aucun document gouvernemental spécifique n’ont été trouvé pour indiquer que les Indiens l'ont fait.

    Les Indiens peuvent ne pas avoir fait directement la demande aux Anglais pour la liberté de Barthélemy Petitpas. Le militaire français aurait pu faire cela au nom des Indiens. Par conséquent, les Français n'auraient probablement pas divulgué ni documenté que Barthélemy Petitpas était leur interprète officiel pour les Indiens, tout en espérant que les Anglais ne connaissaient pas l'importance de Barthélemy aux Français pour les communications militaires, etc. Évidemment, William Shirley, n'aurait pas dit aux Français qu'il le savait.

    La documentation indique que peut-être l'autorité anglaise a prit Barthélemy pour quelqu'un d'autre. Cette personne aurait été Isidore le plus jeune frère de Barthélemy. Les Français n'auraient probablement pas fait cet argument aux Anglais. Ils auraient craint d'avoir à expliquer ce qui s'est réellement passé avec les frères de Barthélemy. Plus tard dans cette présentation, ceci sera exploré en plus grande profondeur.

    Pour clarifier, c'était important pour la Grande-Bretagne que la personne qui avait été capturé en l'année 1745 reste classée comme « une personne dangereuse ». La Grande-Bretagne aurait aussi probablement pris Barthélemy pour son plus jeune frère. Cette erreur a continué tout au long à travers l'histoire. Du point de vue de la Grande-Bretagne, Barthélemy pourrait avoir été trop influentiel parmi la Nation Mi'kmaq pour la France coloniale. La Grande-Bretagne ne savait pas que les autorités françaises avaient pris le plus jeune frère Isidore en 1722 et qu’il avait été exilé. La documentation indique que Barthélemy et ses trois plus jeunes frères étaient tous très influents avec les Indiens comme leur père Claude Petitpas II. En plus dans le document susmentionné daté du 17 octobre 1722, M. de Vaudreüil et Begon de la France a utilisé le mot dangereux dans le même contexte pour décrire Claude Petitpas II et son jeune fils dans ce temps de 1722. Comme mentionné précédemment, ce document est examiné en plus grand détail plus tard.

  12. Claude Petitpas II dans sa Biographie a été confondu avec quelqu'un d'autre
    Le biographe Clarence d'Entremont (à DBC en ligne) dans la biographie de Claude Petitpas II commence par lui peint comme quelqu'un qui était « connu surtout pour sa collaboration avec les Anglais ». P7.P2Auteur Isabelle Ringuet classes l’affirmation de Clarence d'Entremont comme une exagération. C'est dans sa thèse de 1999, un document nommé Les stratégies de mobilité sociale des interprètes en Nouvelle-Écosse et à 1'Ile Royale, 1713 -1758 (BAC site Web) - voir la déclaration d'Isabelle Ringuet (le dernier paragraphe, la ligne 5 du bas de la page 72B8b). Malheureusement, à partir de cette écriture ce document est seulement disponible dans sa langue d'origine. Il n'a pas été traduit en anglais. Dans ce document de 147 pages, Isabelle Ringuet fait un grand travail d'explication sur les interprètes à cette époque - l'impact du traité d'Utrecht et de l'exil des Acadiens en 1755. Il y a quatre familles de interprète, qui font partie de sa thèse - d'Entremont, Le Borgne de Bellisle, Petitpas et Robichaud.

    Au paragraphe 3 de la biographie de Claude Petitpas II à DBC en ligne il est dit : « Petitpas demeurait, du vivant de sa première femme, à Mouscoudabouet (Musquodoboit), où les pêcheurs de Boston étaient très actifs, et, dès 1698, on eut à se plaindre de son association avec ceux-ci. En septembre 1718, une frégate envoyée de Boston par le gouverneur du Massachusetts et commandée par le capitaine Thomas Smart mouilla dans le havre de Canseau (Canso). Les Anglais s’emparèrent d’un bon nombre de pêcheurs français, dont Marc La Londe, gendre de Claude Petitpas. Celui-ci mit sa propre goélette à la disposition des Anglais pour qu’ils pussent mieux accomplir leur dessein. ».
    Les recherches effectuées n'ont trouvé aucune preuve documentaire que Claude Petitpas II a « mit sa propre goélette à la disposition des Anglais pour qu’ils pussent mieux accomplir leur dessein. ».
    Capitaine Dominicé a fait deux déclarations sur le pillage de Canceau. Sa première déclaration a été donnée le 13 octobre, 1718 à Louisbourg l'île Royale. Il a donné sa deuxième déclaration à la Rochelle France le 28 décembre 1718. Il indique sur sa déclaration donnée à Louisbourg île Royale que la personne a été Nicolas Petitpas.
    Le site officiel de recherche de la forteresse de Louisbourg avait une transcriptionG4 textuelle partielle de la déclaration du capitaine Dominicé du 13 octobre 1718. Un extrait de ce document indique ceci :
    « Le déclarant se plaint des manoeuvres du sieur Nicolas Petitpas, qui, par ses parfaites relations avec le capitaine Cinare, à qui il servait de Conseil, l'a aidé à faire donner ses compatriotes dans le piège. »

    BAC site Web a des images numérisées du dit documentB15. La portée et contenu dit : ‘Déclaration du capitaine Dominicé au sujet du pillage de Canceaux’. Voir le item 4 numérisés ou la ligne 3 du haut de la ci-dessous extrait :

    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Nicolas

    La déclaration de Capitaine Dominicé le 28 décembre , 1718 a été utilisée comme une référence dans la biographie de Claude Petitpas II à DBC en ligne. Ce document en langue française est un (583 pages) livre de manuscrits historiques appelé Collection de Manuscrits Relatifs à la Nouvelle-France Vol. III. Nicolas Petitpas n'apparaît pas dans cette transcription. Il semble que le droit d'auteur pour ce livre a expiré et dans le domaine public. Une copie numérique du document est disponible pour lecture et téléchargement sur le site Web Google Recherche de Livres. À la page 38 et 39 (les numéros de page pdf 50 et 51) il y a la déclaration faite par le capitaine Dominicé à La Rochelle France datée le 28 décembre 1718. Ce qui suit est un extrait de sa déclaration :

    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne sur Google books à propos le nommé Petitpas

    Ci-dessus transcription libre : Que tous les François ne peuvent trop se plaindre de la manoeuvre du nommé Petitpas, François habitué dans ce havre, lequel a toujours été en liason étroite avec les Anglois depuis l`arrivée de la frégate et en conférence particulière avec le Capitaine auquel il servoit de conseil et l`animoit contre les François, et qu`étant informé du dessein de ce Capitaine loin de les en avertir, il a aidé à les faire donner dans le piège, qu`il a même fretté sa gaulette aux Anglois pour le transport des dites morues.

    Par conséquent, selon la déclaration du capitaine Dominicé en date du 13 octobre 1718, Claude Petitpas II n'est pas le nommé Petitpas qui le capitaine français Dominicé accuse d'aider et de fournir sa goélette aux Anglais. Capitaine Dominicé se réfère à Claude Petitpas II comme le nommé Petitpas à la page 2 ( item 2 à BAC site Web) de sa déclaration ou son témoignage, mais est d'identifier le gendre de Claude Petitpas II « La Londe ». La Londe [LaSonde] a été l'un des hommes arrêtés par le capitaine anglais Cinare (Smart). Il y a un documentB16 français appelé : Copie de la lettre de monsieur de Saint-Ovide de Brouillan, gouverneur de l'Ile Royale, au gouverneur de Boston, au sujet des mauvais traitements que quelques capitaines marchands, qui faisaient la pêche à Canceaux, ont essuyés de la part du capitaine d'une frégate anglaise qui les a pillés. Selon ce document item 4 à BAC Site Web, LaSonde a été arrêté de manière violente avec (chaînes) des fers.

  13. La Collection de Manuscrits Relatifs à la Nouvelle-France (CMRNF) Vol. III
    Comme mentionné précédemment, le livre des documents (CMRNF Vol. III) a été utilisé avec erreur comme références dans les biographies à DBC en ligne pour Claude Petitpas II et son fils Barthélemy. Toutefois, ces manuscrits historiques contiennent des lettres très intéressantes et des témoignages (pages 28 - 31, 34 - 39) de savoir pourquoi et ce qui s'est passé à Canceau (Canso) au mois de septembre, 1718.

    Aussi, dans la collecte de CMRNF Vol. III à la page 70 - 72 il y a d'autres événements très intéressants qui ont eu lieu qui auraient grandement affecté les nommés Petitpas. Dans une lettre datée du 14 mars, 1722 (CMRNF Vol. III page 71), gouverneur Shute a accusé le gouverneur Vaudreüil de fournir des officiers et des munitions de guerre aux Indiens Abénakis de Norridgewock. Shute a écrit qu'il avait les instructions originales de Vaudreüil aux Indiens et le Père Ralle (Rasle), un missionnaire pour les Indiens que Shute a écrit qu’il était la partie principale à la matière (CMRNF Vol. III page 72). Les Anglais ont obtenu les documents originaux de la résidence du père Ralle (Rasle) qui à ce temps s'est tout juste échappé. Cette guerre de mots dans les lettres ou la situation entre les deux gouverneurs s'est intensifiée. Les Anglais ont déclaré la guerre aux Indiens Abernaki en 1722.

    Plus tard, en 1722, gouverneur de la Nouvelle-Écosse (Acadie) Phillips a déclaré la guerre contre les Indiens Mi’Kmaq. Ces guerres ont probablement été un facteur du gouverneur Saint-Ovide de vouloir le fils de Claude Petitpas II hors et loin de la Nouvelle-France en 1722, parce qu'il aurait pu être un avantage pour la paix entre la Grande-Bretagne et les Indiens. Bien sûr cette paix entre la Grande-Bretagne et les Indiens aurait été nuisible pour l'intérêt colonial de la France dans la région. Cette paix s'est produite en 1725 à Boston Massachusetts, un traité termine la guerre avec les Indiens Abernaki. Ce traité de 1725 a été ratifié par les Mi'kmaq à Annapolis Royal en Nouvelle-Écosse en juin 1726 et par la suite pour inclure d'autres en 1728.

    Deux frères du jeune Petitpas qui a été exilé en 1722 se sont retrouvés dans environ le même dilemme avec les Français comme lui. Ce fut à la fin de la guerre entre la Grande-Bretagne et les Indiens en 1728. Leur dilemme est étudié plus loin dans cette présentation.

  14. Continuation de Claude Petitpas II a été confondu avec quelqu'un d'autre
    La raison de Claude Petitpas II d'être pris pour quelqu'un d'autre pourrait n'être pas tous dus à la version de la transcription de la déclaration du capitaine Dominicé du 28 décembre 1718. BAC a un documentB17 qui ne possède pas les détails de la déclaration ou d'un témoignage en date du 13 octobre 1718 du capitaine Dominicé. Il est daté du 29 novembre 1718. Il est appelé « Arrêté du Conseil, sur une lettre de messieurs de Saint-Ovide et de Soubras sur l'opposition mise par les Anglais à la pêche des Français à Canceaux » (voir item 3 et item 5). Ce document inserts doute en acceptant le terme « le nommé Petitpas » seulement à identifier Claude Petitpas II.

    Autre facteurs d'identification que seulement « Petitpas » ou « le nommé Petitpas » doivent être considéré pour savoir si quelqu'un est appelé sans prénom. Folio 73 (item 3) du document réfère à LaSonde comme le gendre de Petitpas. Folio 74 (item 5) du même document indique que les Français ne pouvaient pas trop se plaindre au sujet du nommé Petitpas qui était toujours en liaison avec le capitaine anglais à qui il donnait des conseils. Voici des extraits de item 3 et item 5 :

    Item 3
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC - Folio 73 fait référence à l'un nommé LaSonde, le gendre de Petitpas [Claude Petitpas] II et folio 74  fait référence à celui qui est le nommé Petitpas [Nicolas Petitpas ]
    Item 5
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC - Folio 73 fait référence à l'un nommé LaSonde, le gendre de Petitpas [Claude Petitpas] II et folio 74  fait référence à celui qui est le nommé Petitpas [Nicolas Petitpas ]

    Il est encore un autre documentB18 sur le site Web de BAC. Il semble que le gouverneur Saint Ovide blâmait Claude Petitpas II ou son fils pour les actions par les Anglais à Canceau en septembre 1718. Il est appelé « Arrêt du Conseil sur une lettre de M. de Saint-Ovide datée du 29 novembre 1719, concernant la pêche à Louisbourg et le recensement des habitants propriétaires d'une chaloupe ». Ce document du 7 mai 1720 est la réponse du Conseil de la lettre de Saint-Ovide datée le 29 novembre 1719. L'extrait suivant est item 5 du document :

    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC - Folio 43 (item 5) fait référence à le nommé Petitpas et son fils Extrait transcription libre : À s'informer du sujet du voyage qu'à fait à Baston, le nommé Michau, sauvage de Cap-Breton, comme aussi s'il est vrai que le fils du nommé Petitpas soit à Baston pour y apprendre la langue, pour être ministre parmi nos sauvages.
    Na: Petitpas a déserté de la colonie et a passé chez les anglois, après avoir fait faire le pillage de Canceau.

    Selon les documents examinés au cours de cette recherche, Nicolas Petitpas n'a pas été réprimandé ou puni pour les allégations contre lui ou sa participation présumée à Canceau en septembre 1718. Apparemment, Nicolas avait une perte substantielle en raison de la confiscation par les Anglais. Au fait le père de Nicolas a été Jacques Petitpas. Lui et en compagnie de son beau-père Jean Serreau de Saint-Aubin étaient tenus en respects très élevés par la France et ses colonies. En 1692, ils ont mis eux-mêmes et leurs familles à de grands risques pour sauver Saint-Castin d'être assassiné. Saint-Castin était un officier militaire français qui est devenu un chef Indien des Abénaquis. Leur déclaration concernant l'incident peut être vue dans un documentB19 à BAC sur leur site Web. Un compte rendu de leur héroïsme se trouve au DBC en ligne dans paragraphe 12 de la biographie à Saint-Castin.

    Aussi, au cours de cette recherche aucune preuve documentaire n'a été constaté que Barthélemy le fils de Claude Petitpas II a participé et assisté le capitaine Smart. Dans la biographie de Barthélemy Petitpas à DBC en ligne au paragraphe 3, il dit : « Lorsqu’il aida le capitaine Thomas Smart* à chasser un groupe de pêcheurs français de Canseau (Canso, N.-É.), en 1718, Petitpas était franchement dans le camp anglais.”.

  15. Continuation de la biographie de Claude Petitpas II - Considération de la question de Mi'Kmaq
    Les déclarations que Claude Petitpas II aidait les Anglais (dans la biographie de Claude Petitpas II au DBC en ligne) semblent manquer dans la compréhension de Claude II et ses fils engagement envers la nation Mi'kmaq. Il semble aussi être un euphémisme de l'effet que les facteurs gouvernants acadiens auraient eu sur leur existence. Il y avait d'autres éducateurs, interprètes et négociateurs Acadiens qui étaient proches et très utiles pour les Anglais à cette époque. La non-coopération aurait résulté de l'emprisonnement sûr, l'exil ou peut-être même la mort. Inutile de dire, ils auraient été risquer de perdre tous leurs biens. De même pendant le temps de l'exil, le père Pierre Antoine Simon Maillard a réussi à sauver quelques-uns des nommés Petitpas ayant des compétences particulières.

    En outre, il en apparaît de cette recherche que la méthode d'écrire la biographie de Claude Petitpas II au DBC en ligne a été à partir d'un point de vue français et manque d'objectivité envers le nommé Petitpas, qui ne sera pas abordé à ce moment. Les historiens ont besoin d'une compréhension clairement impartiale et d’avoir un souvenir du terrible type de jeu monopole de possession que la royauté française et anglaise jouaient. Ce jeu a fait la privation inutile, la souffrance et mort des Acadiens et les Indiens d'Amérique, et la reddition de leur patrie. La question des ramifications personnels du traité d'Utrecht doi être examinée et transmise à l'audience. Ils tous essayaient juste de survivre et faire le mieux du climat politique changeant.

    La biographie de Claude Petitpas II (à DBC en ligne) se termine en se référant à une déclaration par nul autre que William Shirley « En 1747, le gouverneur Shirley du Massachusetts rappelait que Petitpas avait été un « sujet fidèle de la couronne britannique, ayant reçu des faveurs de ce gouvernement pour ses services ». ». Qu'est-ce que le biographe ne dit pas au lecteur, c'est que sa déclaration était probablement tirée du document ci-dessus où William Shirley tente de justifier la mort de Barthélemy fils Claude Petitpas II. C'est décrit commençant au paragraphe ci-dessus (P2.P10) et dans l'extrait de la référence à page 379 de la Collection de Manuscrits Relatifs à la Nouvelle-France Vol. III.
    Aussi, la biographie en ligne à DBC ne révèle pas que Claude Petitpas II a servi la France comme leur Interprète Officiel pour les Indiens dans la colonie de l'île Royale.

    En bref, considérant la position complexe de Claude Petitpas II comme interprète, on ne peut omettre de considérer tous ces facteurs importants avant la conclusion qu'il n'était pas digne d'un souvenir officiel respectueux.

  16. Claude Petitpas II et ses fils vivant sous la domination anglaise
    Ils y avaient 10 résumésG5 des enregistrements gouvernementaux français sur les nommés Petitpas à : l'Institut de Louisbourg de l'Université de Cape Breton - Site de recherche officiel de la Forteresse de Louisbourg. Il faut garder à l'esprit que ces dossiers sont quand Claude Petitpas II est sous la domination anglaise. Il vivait en Acadie (Nouvelle-Écosse). Ce territoire ou la terre appartenait à la Grande-Bretagne après le traité d'Utrecht (31 mars - avril 11, 1713). Par ailleurs, Claude Petitpas II est né et a vécu en Acadie (Nouvelle-Écosse), la plupart de sa vie. L'Autorité française a reconnu dans leurs lettres, que ces événements ont eu lieu alors qu'il vivait à Canceau (Canso). Cet endroit était grand pour la pêche en Acadie Canceau (Canso Nouvelle-Écosse) côté de la baie. Ces lettres montrent les différends sur la pêche et sur les nommés Petitpas parce que le gouverneur M. de Saint-Ovide de l'île Royale (aujourd'hui - Cap-Breton) pensait qu'ils tentaient d'aligner leur (de les Français) Indiens des missions à la Grande-Bretagne.
    La référence dans les 3 prochains documents à « le nommé Petitpas » est probablement Claude Petitpas II.
    Extraits du résuméG6 de la lettre datée du 10 décembre 1718 au site Web (certaines questions de juin et octobre 1718) indique ceci :P3.P21

    « - M. de St Ovide a prévenu les habitants français des prétentions anglaises sur Canceau et qu'ils se tiennent prêts d'en sortir et de faire transporter leur poisson sur l'Ile Royale, s'il apprenait par des nouvelles de France ou d'Angleterre que cette cession était due à l'Angleterre.
    - Il leur a ordonné de venir s'établir avec leurs familles, au Port Toulouse ou aux environs, dès la fin de la pêche, persuadé que les Anglais en sortiraient aussi, par crainte des sauvages, qui ne sont retenus que par le nommé Petitpas, habitant de l'Acadie, qui a un empire absolu sur leur esprit et les fait commercer avec les Anglais.
    »

    « Ordre a été donné à M. de la Ronde, qui commande au Port Toulouse, d'envoyer prendre le nommé Petitpas, qui n'a pas voulu se retirer de Canceau, malgré les ordres, et y reste pour servir de sauvegarde aux Anglais, contre les sauvages. »

    Le site Web de BAC a une copie du manuscrit original du documentB20 (voir items 9, 10 et 14) ou les extraits ci-dessous :

    Item 9
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas
    Item 10
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas
    Item 14
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas

    Notez : Ci-dessus la lettre en date du 10 décembre 1718 est très longue (20 pages). Il n'y a pas d'accusation que Claude Petitpas II a aidé les Anglais ou le capitaine Cinare (Smart) pendant le pillage à Canceau en 1718.

    La lettre datée du 20 septembre 1719 place encore Claude Petitpas II comme un résident de Canceau sous la domination anglaise, et M. Saint-Ovide le gouverneur de l'île Royale (territoire français) donnant d'ordres de le prendre n'étaient pas réussis. BAC site Web a le documentB21 manuscrit, (voir items 5, 6 et 7) ou ci-dessous des extraits :

    Item 5
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC d'un nommé Petitpas
    Item 6
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC d'un nommé Petitpas
    Item 7
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC d'un nommé Petitpas

    Ci-dessus transcription libre : Ayant eté informé au havre du St Esprit que Le Nommé Petitpas habitant de L'Acadie qui s'est habitué à Canceau – venait d’arriver de Baston ou les Anglois lui avaient donné 2000# de gratiffication [gratification] pour attirer à eux les Sauvages qui nous sont attachés, ci fur ce qu’il aprit en même tems qu’il avait au Port Toulouse et aux Isles Madame quelques chefs de ces Sauvages, il s’y rendit et leur parla, ils lui parurent fachés du peu d’attention que le Roi avait pour eux, qu’ils n’avoient presque rien en depuis trois ans, qu’eux et leurs familles [?] faim faute de poudre et de plomb, et pas vue aussi [? d’aide] pour habiller leurs enfants. Il leur promit qu’il aurait son attention particuliere à tous faire distribuer ce qui leur serait envoyé et qu’en son particulier il donnerait tous les secours qui dependent de lui, il à appris qu’ils s’etait retirés chez eux assés content et qu’ils n’avoient pas voulu ecouter les propositions qui leur eté faites par le [? nommé] Petitpas
    Na les presens [présents] leur sont envoyés regulierement. Il n’y que l’année derniere qu'une partie à resté en France à cause du relache du Chercule, mais tout à eté envoyé par le Dromadaire.
    Il avait donné orde detacher de prendre Petitpas avec ses enfants mais ayant à ce qu’il croit un avis, il s’est retiré à la coste de l'Acadie.

    Aussi, il y avait un résuméG7de ce document français au site de recherche officiel de la forteresse de Louisbourg. Un extrait du résumé indique que cela est à propos le nommé Petitpas :P3.P21

    « - Petitpas. - Entente avec les sauvages.
    - M de St Ovide dit avoir appris au havre du St Esprit, que le nommé Petitpas, habitant de l'Acadie, qui habite Canceau, venait d'arriver de Boston, ou les Anglais lui avaient donné 2000# de gratification pour attirer aux Anglais les sauvages qui sont attachés à la France. - Ayant appris qu'il y avait au Port Toulouse et aux îles Madame quelques chefs de ces sauvages, M de St Ovide, s'y est rendu, et leur a parlé. Il a entendu leurs plaintes sur le peu d'attention que leur porte le Roi, sur le manque de nourriture et de vêtements, et leur a promis de les soulager par une distribution de tout ce qui serait envoyé pour eux. - Les sauvages se sont retirés assez contents et ont refusé d'écouter le nommé Petitpas. Celui-ci ayant eu avis que M. de St Ovide voulait le prendre, avec ses enfants, s'est retiré à la côte de l'Acadie.
    »

    Claude Petitpas II a travaillé dur et a été un leader bien-aimé parmi les Indiens. Les archives françaises montrent que pendant la récolte de pêche sur la baie Canceau de l'Acadie (Nouvelle-Écosse), il était un leader responsable et se souciant pour 100 matelots. Les Français disaient qu'il était le chef de ces hommes.

    Les enregistrements examinés au cours de cette recherche indiquent que Barthélemy Petitpas a émigré avant 1718 à la colonie de l'île Royale sous la domination française. Son père Claude Petitpas II a émigré un peu avant 1725.

  17. Claude Petitpas II et ses fils vivant sous la domination française
    M. Saint-Ovide a continué à le soupçonner, ainsi que deux de ses fils les plus jeunes (non pas Barthélemy) d'être plus Anglais que Français. M. Saint-Ovide était obsédé avec inquiétude que Claude II et ses deux fils cadets auront débauché les Indiens alliés de la France pour former une alliance avec la Grande-Bretagne. La biographie de Claude II au DBC en ligne dans le paragraphe 5 indique que le gouverneur « Saint-Ovide voulut donc s’en débarrasser en l’envoyant vers la fin de cette même année en France avec deux de ses fils du premier lit. ». Ce n'est pas correct selon la lettre envoyée par le gouverneur. Cependant, le gouverneur semblait avoir les mains pleines avec les fils de Claude II et il les ont expulsé. Dans cette lettre, M. St. Ovide dit qu'ils sont forts bons navigateurs et il est y a environ dix ans qu'un de leurs frères fut envoyé aussi en France pour à peu près la même raison. Cette lettre ainsi que d'autres documents examinés donne une forte suspicion que Barthélemy n'était pas l’autre frère envoyés en France. Tel que mentionné précédemment l'autre frère qui avait été envoyé à la France et expulsé en 1722 semble être Isidore le plus jeune des quatre frères.

    Bien que la lettre ne mentionne pas leur nom, les jeunes fils qui seraient assez vieux noms ont été Paul et Joseph. Il faut noter que la mère de ces jeunes fils de Claude Petitpas II a été Marie-Thérèse, une Mi'kmaq Native Américaine. Ainsi, ils ont été très bien apprécié et influents comme leur père au sein de la communauté Mi'kmaq. Ce document est sur le site Web de BAC.

    Le documentB22 sur le site Web de BAC est datée le 3 novembre 1728. La description du document est quelque peu embrouillant quand la lettre originale de 23 pages est lue. Le style d'écriture n'est pas clair et difficile à comprendre. Certains mots sont cachés où l'image sur les pages rejoignaient au centre de liaison de ce document. Un de ces mots est sur folio 67v (item 2) du document. Le centre de la reliure du document cache le mot suivant après le mot ataquer. Cependant, à la page 33B8a de la thèse d'auteur Isabelle Ringuet, il y a un extrait de la lettre transcrit qui est partiellement masqué, il indique « ataquer Canceau ». Également, entre parenthèses de l'extrait il est dit que le missionnaire M. Gaulin a été la personne qui a informé M. St. Ovide au printemps. Un examen plus approfondi de la copie du document original et d'une transcription écrite du document original a été fait au cours de cette recherche. BAC a cette transcription explicite écrite à la main sur microfilm (informations de référence sont : MG1-C11B, volume 10, p. 79-89, bobine C-9292) du document original. Il s'avère que la personne qui a informé M. St. Ovide au printemps n'a pas été missionnaire M. Gaulin plutôt missionnaire M. Courtin. Le style du transcripteur de l’écriture du document d'origine a permis de clarifier la plupart des mots pas clairs. Toutefois, le mot Canceau relative à « ataquer Canceau » n'est pas encore clair. Il semble que ce mot dans la transcription ressemble plus au Canada que Canceau, ce qui n'est pas raisonnable étant donné le territoire affirmé à cette époque par les Anglais et Français. Peut-être le document original, qui est en France, permettrait de résoudre ce que ce mot en question qui est comme suit :

    Extrait de la page 79 de la transcription de la lettre de M. de Saint-Ovide à Monseigneur datée le 3 novembre 1728. L'image montre le mot en question ayant trait à  attaquer « Canceau » comme étant encore incertain.

    Le BAC MG1-C11B, volume 10, bobine C-9292E3 est maintenant numérisé chez Canadiana Héritage par RCDR.

    Ce qui suit sont les extraits des folios 67, 67v, 68, 68v et 69 qui sont relatifs à Claude Petitpas II et deux de ses fils dont leur mère était Marie-Thérèse :P17.P9

    Folio 67
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas et deux de ses quatre fils de son premier mariage
    Folio 67v
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas et deux de ses quatre fils de son premier mariage
    Folio 68
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas et deux de ses quatre fils de son premier mariage
    Folio 68v
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas et deux de ses quatre fils de son premier mariage
    Folio 69
    Extrait avec un lien hypertexte d'un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas et deux de ses quatre fils de son premier mariage

    Ci-dessus transcription libre :
    Iles Royalle
    M. de St Ovide 3 novembre 1728
    Monseigneur
    J'auvis eu l'honneur de vous informer l'autonne dernière d'une assemblée considérable de Sauvages qui s'estoit faite à Artigognich et dont ce n'avois peu savoir la raison. j'écrivis a M. Courtin leur missionnaire de ce rendre dans cest endroit ou il devoit passer l'hiver et de tâcher de découvrir le motif de cette assemblée affin de m'en informer, mais les mauvais tems n'ayant peu lui permettre de renvoyer ici, il ma informe ce printems que les sauvages avoient tenu grands conseils, vu l'avis de la plus grande partie des anciens, estoient d'allés ataquer [?Canceau?] mais que les jeunes gens sy trouvoient opposés ayant esté corrompus par deux jeunes fils d'un nommé Petitpas, françois qui s'est depuis trois ans retiré de Canceau au Port Toulouse, et qui avait autrefois epoussé une sauvagesse dont ils s'ont sortis, cela n'a été découve qu'après que la plus grande partie des sauvages se sont retirés d'Artigognich. J'estoit bien persuadé Monseigneur que le père et les deux enfants s'ont beaucoup plus anglois que françois, il y a long tems je les aurais fait passer en France si je n'avois craint que cela nous fait un maivais effet parmi nombre de sauvages de qu'ils s'ont allier, mais comme dans la tournée que je viens faire, ils m'ont tous fait connaître que ses deux jeunes gens leurs estoient très suspecs, qu'ils avoient déja gassé l'esprit de leurs jeunesse, qu'ils scauoient de bonne part que toutes les fois que les deux jeunes gens alloient à Canceau s'estoit pour informer les anglois de tout ce qui se passait parmi eux. Que le père avec les deux enfants devoient cette automne s'aller établir à Chedabouctou, terre de l'Accadie proche Canceau affin de se trouver plus apostés de savoir tout ce qui se passeroit parmi les sauvages, qu'ils me prioit en grace d'eloignier de ce pays ici ses deux jeunes gens de manière qu'ils ne parussent plus, que sans cela ils ne pourroient trouver d'endroit ou ils peut estre en suretté, ayant donné ordre à M. Chevallière de m'informer si le père et les deux enfants feroient quelque mouvement pour aller s'établir ailleurs. C'est officier m'a écrit qu'ils estoient partis pour aller batir une maison à Chedabouctou, cela ma fait connaître que tout ce que les sauvages m'ont dit de ses jeunes gens n'estoit pas sans fondement, P10.P11 P21.P3ce qui m'a determiné à les faire venir en sécurité affin de les faire passer en France. Je les ai remis, Monseigneur, entre les mains de M. de Conteneüil pour qu'il les remis à M. de Beauhanois Intendant à Rochefort. Je vous suplie Monseigneur, de vouloir bien donner vos ordres pour que ses deux jeunes gens ne paroissent plus dans ce pays, ils s'ont fort bons navigateurs, et il y a environ dix ans qu'un de leurs frères fit envoyé aussi en France pour a peu près la même raison.

    La lettre est assez longue, il y a d'autres questions dans cette lettre - Deux questions ont été les distributions de cadeaux du roi de France à quelque 130 Indiens, et la combustion des papiers d'accord de paix que les Anglais leur ont offertes. Une autre est que le chef et les aînés ont beaucoup de jeunes dans les villages de l'Acadie et la baie-des-Challeurs et de Miramichi, et à la première conférence, M. Saint-Ovide a fait prendre conscience qu'il était malheureux avec certains des Indiens parce ils sont restés avec les Anglais.

    Il apparaît du ci-dessus lettre en date du 3 novembre1728 et la lettre datée du 10 décembre, 1718 que l'Autorité française essayait de contrôler et d'encourager à tort, une population indienne. Beaucoup d'entre eux ne vivent pas dans la colonie française l'île Royale. Les Indiens vivaient pour la plupart en Acadie (Nouvelle-Écosse) auquelle a été cédée à la Grande-Bretagne par la signature du traité d'Utrecht en 1713. Si le mot français souligné ci-dessus signifie attaquer Canceau alors les nommés Petitpas étaient très justifiés à décourager les plus jeunes Indiens de ne pas attaquer les Anglais à Canceau en Acadie [Nouvelle-Écosse] pour des raisons personnelles, morales et raciales. Leurs actions ont sauvé des vies, et probablement empêché une autre déclenchement de la guerre entre la Grande-Bretagne et la France. Finalement, cela pourrait avoir été remarqué par la France. C'est peut-être une raison pour laquelle l'autorité française est devenu confiant avec les nommés Petitpas.
    Une autre raison pourrait être que M. de Saint-Ovide, le gouverneur était absent de l'île Royale pour environ 11/2 ans. Dans sa biographieA10au DBC en ligne, (paragraphe 11) il dit « au séjour en France que fit le gouverneur et qui dura de la fin de 1729 jusque vers la moitié de 1731.".

    Bien qu'au contraire, il se peut que Claude Petitpas II était un homme brisé. Il avait maintenant trois fils de son premier mariage en exil. Il se pourrait bien qu'il n'avait pas le choix dans son émigration vers la colonie française de l'île Royale, et par la suite devenant nommé l'officiel interprète français pour les Indiens. C'est s'il espérait jamais voir ses fils de nouveau.
    Charles de saint-Étienne de la Tour IIA11 était l'officiel interprète français pour les Indiens, jusqu'à sa mort en 1731.

    Une attention particulière doit être accordée à quelque chose d'autre à propos de la lettre de M. Saint-Ovide le 3 novembre 1728. Comme mentionné ci-dessus la personne qui s'était plaint des deux fils du nommé Petitpas n'était pas M. Gaulin un missionnaire pour les Indiens en Acadie [Nouvelle-Écosse] plutôt le missionnaire M. Courtin. Comme ci-dessus traduit à P17.P4, M. Saint-Ovide les a accusés de corrompre les jeunes Indiens de ne pas attaquer et « que toutes les fois que les deux jeunes gens alloient à Canceau s'étoit pour informer les anglois de tout ce qui se passait parmi eux ». Ce fut à la fin de la déclaration de guerre de la Grande-Bretagne avec les Indiens Mi’Kmaq en 1722.

    L'autre côté de la pièce, lorsque la guerre avait été déclarée avec les Mi'kmaq en 1722, le gouverneur de l'île Royale agissant à ce moment-là M. de Bourville (sa biographieA12 est à DBC en ligne), envoya un fichier de document en date de décembre 28, 1722 au le ministre en France. Bourville a écrit que M. Gaulin a écrit à Monsieur de l'informer de tout ce qui a eu lieu entre les Anglais, les habitants de l'Acadie [Nouvelle-Écosse] et les Indiens. Aussi un examen plus approfondi de la copie du document original et d'une transcription écrite du document original a été fait au cours de cette recherche. BAC a cette transcription explicite écrite à la main sur microfilm (informations de référence sont : MG1-C11B, volume 6, p. 80-88, bobine C-9292) du document original.

    Dans ce même fichier de document en date du décembre 28, 1722, M. de Bourville a écrit :

    Transcription libre :
    J'ai donné avis au conseil de la déclaration de guerre par les anglois aux sauvages, et lui en ai envoyé la coppie. Je ne l'informe de rien davantage, le remettant à Monsieur Gaulin qui lui rend compte de sa mission et des troubles dont il a connaissance et a vous Monsieur qui recent un pacquet de lettre du père Félix qui sans doute vous informe de tout ce qui Monsieur de Pensens m'a écrit que les petits pas auoient estés dans la cabane du nommé Michau sauvage avec de l’eau de vie et lui ont fait boire, et lui fait avoüer contre la vérité que Monsieur de Vaudreüil avait armé les sauvages pour aller en parti sur les anglois et avait même mêlé dans ce parti des françois. Il me mande que cette action a fort irrité les sauvages contre les dits petits pas qu'ils lui on demandé de les faire arrester ou de leur permettre de leur casser la teste, [tête] les regardants comme des traitres qui estoient.
    [En marge de la page du document il y a cette phrase :]
    La cause en est que plusieurs de leurs frères estes tués et massacrés par les anglois. Il m'assure que cette famille est fort dangereuse et qu'il seroit à souhaiter quelle fut en lieu de seuretée, c'est ce que je nai pas de peine à croire.

    Le nom de famille Petitpas semble être orthographié « petits pas » et sans prénom. Aussi, ils semblent vivre en Acadie (Nouvelle-Écosse). Il n'y a aucun indice dans le document ou fait à indiquer que la famille « petits pas » en question a été Claude Petitpas II et sa famille. Le site Web de BAC a le ficher du documentB23 (voir item 3):

    Item 3Extrait d'une petite image avec un lien hypertexte à un document chez BAC, relative à une famille nommée Petits Pas [Petitpas]

    Le document ci-dessus peut-être n’est pas lié à Claude Petitpas II et sa famille proche mais la France avait exilé son plus jeune fils à cette époque en 1722. Par ailleurs ce que la famille
    « petits pas » avait dit à l'Indien nommé Michau était la vérité, M. de Vaudreüil avait armé les Indiens Abénakis.

    Les biographies de Monsieur de PensensA13 et Monsieur de VaudreüilA14 sont en ligne sur DBC.
    Cependant, historiquement, ce fichier de référence donne une bonne idée de ce que la Grande-Bretagne s'est attendue des Acadiens lors de la déclaration de guerre avec les Indiens, et de l'influence que les missionnaires M. Gaulin et M. Félix Pain ont eu avec les autorités françaises :

    • en ce qui concerne le destin acadien et l'attente de leur fidélité à la France tout en vivant en Acadie [Nouvelle-Écosse] après le traité d'Utrecht.
    • et leur raison apparente d'association et influence avec les Indiens.

    Les biographies de GaulinA15 et PainA16 sont en ligne sur DBC.

    Ironiquement, en 1717, Philippe de Pastour de Costebelle le gouverneur de l'île Royale (sa biographieA17 est à DBC en ligne), avant sa mort cette année-là a écrit ceci à l'autorité française : « c'est une famille [famille de Claude Petitpas II] alliée par le sang avec les sauvages de nos missions. Il est bon de leur marquer notre confiance ».

    Ce résumé de la transcriptionG8 était disponible sur le site L'Institut de Louisbourg de l’Université du Cap-Breton - Le site Web officiel de recherche pour la forteresse de Louisbourg ou consultez l’extrait ci-dessous :

    10 avril 1717
    Description
    Lettre de M. de Soubras
    Date: 8 janvier 1717
    Sujet: Sur le havre de Canceau
    - Par le traité de paix, le Roi de France a abandonné ce havre à l'Angleterre, et a défendu aux Français d'y faire la pêche ou la troque.
    - Les deux nations continuent tout de même à y commercer en commun
    - Ce ne peutent être que ded mauvais Français qui se hasardent à courir le risque de punitions et leurs chefs sont un nommé Petitpas et son gendre LaSonde.
    - M. Gaulin missionnaire a fait en 1716 sa pêche dans ce havre de Canceau, il ne convenait guère à un missionnaire de s'établir dans un endroit aussi suspect
    - M. de Soubras est d'avis qu'il faut qu'il soit défendu par de nouveaux ordres qu'aucun Français n'y fasse la pêche ni la troque
    Note du Conseil: "Communiquer à M. de Costebelle"
    Réponse de M. de Costebelle:
    - les côtes qui forment le passage de Canceau ne sont avantageuses pour la pêche que dans la partie sous la domination anglaise.
    - Il y aurait de grands avantages à un échange commercial entre les deux nations et M. de Costebelle croit "qu'il y aurait un milieu à prendre qui ne devrait former aucun obstacles ruineux à notre nation, qui serait de tolérer un commerce des Anglais à nous uniquement pour les denrées qui sortent de la Nouvelle Angleterre et qu'il nous fut permis d'aller chez eux comme à eux de venir chez nous."
    - S'il faut en croire leur serment de fidélité pour la nation française, les nommés Petitpas et LaSonde n'ont jamais été invités par les Romains. Quant à leur commerce, la chose est douteuse car c'est une famille alliée par le sang avec les sauvages de nos missions. Il est bon de leur marquer notre confiance
    Note du Conseil: "Faire de nouvelles défenses encore plus fortes de tout commerce étranger.

    Le Site Web de BAC a une copie du documentB24 original qui a été utilisée pour le résumé ci-dessus. Il est appelé ‘le Conseil de Marine. Arrêt sur un mémoire de monsieur de Soubras au sujet du hâvre de Canceaux’. Les items du document sont 1, 2 et 3:

    Item 1
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas [Claude Petitpas II] et son fils-in-Law LaSonde
    Item 2
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas [Claude Petitpas II] et son fils-in-Law LaSonde
    Item 3
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC relatives à le nommé Petitpas [Claude Petitpas II] et son fils-in-Law LaSonde

    M. de Costebelle savait que les nommés Petitpas étaient beaucoup plus enclin pour avoir les moyens des Indiens. Il en était ainsi contraire à la façon dont son successeur M. de Saint-Ovide représentait les nommés Petitpas, comme étant beaucoup plus Anglais que Français.
    M. de Costebelle aussi, a connu et respectait que le secteur d'eau de pêche à Canceau appartenait aux Anglais. Cela conformait à le traité d'Utrecht.

    Il convient de souligner que, parfois, Claude Petitpas II avait travaillé comme interprète et négociateur pour de nombreuses années. Très probablement, il a fait ce service à des moments différents pour la population indienne, les Anglais et les Français. Mais en 1727 et 1728, il n'était pas l'interprète officiel de la France pour les Indiens. Comme indiqué précédemment, la personne était un homme du nom de Charles de Saint-Étienne de la Tour II, qui mourut en 1731. Par la suite, Claude Petitpas II a été nommé l'officiel interprète français pour les Indiens. Il occupe ce poste pendant une courte période avant sa mort en 1732 et son fils Barthélemy a fait ces devoirs pour environ 12 ans jusqu'à sa mort en 1747. Le documentB25 de BAC en date du 16 novembre, 1732 dévoile les ans, ils ont été désignés comme interprètes. Voir item 5 et item 5v ou les extraits suivants : P7.P2

    Item 5
    Un lien hypertexte extrait d'un document en ligne au BAC relatives à un nommé Claude Petitpas II et son fils aîné Barthélemy Petitpas
    Item 5v
    Un lien hypertexte extrait d'un document en ligne au BAC relatives à un nommé Claude Petitpas II et son fils aîné Barthélemy Petitpas

    Ci-dessus transcription libre : Le nommé Claude Petitpas ancien habitant qui depuis la mort de M. de La Tour servait d'interprète, est mort quelque temps après la tournée que M. St. Ovide a fait cette année, comme les appointements d'interprète n'estoient point employés sur l'etat des dépenses ce que M. St. Ovide eu lieu d'estre content de ses services, M. le Normant a fait deliver à sa veuve qui a 4 petits enfants, quelque vivres des magasins pour aider à sa subsistance et lui tenir lieu de les appointements qu'avoit gagné son mari. Ils proposent pour interprète Barthélemy Petitpas fils de cet habitant, et ils demandent pour lui les même app. qu'avois feu M. de la Tour. il possede parfaitement les langues Micmak et Amalécite, et a toutes les qualités nécessaire pour un bon interprète. M. de La Tour était employé pour 300# en cette qualité.
    [En marge du conseil :] Apprové le 300# [10 février, 1733]

    Pour être parfaitement au clair sur la lettre datée du 3 novembre 1728, le point ici est transmis si le gouverneur M. de Saint-Ovide était seul à l'Assemblée cette année-là il n'était pas dû à Claude Petitpas II. Seule la lecture de la description du document pourrait amener quelqu'un à penser que le nommé Petitpas évitait son devoir en tant qu'interprète.

  18. Aucune preuve trouvée que Barthélemy était un invité des anglais
    De plus, dans la biographie de Barthélemy à DBC en ligne au paragraphe 3, il indique : « Il passa les trois années qui suivirent à Boston, invité des Anglais ; il y perfectionna sa connaissance de la langue puis il revint à la fin de 1721 avec la charge d’agent auprès des Micmacs de la Nouvelle-Écosse pour le compte des Anglais. Philippe de Rigaud* de Vaudreüil et Michel Bégon écrivirent qu’il était dans l’intention des Anglais de faire revenir Petitpas et d’en faire un missionnaire protestant auprès des Micmacs, « pour gagner cette nation et l’a faire changer de religion ».

    Comment peut Barthélemy Petitpas être la personne revenant de Boston à fin de 1721 ? Il a participé à d'autres affaires et des transactions au cours de cette année. Une copie de la sentence originale de la Cour, a été demandée pour cette recherche du site Web de BAC . Ce documentB26 de 4 pages en date du 4 novembre 1721 indique que Barthélemy Petitpas :

    • a été un résident de Port-Toulouse et a reçu un passeport pour sa goélette le 1er janvier, 1721.
    • a utilisé ce passeport à faire sa pêche d'été.
    • c’est rendu à Port Dauphin, puis à Canceau. Pendant l'interrogatoire, Barthélemy Petitpas a dit que si il est arrivé dans ce port sans passeport, c'est parce qu'il venait de Canceau où il devait prendre le [l’autre] bateau et le cargo. Ce fut en paiement partiel pour les deux années de service de navigation qu'il a fait pour le capitaine Richard. Barthélemy continue en disant, dans son témoignage qu'il avait quitté cet endroit avec la permission du gouverneur.

    Barthélemy Petitpas n'a pas gagné son appel du 5 novembre 1721, qui a été décidé en 1722. Cela a été mentionné dans (P9.P1). Les références des documentsB27 qu'Éric Krause réfère pour son résumé de la procédure judiciaire sont disponibles à BAC sur leur site Web :

    Page 756
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Barthélemy
    Page 757
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Barthélemy
    Page 758
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Barthélemy
    Page 759
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Barthélemy
    Page 766
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne chez BAC à propos de Petitpas, Barthélemy

    En bref, Barthélemy a été accusé parce que l’ordre (la loi) exige que le capitaine doive obtenir un autre passeport au cas où un changement de navire et le transfert se produit. Sur son bâtiment [bateau], il avait des Anglais dans le cadre de son équipage et des marchandises non cultivées dans le pays.

  19. Les histoires des nommés Petitpas
    Il existe de nombreuses histoires d'un extrême à l'autre sur les nommés Petitpas.

    Barthélemy Petitpas, vers 1740 sur le territoire français à Port-Toulouse, à une occasion est crédité pour sauver Edward Howe, un représentant en Nouvelle-Écosse possiblement de blessure sérieuse. Edward Howe s'amusait avec les Indiens en se moquant de leur foi religieuse. Le compteA18 se trouve au paragraphe 2 de la biographie d'Étienne Bâtard à DBC en ligne. Ironie du sort au cours de cette recherche, un homme nommé « Ed Howe » apparaît sur un traitéH10 Indien passé en revue.

    Ces histoires ou références des trois hommes mentionnés précédents semblent venir d'un livre écrit dans le français appelé « Les soirées canadiennes » publié en 1863. Les pages 289 à 426 ont le manuscrit transcrit de M. l'abbé Maillard qui n'est pas daté. Cependant le Père Maillard a écrit l'officier anglais nommé le capitaine Hau (Howe) a été tué en 1751. Selon la transcription, le Père Maillard avait promis à Madame de Drucourt (qui était l'épouse du gouverneur d'Île Royale) des informations plus détaillées sur les Indiens de ces parties du pays. Ceci était en ce qui concerne leur religion, leurs manières et coutumes avant qu'ils n'aient professé le christianisme. Il elle a envoyé une copie de deux ans d'une longue lettre sur ce sujet qu'il avait écrit pour M. de Lalane leur supérieur à Paris. Aussi, le Père Maillard doit avoir écrit son manuscrit quelque temps entre les années 1754 et 1758 pendant le temps que Mme de Drucourt (Drucour) a vécu à l'île Royale. Le droit d'auteur à ce livre mentionné a expiré et est entré dans le domaine public. Une copie numérique du documentD6 est disponible pour la lecture et le téléchargement au site Web de recherche de Livres Google. La rencontre détaillée entre Edward Howe, les Indiens et leur interprète Barthélemy Petitpas est à partir des pages 388D6a à 404D6b. Pages 404D6c to 407D6d disent la façon qu'Étienne Bâtard a tué le capitaine Hau (Howe). Il y a plusieurs autres endroits dans le manuscrit du Père Maillard où il y a des références à l'interprète pour les Indiens. Une référence était à la page 310D6e, cela est après que le vieillard Mikmaque jongleur nommé Arguimaut a donné un long compte aux questions que le Père Maillard lui avait demandé. Ensuite, il se mit à poser quelques questions de son propre à Père Maillard qui a dit ce qui suit :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez Google livres - Lettre de M. l’abbé Maillard sur les missions de l’Acadie et particulièrement sur les missions micmaques - à propos Barthélemy Petitpas Interprète des Indiens Extrait transcription libre : “Ecoute, mon fils, il est tard, le soleil est couché, je remets à demain à répondre aux questions que tu me fais; assemble le plus de vieillards de ta connoissance que tu pourras, qu'ìls se trouvent icy avant midy immédiatement après la messe, alors nous raisonnerons tous ensemble. Mais avant de raisonner, il conviendra que nous mangions tous ensemble; cèst pour cela que j'ay dis à l'interprète Barthélemi Petit Pas [Petitpas] que tu vois icy, qu'il dise dès ce soir aux jeunes gens de votre village de venir prendre au Port La Joie trois minots de bled d'inde, un quintal de farine, quarante livres de lard avec dix pots de melasse."

    Claude Petitpas II coupe la tête d'un Indien qui tentait de s'enfuir en sautant dans la mer. L'auteur se réfère à Claude II en tant que François plutôt que comme un Acadien. Mélangé dans l'histoire semble être un compte embelli traduit en anglais où M. de Saint-Ovide a trouvé le moyen d'obtenir ce jeune homme [Petitpas] des mains des Anglais. Étonnamment, cette histoire ou le conte était vraiment une traduction de la lettre datée du 17 octobre 1722 par M. de Vaudreüil et Begon. Il a d'abord été lu en anglais à partir d'un vieux livre numérisé trouvé sur Internet. Au temps il a été pensé que la lettre pourrait être un conte illusoire embelli plus récent et ne venant pas du gouverneur de la Nouvelle-France M. Vaudreüil et son intendant M. Bégon. La lettreP11.P5 traduite à l'anglais en date du 17 octobre 1722 est à partir des documents relatifs à l'histoire coloniale de l'État de New York. Le spécifique documentH5 traduit a été utilisé en 1925, par Emma Lewis Coleman, voir la référence 60 sur page 98 : Vaudreuil et Bégon au Conseil de la Marine NY, Docs., IX, 912. Emma Lewis Coleman pour référence 60 sur la page 98 a écrit :

    Traduction libre : « Mais une lettre adressée de Québec à Versailles en 172260 nous dit que le fils de Claudius, Barthélemy est allé à Boston trois années [.....] ». Le document ne nous dit pas que le jeune homme a été Barthélemy Petitpas. Le jeune homme n'a pas été mentionné par son prénom. Comme dit plus haut, Claude Petitpas II et Marie-Thérèse avait quatre fils. En 1722, Barthélemy serait près de 35 ans, ce qui semble, dans ces temps, ne serait pas être considéré, mentionné et à lui prendre pour un jeune homme. Autres fils seraientt Paul d'environ 27 ans et Joseph 23. Le plus jeune fils de 19 ans était Isidore.

    La note de référence 60 d'Emma Lewis Coleman sur la page 98 : « Vaudreuil et Bégon au Conseil de la Marine NY, Docs., IX, 912 » est daté du 17 octobre 1722. Il y a des extraits originaux de cette lettre à BAC site Web. Le contenu du documentB28 est des mémoires pour le roi de France. Ce qui n'apparaît pas sur ce document du texte de la lettre originale, étant toutes les informations sur Petitpas le François et son jeune fils.

    Bien que ces types d'histoires peut-être divertissantes pour certaines personnes, mais dans une perspective historique, il est le point de vue de cette recherche que la précision est nécessaire. L’information de référence d’une tierce partie devrait être vérifiée avec ses documents de recherche originaux pour des erreurs.

  20. Continuation de la biographie de Barthélemy Petitpas
    Dans la biographie de Barthélemy Petitpas à DBC en ligne dans le paragraphe 4 il indique : « En 1722, Saint-Ovide l’envoya au séminaire de Québec ». Une demande a été déposée auprès du Séminaire de Québec pour les documents originaux. Ce fut relatif à un jeune homme nommé Petitpas qui, apparemment a étudié au séminaire de Québec en 1722, peut-être il y avait un document qui a montré son prénom. Leur réponse a été que le séminaire de Québec n'a pas leurs archives coloniales. Ils ont dit de contacter la division des archives de l'Université Laval Pavillon Jean-Charles-Bonenfant.

    Leur direction a été de contacter le Musée de la Civilisation qui a les archives du séminaire de Québec. Le musée a deux dossiers sur Louis Benjamin Peti[t]pas dans les archives du séminaire. Cependant, Louis Benjamin Petitpas était le fils de Claude Petitpas II de son deuxième mariage et n'était pas encore né en 1722. Ils ont vérifié les enregistrements pour les élèves etc. et n'ont trouvé aucune trace d'un Petitpas qui était là ou en présence.

    Ils avaient un extrait d'un documentH6 du 17 octobre, 1722 du gouverneur de la Nouvelle-France M. Vaudreüil et son intendant M. Bégon au ministre. Un homme du nom Petitpas a été accusé par M. de Vaudreüil et Begon de tuer un Indien (Extrait d'une dépêche de M. de Vaudreüil et Bégon au Ministre, le 17 octobre 1722). Il s'agissait d'une transcription partielle d'une copie d'une copie de la lettre originale française en date du 17 octobre 1722. La copie (de l'œuvre de John Romeyn Brodhead pour l'Etat de New York en 1841) de la lettre originale française a été utilisée pour traduire le document complet de la bibliothèque du centre culturel de l'éducation de 'État de New York (traduit et publié par M. Edmund Bailey O'Callaghan environ 1855 à 1858). Cet extrait du Musée de la Civilisation en français rend crédible que le document utilisé par Emma Lewis Coleman en 1925 fût exact. C'est que la traduction du français vers l'anglais et que le premier nom du jeune Petitpas n'a pas été mentionné. Comme déjà indiqué, elle a assumé le jeune homme était Barthélemy Petitpas.

    Aussi, les transcriptions ramenées de France par Brodhead en 1845 ont été copiées pour la Société littéraire et historique de Québec. Puis à partir de cette deuxième transcription d'une copie a été faite en 1884 pour les archives Nationales du Canada. Un peu plus tard une copie des mêmes documents a été envoyée au Bureau du secrétaire de la province de Québec. BAC a une copie de ces documents sur microfilm C-13574, C-13575 et C-13576.
    De plus, BAC a informé cette recherche qu'une requête pourrait être faite à eux pour une copie du documentB29 en date du 17 octobre 1722. Ce qui suit est des extraits de la traduction et la transcription fait alors arrière au 18ème siècle :

    Transcription de Brodhead en 1845 de la lettre le 17 octobre, 1722

    La traduction de O'Callaghan en 1855
    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document daté le 17 octobre, 1722 - C'est la traduction de O'Callaghan en 1855 de la transcription fait par Brodhead en 1841 pour l'État de New York. Il a été obtenu à de la Bibliothèque de l'État de New York et il est à propos un nommé Petitpas et son jeune fils

    Ci-dessus transcription libre : That a Frenchman, named Petitpas, belonging to Port Royale, who married a sqaw as his first wife, had on that occasion cut the head off an Indian who was throwing himself into the sea in order to escape ashore, having been surprised with some others in a vessel near the coast.
    This Frenchman, who has always sided with the English during the last war, and who still adheres with them, had sent his son to Boston, where the English kept him for the space of three years, without any expense to his father for his board, lodging and education. It was their intention to make a clergyman of him because he speaks Mikemak, his native tongue, better than any interpreter, and were greatly relying on him to win over the Mikemaks and make them change their religion. He speaks English and French also very well.
    Mr de St Ovide has found means to get this young man out of the hands of the English, and has sent him hither. He informed M. de Vaudreuil that he adopted this resolution, having been apprehensive of his return to the English, and of his becoming eventually more dangerous than his father; that he had induced him to come hither on the understanding that he should be placed in the Seminary, pursue his studies there, aud he be a Priest; but on his arrival, he told Mr Leveque, to whom he was also introduced by M' de S' Ouide, that he did not wish to enter Holy orders, but only to learn navigation.
    As it was as easy for this young man to return to Boston from this place as from Isle Royale, we have considered it expedient to send him to France in the Chameau. Sieur Begon advises Mr de Beauharnais, to whom he will be forwarded, of the circumstance, in order that he may have him provided whilst awaiting the orders of the Council.

    Copie en 1884 par Monpetit
    de la copie de Glackmeyer en 1845
    de la transcription de BrodheadExtrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm daté le 17 octobre, 1722 - C'est la transcription de Montpetit en 1884 de la copie de Glackmeyer en 1845 de la transcription fait par Brodhead en 1841. Il a été obtenu de BAC et il est à propos un nommé Petitpas et son jeune filsExtrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm daté le 17 octobre, 1722 - C'est  la transcription de Montpetit en 1884 de la copie de Glackmeyer en 1845 de la transcription fait par Brodhead en 1841. Il a été obtenu de BAC et il est à propos un nommé Petitpas et son jeune fils

    De nombreux documents ont été lus pour cette recherche, la plupart d'entre eux en français. Il n'y avait aucune autre référence de Claude Petitpas II tuant un Indien.

  21. Identifier le jeune Petitpas de 1722 et deux de ses frères
    Pour continuer, le Centre D'études Acadiennes de Moncton a fourni de l’information sur 2 documents d'intérêt. Un document de 1728 était sur Isidore Petitpas demandant de revenir dans son pays au lieu de servir dans les îles. Un autre document daté du 1729 est à propos de 2 fils d'un habitant nommé Petitpas en Acadie qui ont été envoyés en France par M. Saint-Ovide le gouverneur de l'île Royale. Le Centre D'études Acadiennes a dit qu'ils n'ont pas ces documents dans leurs archives et une demande devra être faite à BAC.

    Ces documents font partie d'une série de documents appelés lettres des intendants à la CourB30. Ces lettres sont sur les bobines de microfilms de quatre C-12 878, C-12879, C-12880 et C-12881. Les bobines de microfilm ont environ un total de 1954 documents français qui sont datés de 1712 à 1732.

    Il y avait 7 documents trouvés et jugés en ce qui concerne Isidore le fils de Claude Petitpas II. Un document du 6 janvier 1729 (page 3) est probablement concernant Joseph et Paul, qui ne sont pas visés par leurs prénoms. M. de Bauharnois (l'intendant à Rochefort) a écrit que M. de Saint-Ovide fut obligé d'envoyer à la France, deux habitants nommés Petitpas de l'Acadie qui étaient frères. Il les avait mis dans l'escouade volante du port pour se subsister. Jusqu'à ce que Jean-Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas donne ses ordres en ce qu'il faut faire à ce sujet. Comme rappelé d'en haut (P17.P5) dans une lettre datée du 3 novembre 1728, deux frères Petitpas ont été envoyés en France.

  22. Continuation de l'identification du jeune Petitpas de 1722 et deux de ses frères
    Après avoir lu les documents spécifiés français pour cette recherche assez de preuve documentaire ont été trouvées pour montrer clairement que Barthélemy Petitpas a été pris pour quelqu'un d'autre dans sa biographie à DBC en ligne. La personne était son jeune frère Isidore Petitpas. Les copies des 8 documents sont inscrites ci-dessous dans la section source comme : B30a, B30b, B30c, B30d, B30e, B30f, B30g et B30h.

    Dans une lettre datée décembre 1, 1722, Beauharnois a écrit au conseil (page 199) ceci :

    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC sur le nommé Isidore PetitpasTranscription libre :
              À Rochefort le premier décembre, 1722
    J'ai [Beauharnois] l'honneur d'informer le conseil que M. Begon m'écrit que M. de Vaudreüil et lui on fait embarquer sur le chameau [bateau] le nommé Petitpas pour mestre remis à son arrivée en France et qu'il me prie d'en faire prendre soin jusqu'à ce que j'ai reçu les ordres du conseil à son sujet.
    Le conseil aura vu par la lettre communé du gouverneur et de l'intendant que ce jeune homme est fils d'un François et d'une sauvagesse et qui son père a toujours été et est encore attaché aux Anglais et qu'il leur avait donné son fils pour l'élever dans l'espérance d'en faire un Ministre et s'attirer par son moyen les micKmas parce que sa mère est de cette nation. M. de St Ovide qui a vu estait du service de retirer ce jeune homme de chez les anglais de crainte qu'il devient encore plus ennemi des françois que son père, l'envoyé à Québec et M. de Vaudreüil et Begon se sont déterminer à le faire passer en France. M. de Beaumont me la envoyé et ce jeune homme est actuellement chez moi logé et nourri a mon office, jusques à ce plaise au conseil de me marquer ce qu'il souhaite d'en faire. Il a de l'esprit et comme it paraît mécontent d'avoir été envoyé en France, il pourrait bien profiter des bâtiments anglais qui viennent à Tonnay-Charente pour passer en Angleterre.

    Page 158Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC sur le nommé Isidore Petitpas

    La lettre ci-dessus en date du 20 avril 1728 est avant que Isidore Petitpas a été envoyé à la Martinique. Il demande à être renvoyé dans son pays au lieu d'aller aux îles et servir comme soldat.

    Page 142
    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC sur le nommé Isidore Petitpas
    Page 143
    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC sur le nommé Isidore Petitpas
    Page 145
    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC sur le nommé Isidore Petitpas

    En bref, les lettres ci-dessus en date du 1730, pages 142-143 et 145 se réfèrent à le nommé Isidore Petitpas comme un natif de l'Acadie. L'intendant a écrit qu'Isidore est arrivé dans cette [Rochefort] ville. Il a demandé que de l'emploi soit trouvée pour lui ou la permission de retourner dans son pays. L'intendant a écrit encore à propos de :

    • le salaire par mois quand il a été mis à travailler comme un jeune pilote et son mauvais rendement.
    • M. de Bauharnois (l'intendant à Rochefort) l'envoya à la Martinique pour servir comme soldat.
    • qu'il a été mis en prison.
    • la décision prise par le ministre a décidé de ne pas lui permettre l'année prochaine en 1731, de monter à bord des navires du roi ou des navires commerciaux à destination de Québec et de l’île Royale.
  23. Plus sur les frères Isidore, Joseph et Paul Petitpas
    Aussi de BAC, les dépêches de la Cour aux intendantsB31 ont été examinés. Sept lettres de Jean-Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas à M. de Bauharnois ont été trouvés. Cinq lettres sont sur Isidore et deux de Joseph et Paul. Cela a été sur deux bobines de microfilms C-12876 et C-12877 énumérés ci-dessous dans la section source comme : B31a, B31b, B31c, B31d, B31e, B31f et B31g.

    Les deux documents ci-dessus dernières dans la liste sont les ordres de Jean-Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas à M. de Beauharnois en ce qui concerne Joseph et Paul Petitpas.

    Dans une lettre datée du 18 janvier 1729, Maurepas écrit (la page 116) ceci :

    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC. C'est relatives à le nommé Petitpas [Claude Petitpas II] et deux de ses quatre fils de son premier mariage [Joseph Petitpas et Paul Petitpas] Extrait transcription libre : M. de St. Ovide ma rendu compte des raisons qui l'ont obligé de faire passer en France les deux fils du nommé Petitpas, J'approve que vous les ayés fait mettre dans l’escoüade volante du port, pour les fair subsister, il est du service du Roy qu'ils ne puissent retourner à Île Royalle, ni qu'ils passent point à Quebec, ainsi vous ferez veiller sur leur conduite, comme M. de St. Ovide M'a marqué qu'ils sonts bons navigateurs vous pourrés les faire embarquer sur les vaisseaux destinés pour les Îles en observant de recommander aux capitaines de veiller qu'ils ne puissent pas deserter, s'il y a quelque remplacement à faire à l'equipage de la Baleine [nom d'un bateau] et qu'elle ne soit pas partie à la reception de cette dépêche vous pourrés les faire embarquer.

    Dans une lettre datée le 14 juin 1729, Maurepas écrivit à Bauharnois ceci :

    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC. C'est relatives à le nommé Petitpas [Claude Petitpas II] et deux de ses quatre fils de son premier mariage [Joseph Petitpas et Paul Petitpas]Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC. C'est relatives à le nommé Petitpas [Claude Petitpas II] et deux de ses quatre fils de son premier mariage [Joseph Petitpas et Paul Petitpas] Extrait transcription libre : Je vous écrives le 18 du mois de janvier dernier de faire embarquer sur le vaisseaux destines pour les Îles, les deux fils du nommé Petitpas qui M. de St. Ovide avait juge a propros d'eloigner de l'Acadie et de l'Île Royalle, vous verres par le placet qu'ils mon adressé et que je vous envoye qu'ils se plaignent qu'on ne leur payer que 7# a chacun par mois pour les service qu'ils font dans le port, je vous prié me mander ce qui en est, et la raison pour laquelle vous me les avez pas fait embarquer sur la gironde ou le portefaix. M. de St. Ovide m'ayant marqué qu'ils sonts bons navigateurs.

  24. Le sort des frères Isidore, Joseph et Paul Petitpas
    Le Joseph Petitpas mentionné précédemment, sa mère était Marie-Thérèse. Il semble qu'il était un témoin à le deuxième mariage de son père à Françoise de Lavergne en 1721. Les Archives publiques du Canada en Nouvelle-Écosse a un enregistrementH4a de leurs signatures sur le registre :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne chez le gouvernement de la Nouvelle-Écosse. C'est les signatures dans le registre de l'église de Claude Petitpas et Joseph Petitpas à Port Royale. Ce fut au deuxième mariage de Claude Petitpas à Françoise de Lavergne en 1721

    Il semble que Claude Petitpas II a eu deux fils du nom de Joseph, un fils des quatre fils de son premier mariage avec Marie-Thérèse et un fils des quatre fils de son deuxième mariage avec Françoise de Lavergne.
    Il y a seulement deux Petitpas qui sont nommés sur le recensement 1734F5 de l'île Royale à archives Canada-France. Ils sont sur les deux prochains extraits qui sont un charpentier nommé Nicolas Petitpas et Barthélemy Petitpas l’interprète des Indiens pour la France :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne des Archives Canada-France Site sur Petitpas, Nicolas
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne des Archives Canada-France Site sur Petitpas, Barthélemy

    Il y a un documentB32 de BAC sur un voyage qui a commencé de Louisbourg le 5 février, 1752 par Sr de La Roque, qui était l'arpenteur pour le roi de France. Item 16 du document de 248 pages, inscrit la veuve de Barthélemy Petitpas, Madeleine Coste et leurs enfants vivant avec elle. Ils sont les fils Jean Petitpas 24 ans, Pierre Petitpas 21, Claude Petitpas 18, Guillaume Petitpas 17, Paul Petitpas 12 et sa plus jeune fille Pélagie Petitpas 14 ans. Ci-dessous de son nom sont Madeleine Petitpas et Joseph Petitpas et leurs familles. Ils sont les plus vieux enfants d'elle et Barthélemy Petitpas :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur la veuve de Barthélemy Petitpas, Madeleine Coste et leurs enfants vivant avec elle.
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur la famille de Madeleine Petitpas et la famille de Joseph Petitpas

    Le fils de Barthélemy Petitpas, Guillaume Petitpas, s'était enfui à Saint-Pierre et Miquelon après le traité de Paris de 1763. Il y a une ChroniqueH19 sur son sort sur ce site.

    Il y avait six autres Petitpas trouvés inscrits dans le document de BAC sur le voyage 1752 par Sr de La Roque. Joseph Petitpas qui vit avec sa mère Françoise Lavergne qui est remariée, l'interprète des Indiens Louis Petitpas, Jacques Petitpas et Jean Petitpas. La veuve de Marc LaSonde, Judith Petitpas qui est la fille aînée de Marie-Thérèse et Claude Petitpas II. La plus jeune fille de Marie-Thérèse et Claude Petitpas II, Françoise Petitpas avec son mari Jacques Coste et leur famille sont également répertoriés sur ce recensement de 1752. Les 6 suivants extraits sont les inscriptions pour eux et leurs familles :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur la famille de Françoise Lavergne et son fils Joseph Petitpas
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur la famille de l'interprète des Indiens Louis Petitpas
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur la famille de Jacques Petitpas
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur la famille de Jean Petitpas
    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur Jacques Coste, sa femme Françoise Petitpas et leur famille.

    Un documentB33 à BAC en date du 4 novembre 1751 dit que le Comte de Raymond a jugé nécessaire d'embaucher un deuxième interprète pour les Indiens à l'île Royale. Il a été dénommé seulement « le nommé Petitpas ». Toutefois, il est Louis Petitpas, selon le recensement fait mentionné ci-dessus par le Sr de La Roque en 1752. L'extrait suivant est tiré de folio 59v du document :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur l'interprète des Indiens (le nommé Petitpas) Louis Petitpas Côté transcription libre: Il est aussi très necessaire d'avoir un interprête en second pour les Sauvages. J'ai jetté les yeux sur le nommé Petitpas qui a toutes les qualités requises pour en bien remplir les fonctions. Il voulait six cents livres d'appointement. J'ai l'ai réduit à quatre cent livres que je vous supplie d'approuver.

    Les frères de mêmes parents Paul, Joseph et Isidore Petitpas, fils de Claude Petitpas II et Marie-Thérèse sont introuvables sur les dessus 1734 et 1752 recensements de l'île Royale. Des milliers de documents sur microfilm ont été examinés de BAC et il y n'avait rien trouvé qui admit qu'ils ont retourné à la société de l’Acadie (Nouvelle-Écosse) ou l'île Royale.

    En ce qui concerne le sort d'Isidore, les documents indiquent qu'en 1723 il devait être formé comme pilote, puis l'autorité était de le faire entrer dans le service pour le roi de France. Dans le document (page 22) datée du 12 mai 1728, l'autorité française a confirmé la mauvaise santé d'Isidore qui ne lui permettait pas de servir comme soldat.

    Il n'est pas étonnant au cours de cette recherche que de la documentation supplémentaire n'a pas été trouvé au-delà du 11 juin, 1729 (pages 183 et 184) à propos de Joseph et Paul. Leur situation a été que si le comte de Maurepas (qui a pris sa commande directement à partir du roi Louis XV) a voulu Joseph et Paul Petitpas envoyé aux îles, il serait très contraire à l'espérance qu'il devrait ordonner M. de Beauharnois pour une troisième fois et entendre parler d'eux de nouveau.

    Apparemment, environ un an avant sa mort en 1732, Claude Petitpas II avait nommé un autre fils Joseph. Cela peut avoir été la façon de Claude Petitpas II de dire qu'il connaissait le sort de Joseph et Paul Petitpas de son premier mariage. Les quatre fils du deuxième mariage de Claude Petitpas II à Françoise La Vergne étaient nommés Jean, Jacques, Louis et Joseph.

    Ce serait bien de connaître le sort des frères Paul, Joseph et Isidore Petitpas. Toutefois, la connaissance de leur vie et destin final est en cours et pour un autre temps. S'ils voulaient vivre en Acadie (Nouvelle-Écosse) dans leur pays, leur lieu de naissance et à proximité ou au milieu de leur peuple Mi’Kmaq sous la domination de la Grande-Bretagne, le Traité d'Utrecht leur a permis de le faire. Malheureusement, l'autorité française ne l'a pas vu de cette façon, ils ont exilé ces hommes natifs probablement pour le reste de leur vie de leur patrie Mi’kma’ki.

    En avril 2020, un lien WebH18 a été fourni pour un site avec des documents originaux. Sans une demande initiale de cette recherche, par fil de courriels de nouvelles informations ont été reçues de Stéphane Dallet en France. Il a écrit qu’ils ont trouvé dans les registres de l'Hôpital royal de la Marine de Rochefort, les avis de décès de Joseph Petitpas et Paul Petitpas. Ils ont tous deux été inscrits comme Canadien matelot d'escouade. Aussi, il a indiqué que les hardes de Joseph ont été donnés à son frère Paul, puis aux orphelins quand celui-ci décède à son tour. Aucune trace d’Isidore dans le port de Rochefort, ni dans la région. Par ailleurs, il a indiqué que les archives de l'hôpital royal de Rochefort sont en ligne et en libre accès sur le site des archives départementales de la Charente-Maritime. Vous trouverez les actes des frères Petitpas dans les vues 104H18a et 108H18b.

    Joseph Petitpas est entré à l'hôpital le 28 avril 1730 et est décédé le 17 mai 1730. Paul Petitpas est entré à l'hôpital le 27 septembre 1730 et est décédé le 24 octobre 1730. Le recensement des Indien d'Acadie de novembre 1708 indique que Joseph Petitpas avait 9 ans et Paul Petitpas 13 ans. Par conséquent à leur mort, Joseph avait 31 ans et Paul 35 ans. On sait maintenant que ces hommes natifs ont été exilés pour le reste de leur vie de leur patrie Mi’kma’ki. Ils n'ont survécu que 2 ans dans une terre lointaine. Voir ci-dessous deux extraits des registres:

    Extrait hyperlien du registre de la mort de Joseph Petitpas en 1730
    Hyperlinked excerpt of the register about the deathExtrait hyperlien du registre de la mort de Paul Petitpas en 1730

    Comme vu ci-dessus au point 22, dans la letter (142) datée du 14 septembre 1730, il disait qu’Isidore Petitpas venait d’arriver à Rochefort. Il demandait que du travail soit trouvé pour lui. Encore une fois, il a demandé à être autorisé à retourner dans son pays. Il a travaillé comme pilote en France de 1723 à 1728 jusqu’à ce qu’il soit envoyé en Martinique. Quand en Martinique, Isidore a été mis en prison et ordonné sa libération par Monseigneur (Maurepas). Cependant, à Rochefort, ils avaient peur qu’il fasse quelque chose de mal et il a été remis en prison dans l’attente d’une décision de Monseigneur sur ce qu’il faut faire avec lui. Comme mentionné ci-dessus à la fin du point 22 à propos la lettre (145) datée du 3 octobre 1730, il dit que le ministre a décidé de ne pas lui permettre l'année prochaine en 1731, de monter à bord des navires du roi ou des navires commerciaux à destination de Québec et de l’île Royale. Ensuite, est une transcription de la lettre :

    Extrait petite image avec un lien hypertexte à une vue plus grande page chez ce site Web d'un document de microfilm à BAC sur le nommé Isidore PetitpasTranscription libre :
              À Rochefort le 3 octobre, 1730
              Monseigneur
             J'ai reçu la lettre que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire le 26 du mois dernier au sujet du nommé Isidore Petitpas. Conformément à vos orders je l'ai fait élargir et je lui ai laissé la liberté de prendre tel parti qu'il jugerait à propos en lui défendant néanmoins d'embarquer sur les Vaisseaux du Roi ou dans les bâtiments Marchands qui seront destinés l'année prochaine pour Québec et L'Isle Royalle.
             J'ecris en conséquence à M de Belamy

             Je suis . . .

    Les trois bobinesE4 de microfilm de BAC pour référence B30 (C-12879) et B31 (C-12876 et C-12877) obtenues par prêt entre bibliothèques sont maintenant numérisées chez Canadiana Héritage.

    Il semble Maurepas peut avoir eu quelques regrets ou un changement de cœur sur Isidore Petitpas. Maurepas était la personne qui a ordonné l'envoi d'Isidore aux îles pour servir de simple soldat sur la recommandation de Beauharnois. Le document de 1727 et la lettre (142-143) révèlent que Beauharnois n’était pas satisfait du comportement d’Isidore. On ne sait pas si Isidore était au courant de la mort de ses deux frères Joseph et Paul à l’hôpital royal de Rochefort. Aussi, inconnu s’il n'est jamais sorti de la prison de Rochefort vivant.

    Pour récapituler, l'autorité française était très inquiète et redoutait Isidore Petitpas. C'était clair après avoir lu leurs correspondances. Cela est clairement démontré dans leurs lettres du 17 octobre 1722, 1 décembre, 1722 et December 15, 1722. Il déclare qu'il parlait le Miꞌkmaq, sa langue maternelle mieux que n'importe quel interprète. On a également affirmé qu'Isidore parlait très bien l'anglais et le français. Ils avaient peur qu'Isidore Petitpas favorise les Anglais et les aide à former une alliance avec les Miꞌkmaq. Ils ont dit qu'il était plus dangereux que son père Claude II Petitpas. Les Français surveillaient Isidore de très près pour ne pas monter à bord des navires anglais. Isidore ne connaissait probablement pas la véritable intention des Français de ne jamais le laisser retourner dans son pays natal.

    Après l'exil d'Isidore en 1722, ils commencèrent à le payer vers le 5 janvier 1723 pour apprendre et devenir pilote selon le document de septembre 1727. Il indiquait qu'il était presque toujours malade lors de sa dernière tâche au Caisseau. Quand il était valide, Isidore était probablement un pilote compétent mais les Français ne faisaient pas confiance. Il serait un pilote ou un navigateur très compétent comme ses frères aînés; Joseph Petitpas, Paul Petitpas et Barthélemy Petitpas. L'autorité française les a reconnus comme tels dans leurs lettres. Ils n'avaient reçu aucune formation de pilotage officielle française comme Isidore Petitpas. Ce qui a rendu ces hommes courageux, grands et avides pilotes ou navigateurs pourrait être hérité ou être retracé et attribué à leurs ancêtres. Ils parcouraient les voies de l’eau douce et de l’eau salée à Mi’kma’ki (Acadie) depuis des milliers d’années.

    Cela peut être considéré dans la pensée de comment brave et jugeote qu'eux et leurs ancêtres les Mi'Kmaq étaient, et dans ce que vous n'avez peut-être pas entendu l'histoire suivante: Vers le milieu des années 1700, le père Maillard discutait (appelé raisonnement à l'époque) avec un conteur aîné Mi'Kmaq nommé Arguimaut. Le sujet portait sur la façon dont les Mi'Kmaq avaient empêché ou évité les grandes créatures marines d'enfoncer leurs grands canots et de devenir la proie de ces créatures marines hostiles. Le conteur Mi'Kmaq a dit qu’il placerait un arbuste ou un arbre avec beaucoup de feuillage dans ses canots lorsqu'ils se rendraient dans le golfe du Saint-Laurent et l'océan Atlantique jusqu'à leur habitat. Ce faisant, les créatures marines éviteraient de s'approcher de leurs canots. Aujourd’hui, quelqu’un pourrait raisonner ou dire - bonne idée et intelligent de leur part - tromper ces créatures marines bête en pensant qu’ils frapperaient le sol ! Le dessin lie à ce site web suivant « Les nommés Petitpas »H12 représente l'honneur et le respect envers eux et leurs ancêtres.

  25. Erreurs substantielles et omissions dans les biographies des nommés Petitpas
    À l’époque de cette écriture et démontré tout au long de cette présentation, il y a des erreurs et des omissions substantielles dans les biographies de Claude Petitpas II et son fils (affiché sur le site en ligne DBC). Ces biographies ont été dans le domaine public pour quelque temps. La méthode de correction et un plan doivent être déterminés. De plus, à l’époque de cette écriture selon Google Livres, le livre d'Emma Lewis Coleman en 1925 pages 97 et 98 peut être prévisualisé.

    Idéalement, il pourrait être expliqué d'une manière condensée, l'effet, les implications et le rôle que le traité d'Utrecht (31 mars - avril 11, 1713) a eu sur les nommés Petitpas. Autrement dit, l'effet le traité avait sur quelqu'un de cette époque d'en être distinct comme un Acadien ou un Amérindien. La peine infligée à eux et les autres par la royauté la Grande-Bretagne et la France, et William Shirley de la Nouvelle-Angleterre de cette époque ne devrait pas passés sous silence. Au lieu de les mettre dans des camps, que ce soit dans le camp anglais ou le camp français, si l'on doit utiliser ce terme, il s'agissait d'une question de géographie où ils ont vécu dans la Nouvelle-Écosse (Acadie) ou du Cap-Breton (Île Royale) et la domination à ce temps particulier.

    Claude Petitpas II et ses fils étaient très importants pour les intérêts coloniaux de la France qui comprenait ses missions. Il était d'une importance extrême pour les Français à avoir ces hommes comme des professeurs de langues indiennes, interprètes et navigateurs.

    Dans un documentB34 en date du 1er novembre 1734, M. St. Ovide a écrit à l'autorité française et révélé ce qui suit au sujet à l'importance de Barthélemy (extraits des folios 139 - 139v) :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC de Barthélemy PetitpasExtrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC de Barthélemy Petitpas Extrait transcription libre : J'avois eu l'honneur de vous marquer l'année dernière que j'avais retenu M. L'abbé Bierne pour tacher de lui faire aprendre l'idiome miquemaque, mais ce missionnaire n'a pu y parvenir, n'ayant eu personne pour lui aprendre, ayant été obligé de nous servir du nommé Barthelemy Petit-pas interprète, pour servir de pilote au battiment [bâtiment] que nous avions envoyé à la Nouvelle York.

    Un autre documentB35 daté le 3 novembre 1734 stipule la situation financière de Barthélemy Petitpas et lui étant avec le missionnaire à Mirliguech dans Labrador (folios 90 - 90v) :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur Petitpas, BarthélemyExtrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur Petitpas, Barthélemy Extrait transcription libre : Le nommé Barthelemy Petit Pas [Petitpas] interprète nous à representé qu'il ne pouvait pas non plus subister n'y entretenier sa famille avec 300. # d'appointement qui lui sont accordés, nous voulont assurer monseigneur que les diffairents besoin qu'on en à pour le service, ne lui permettrer pas de pouvoir vacquer à aucune autre affaire. Cet interprète commendait ci des ans des battiments, ce qu'il lui donnait sufficement de qoui vivres, il a tout quitté sur le promesses que nous lui avons faites qu'il aurait lieu d'être content, il n`y à pas dàutre Sujet ici propre pour cet emploi, et il est actuellement à Mirliguech dans Labrador ou il passera l`hiver avec le missionnaire des Sauvages pour lui aprendre la langue.

    Un autre documentB36 daté du 3 novembre 1734 a la réponse du ministre. La première page a une date du 25 janvier 1735 qui semble être lorsque le document a été reçu dans la colonie de l'île Royale. Il indique l'augmentation de salaire pour Barthélemy Petitpas qu'a été approuvé et a doublé à 600 livres (folios 12v - 13).

    Ce documentB37 daté du 5 novembre 1734, dit l'interprète (Barthélemy Petitpas) est resté à la mission de Mirliguèche dans Labrador avec le Père Saint-Vincent de lui enseigner la langue indienne (folios 211 - 211v) :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur Petitpas, BarthélemyExtrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC sur Petitpas, Barthélemy Extrait transcription libre : M. de St. Ovide ayant destiné M. L'abbé Saint Vincent Misssioanire venu cette annné par le vaisseau du Roi, pour desservir la mission de Mirliguèche dans Labrador. Jai fais delivrer à ce missionaire a la demande de M. St. Ovide les secours donc il a eu besoins pour létablir dans cette mission , ainsi que ce qui a été necessaire pour lìnterprête qui doit demeurer avec lui a fin de lui apprendre la langue des Sauvages, ils sont partis lùn et làutre pour resider dans cette mission. Le Sieur [L'abbé] Byrne aumônier que M. de St. Ovide avait engagé l'année dernier pour des desservir les Sauvages a quitté ce service.

    En 1735 après l'arrivée de Père Maillard, dans une lettreH9 le Père Vincent-Saint a écrit de l'interprète pour les Indiens ceci :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez Le Musée de la Civilisation - Séminaire de Québec à propos Barthélemy Petitpas Interprète des Indiens

    Ci-dessus transcription libre : Ce me semble, j'oubliois de vous dire que je nay eu d'interprette que trois mois de temps. Je nay plus apprit avec mes sauvages qu'avec lui. J'espère que mon frère Maillard en faira de même.

    Les trois documents ci-dessus B35, B36 et B37 sorts différemment l'endroit où Barthélemy Petitpas a passé l'hiver de 1734 -1735. C'est comme Mirliguèche et Mirliguech dans Labrador qui est dans la colonie de l'île Royale (aujourd'hui - Cap-Breton). Labrador a été le lac Bras d'Or dans l'Île du Cap-Breton. Aujourd'hui, la place Mirliguèche / Mirliguech est dénommée Malagawatch près du lac Bras d'Or au Cap-Breton. En outre, les Français avaient nommé un village en Acadie (Nouvelle-Écosse). Mirliguèche qui a été rebaptisé Lunenburg.

    Un documentB38 chez BAC (folios 28 - 28v) fait référence au village de Mirligueche en Acadie (Nouvelle-Écosse). Dans ce document daté décembre 1716 « le nommé Petitpas » a raconté son histoire de 80 ans à Jacques L'Hermitte. Ironie du sort pour le thème de cette présentation et ses recherches, il y a une possibilité que « le nommé Petitpas » racontant l'histoire n'est pas Claude Petitpas II, mais il est l'un de ses frères. Ses parents, son père Claude Petitpas I et sa mère Catherine Bugaret a également eu huit fils. L'autorité française qui à un moment ou un autre peut avoir appelé les frères de Claude Petitpas II comme « le nommé Petitpas ».
    Bien sûr comme découvert pendant cette recherche Nicolas Petitpas le fils de Jacques Petitpas qui est le frère de Claude Petitpas II et certains de ses fils avaient été dénommés « le nommé Petitpas » :

    Extrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC - le nommé Petitpas a raconté son histoire de 80 ans à Jacques L'Hermitte au sujet du havre de MirliguècheExtrait avec un lien hypertexte vers un document en ligne à BAC - le nommé Petitpas a raconté son histoire de 80 ans à Jacques L'Hermitte au sujet du havre de Mirliguèche Extrait transcription libre : Le nommé Petitpas petit fils d'un nommé Bernard du Gueret [Bugaret] dit St. Martin natif de Bordeaux établi à Mirligueche entre LaHeve et Chibouctou côte de l'Acadie par Monsieur de la Compagnie il y a environ quatre-vingts ans, ce havre [havre à l'île de Sable] lui fut donné en concession par le Roi dont les papier en sont enregistres au greffe de Canada, il dit que les Portugais venant pour établir le Cap Breton avec des navires et chargés de bestiaux de toutes espèces se perdirent sur L'île de Sable et que M. Delaunay de Rasilly governeur pour lors à l'Acadie ayant su qu'il y avait des navires qui s'y etaient perdus il y envoya faire faire une cabane qu'il y arma d'armes, poudres et balles et autre provisions débouche en cas de perte de qulques autres navires, il a entretenu ce magasin pendant 20 années du depuis il n'avoit point été permis a aucun nation d'y faire la tuerie que pour leur besoins. Il n'y a que depuis cette dernière paix que les Anglois qui font la pêche y vont lorsquìls voyent un tems propre, les françois en font de même, j'ai parlé à deux qui y on tues des boeufs cette année, même le fils du dit Petitpas y en a tues quatre, et un sauvage qui en avait blessé un, le boeuf fut sur lui et lui cassa l'épaule.

  26. Résumé court pour saluer les vies de Claude II et son plus vieux fils Barthélemy
    Il est à espérer que la recherche de l'information ici permet surtout de reconnaître et de saluer les vies de Claude Petitpas II et son fils aîné Barthélemy.

    Claude Petitpas II était un Acadien qui est devenu un Mi'kmaq par le mariage. Il a épousé Marie-Thérèse, une Mi'kmaq amérindienne. Ils ont eu trois filles et quatre fils qui apparaissent sur le recensement de 1708 des Indiens. Puis en 1708, Françoise Petitpas était de 2 ans, Marie-Louise Petitpas 7, Judith Petitpas 15, Isidore Petitpas 5, Joseph Petitpas 9, Paul Petitpas 13 et Barthélemy Petitpas 21.

    Les quatre fils du deuxième mariage de Claude Petitpas II à Françoise Lavergne (La Vergne) étaient nommés Jean Petitpas, Jacques Petitpas, Louis Petitpas et Joseph Petitpas. Leurs âges étaient d'environ 10, 8, 6 et 1 lorsque Claude Petitpas II est décédé en 1732.

    Claude Petitpas II et ses quatre premiers fils étaient très bien aimés et influents dans la communauté Mi'kmaq. Ce fut une grande préoccupation pour la France et une menace apparente pour leurs intérêts coloniaux. Isidore Petitpas a été exilé en 1722, Joseph et Paul Petitpas en 1728 par la France.

    Finalement, Claude Petitpas II a déménagé à la colonie française de l'île Royale (Île du Cap Breton) qui a été créé par la France après le traité d'Utrecht de 1713. L'exil de ses deux fils en 1728 a mis fin au souhait de Claude Petitpas II à retourner à la Nouvelle-Écosse d'être là avec son peuple, les Mi'kmaq. Barthélemy a déménagé à la colonie française de l'île Royale un peu de temps après le traité d'Utrecht. Claude Petitpas II est devenu interprète officiel de la France pour les Indiens. Après sa mort en 1732 son fils Barthélemy a été nommé. Selon la France, Barthélemy Petitpas avait une parfaite maîtrise de la langue Mi'kmaq et de la langue Amalécite [Malécite] , et avait toutes les qualités nécessaires pour être un bon interprète. Bien sûr aussi, il parlait couramment l'anglais et le français. Barthélemy a été capturé en 1745 par la Grande-Bretagne et sa force coloniale. Il est mort (a été mis à mort selon le père Maillard) dans un cachot de Boston au mois de janvier de l'année 1747.

    François BigotA19 était le commissaire ordonnateur à l'île Royale. Plus tard dans sa carrière, il était nommé intendant de la Nouvelle-France. Dans une letterB39 datée du 7 septembre 1748 au ministre, il a écrit (folio 283) ceci concernant Barthélemy Petitpas :

    Extrait hyper lié d'un document en ligne chez BAC - Letter de François Bigot au ministre à propos Barthélemy Petitpas l'Interpreter for the Indians Extrait transcription libre : j'y ai employé le S. Bourdon pour interprette des Sauvages. Le nommé Petitpas qui l'etoit, étant mort à Baston. Cet officier a été passer son hiver dans le bois avec les Micmacs pour se fortifier dans leur langue.

    Dans le dernier paragraphe de la biographie de Barthélemy il est dit : « Les 12 dernières années de la vie de Barthélemy Petitpas demeurent obscures. Nous ne savons pas dans quel sens il exerça son influence auprès des Micmacs ni quels furent ses rapports avec les autorités coloniales. ». Bien sûr de l'information présentée dans cette recherche pour
    « Les Nommés Petitpas »; nous savons que la vie de Barthélemy Petitpas n'était pas obscure pour les 12 dernières années de sa vie. Il a été l'interprète des Indiens officielle pour la France dans la colonie de l'île Royale.

    Barthélemy a servi d'une façon ardente et très loyale en continu pour l'effort de la France en l’Amérique du Nord. Cet homme natif de Mi’kma’ki (Acadie), Barthélemy Petitpas a payé le prix ultime en passant les derniers mois de sa vie dans un cachot. Ce fut dans une façon cruelle et biaisée de la part de la Grande-Bretagne et son armée coloniale au mois de janvier de l'année 1747.

    À l'égard de leurs vies et histoires, leurs biographies et les faits historiques écrits à leurs sujets et tous « Les Nommés Petitpas » devraient être un reflet exact de ce qui s'est réellement arrivé.

Auteur - Un Nommé Petitpas
© 2008

Je me souviens - I remember     

SOURCE A

Dictionnaire biographique du Canada en ligne / Dictionary of Canadian Biography Online

Biographies disponible en ligne chez DBC : http://www.biographi.ca/index-f.html
Biographies available at DCB online: http://www.biographi.ca/index-e.html

Claude Petitpas IIA1, Barthélemy PetitpasA2, Charles de, Marquis de BeauharnoisA3, Charles LawrenceA4,
Pierre Antoine Simon MaillardA5, Thomas PichonA6, Henri Raymond CasgrainA7, Comte de RaymondA8, Michel Le Courtois de SurlavilleA9, M. de St. OvideA10, Charles de saint-Étienne de la Tour IIA11, M. de BourvilleA12, M. de PensensA13, M. de VaudreüilA14, Père / Father GaulinA15, Père / Father Félix PainA16, Philippe de Pastour de CostebelleA17, Étienne BâtardA18, François BigotA19

SOURCE B

Bibliothèque et Archives Canada / Library and Archives Canada

http://www.collectionscanada.gc.ca
Recherche dans la collection / Collection Search :
https://www.bac-lac.gc.ca/fra/recherchecollection/Pages/recherchecollection.aspx
https://www.bac-lac.gc.ca/eng/collectionsearch/Pages/collectionsearch.aspx

No d’identification / Item ID No. : 2477194B1, 2478273B2, 3071301B3A, 3068727B3B, 3071304B4, 2456262B5, 3069432B6, 2457029B7,
24830652B8 Ringuet, I. (1999). Les stratégies de mobilité sociale des interprètes en Nouvelle-Écosse et à 1'Ile Royale, 1713 -1758 (thesis / thèse, (M.A.) - Université de Moncton). P.33.B8a P.72.B8b P.73.B8c P.98.B8d
2778927B9, 3054390B10, 2319411B11, 2319415B12, 2319420B13, 2319420B14, 2456286B15, 2456299B16, 2456283B17, 2456398B18, 3049715B19, 2456302B20, 2456331B21, 2456788B22, 2456530B23, 2456182B24, 2457029B25, 3041969 (Note: Not Online / Pas en ligne) B26, 3112749B27, 3066670B28, DocumentB29: MG8, A1 série 1, Vol. 7, p. 170-177, 1722 octobre 17, [Mémoire de MM. de Vaudreuil et Bégon au conseil de marine – envahissement des terres des Sauvages par les Anglais…], bobine C-13575.,
112633B30
B30a * Série E. Services administratifs, 1722 page 199 (MG 6, C 1, série E, liasse 351, pages 92-219)
B30b * Série E. Services administratifs, 1722 page 215 (MG 6, C 1, série E, liasse 351, pages 92-219)
B30c * Série E. Services administratifs, 1723 pages 11 & 12 (MG 6, C 1, série E, liasse 352, pages 1-147)
B30d * Série E. Services administratifs, 1723 page 131 (Du Pas ?) (MG 6, C 1, série E, liasse 352, pages 1-147)
B30e * Série E. Services administratifs, 1728 page 158 (MG 6, C 1, série E, liasse 357, pages 122-203)
B30f * Série E. Services administratifs, 1729 page 3 (MG 6, C 1, série E, liasse 358, pages 1-61)
B30g * Série E. Services administratifs, 1730 pages 142 & 143 (MG 6, C 1, série E, liasse 359, pages 62-158)
B30h * Série E. Services administratifs, 1730 page 145 (MG 6, C 1, série E, liasse 359, pages 62-158)
112632B31
B31a * Série E. Services administratifs, 1722 page 52 (MG 6, C 1, série E, volume 100, pages 1-64)
B31b * Série E. Services administratifs, 1727 page 21 (MG 6, C 1, série E, volume 110, pages 1-47)
B31c * Série E. Services administratifs, 1727 page 22 (MG 6, C 1, série E, volume 110, pages 1-47)
B31d * Série E. Services administratifs, 1728 page 93 (MG 6, C 1, série E, volume 111, pages 48-144)
B31e * Série E. Services administratifs, 1728 pages 98 & 99 (MG6, C 1, série E, volume 111, pages 1-147)
B31f * Série E. Services administratifs, 1729 pages 115, 116 & 117 (MG6, C 1, série E, volume 113, pages 109-196)
B31g * Série E. Services administratifs, 1729 pages 183 & 184 (MG6, C 1, série E, volume 113, pages 109-196)
2319433B32, 2458547B33, 2457159B34, 2457148B35, 2457135B36, 2457184B37, 2469237B38, 2458257B39
Other / Autre: 2457135 - folio 12v & 13, 2457136 - folio 20v, 2457148 - folio 90 & 90v

SOURCE C

L'Histoire Et Les Histoires / The History and the Stories - Le Centre D'Études Acadiennes de l'Université de Moncton

http://www.umoncton.ca/umcm-ceaac/node/40
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L'Histoire / History → 3 → William ShirleyC1
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L'Histoire / History → Les Familles / Families → Petitpas → Fichiers Afficher / Files Slideshow → Page 5 de / of 9 → DocumentC3
L'Histoire / History → Recherche / Search → 1694 → enregistrementC4

SOURCE D

Google Recherche de livres / Google Books Search

Der1Hannay, James , (1879). The History of Acadia: From Its First Discovery to Its Surrender to England by the Treaty of Paris, St. John, N. B.: Printed by J. & A. McMillan. 308.
Français : http://books.google.ca/books?id=1KsOAAAAYAAJ&hl=fr
English : http://books.google.ca/books?id=1KsOAAAAYAAJ&hl=en

Der2Smith, Philip Henry, (1884). Acadia - A Lost Chapter in American History, Pawling N. Y.: The author. 116.
Français : http://books.google.ca/books?id=XK8NAAAAQAAJ&hl=fr
English : http://books.google.ca/books?id=XK8NAAAAQAAJ&hl=en

Der3Corcoran James Andrew, Ryan Patrick John, Prendergast Edmond Francis, (1884). The American Catholic Quarterly Review, Philadelphia: Hardy and Mahony. 599.
Français : http://books.google.ca/books?id=95INAQAAIAAJ&hl=fr
English : http://books.google.ca/books?id=95INAQAAIAAJ&hl=en


Notes : Les deux livres cités précédents Der2 et Der3 ont la même erreur que livre Der1 qui était utilisé par les auteurs comme une référence. Suivant est un extrait de phrase erronée du livre Der1 concernant à l'Article XIV du traité d'Utrecht :

Hyperlien pour de la page 308 d'un livre que Google a numérisé et a été publié en  1879. Le titre du livre est : The History of Acadia: From Its First Discovery to Its Surrender to England by the Treaty of Paris.

Ci-dessus transcription libre : By the fourteenth article of the treaty of Utrecht, it was stipulated "that the subjects of the King of France may have liberty to remove themselves within a year to any other place, with all their movable effects. But those who are willing to remain, and to be subject to the King of Great Britain, are to enjoy the free exercise of their religion according to the usages of the church of Rome, as far as the laws of Great Britain do allow the same."

Il pouvait difficilement être connu maintenant, l'origine de la source de l'erreur. Toutefois, il semble que les auteurs du livre Der3 n'avait rien de bon à dire au sujet de l'auteur du livre Der1. Sur la page 595 de leur livre, il dit : « Hannay, whose " History of Acadia " is one of the most monstrous and barefaced perversions of history that we have ever seen ».

Blanchet, J. [ED], (1884). Collection de Manuscrits Relatifs à la Nouvelle-France Vol. IIID1, Québec: A. COTÉ ET. 28-31, 34-39, 70-72 & 379.
Français : http://books.google.ca/books?id=tCoOAAAAQAAJ&hl=fr
Anglais : http://books.google.ca/books?id=tCoOAAAAQAAJ&hl=en

Aucun auteur publié (Les deux premières des quatre morceaux d'écriture sont attribuées à Pierre Antoine Simon Maillard), (1758). An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets Savage Nations, Now Dependent on the Government of Cape-BretonD2, London : Printed for S. Hooper and A. Morley. 64-65.
Français : http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
Anglais : http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=en#v=onepage&q&f=false

Pichon, Thomas, (1760). Lettres et mémoires pour servir à l'histoire naturelle, civile et politique du Cap BretonD3A, La Haye: Pierre Gosse. 129, 133-134.
Français : http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
Anglais : http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=en#v=onepage&q&f=false

D3BPichon, Thomas, (1760). Genuine Letters and Memoirs, Relating to the Natural, Civil, and Commercial History of the Islands of Cape Breton, and Saint John, London: J. Nourse. 163.
Français : http://books.google.ca/books?id=6TQVAAAAQAAJ&hl=fr&printsec=frontcover&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false
English : http://books.google.ca/books?id=6TQVAAAAQAAJ&hl=en&printsec=frontcover&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

Casgrain, Henri Raymond, (1897). Les sulpiciens et les prêtres des Missions-étrangères en AcadieD4, Québec: Pruneau & Kironac. 437 & 439.
Français : Livre numérisé par Google et sur le site Internet Archive: http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
Anglais : Book digitized by Google and on the Internet Archive Website: http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=en#v=onepage&q&f=false

Drake, Samuel G., (1870). Five Years French and Indian WarD5, Albany: Joel Munsell. 41-44.
Français : http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
Anglais : http://books.google.ca/books?id=-AcOAAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=en#v=onepage&q&f=false

Lettre de M. l’abbé Maillard sur les missions de l’Acadie et particulièrement sur les missions micmaquesD6, D6a, D6b, D6c, D6d, D6e à Madame De Drucourt (avec la lettre de deux ans envoyé à M. de Lalane le supérieur à Paris), Les soirées canadiennes; recueil de littérature nationale (Québec), III (1863), 289–426
Français: https://books.google.ca/books?id=UswOAAAAYAAJ&hl=fr
Anglais : https://books.google.ca/books?id=UswOAAAAYAAJ&hl=en

D7Ontario, (1778). Statutes, Documents and Papers Bearing on the Discussion Respecting the Northern and Western Boundaries of the Province of Ontario, Including the Principal Evidence Supposed to be Either for Or Against the Claims of the Province, Toronto: Hunter, Rose & Company. 17.
Français : http://books.google.ca/books?id=hNwnAAAAYAAJ&hl=fr
English : http://books.google.ca/books?id=hNwnAAAAYAAJ&hl=en

D8Akins, Thomas Beamish (Nova Scotia. Commissioner of Public Records), (1869). Selections from the Public Documents of the Province of Nova Scotia: Published Under a Resolution of the House of Assembly Passed March 15, 1865, Halifax N. S.: Charles Annand. 84, 87, 88, 173, 174, 189 - 192, 236, 237, 264 - 267 & 278.
Français : http://books.google.ca/books?id=hNwnAAAAYAAJ&hl=fr
English: http://books.google.ca/books?id=hNwnAAAAYAAJ&hl=en

D9Pennsylvania, (1851). Minutes of the Provincial Council of Pennsylvania: From the Organization to the Termination of the Proprietary Government. [Mar. 10, 1683-Sept. 27, 1775], Volume 7, Pennsylvania: State. 239 - 241.
Français : http://books.google.ca/books?id=qiYWAAAAYAAJ&hl=fr
English :http://books.google.ca/books?id=qiYWAAAAYAAJ&hl=en

D10Haliburton, Thomas Chandler, (1829). An Historical and Statistical Account of Nova-Scotia, Volume 1, Halifax N. S.: Joseph Howe. 183 - 195 & 196.
Français : http://books.google.ca/books?id=eg6gqfp1_U8C&hl=fr
English : http://books.google.ca/books?id=eg6gqfp1_U8C&hl=en

D11Gardin Dumesnil, Jean Baptiste, (1825). Latin Synonyms, With Their Different Significations: And Examples Taken From The Best Latin Authors, London: G.B. Whittaker. 529.
Français : https://books.google.ca/books?id=blhFAAAAYAAJ&hl=fr
English: https://books.google.ca/books?id=blhFAAAAYAAJ&hl=en

D12Site Web Google Traduction pour les mots latins « subditi » et « subesse » / Google's Translation Website for the Latin words "subditi" and "subesse" :
D12aSubditi Anglais : https://translate.google.ca/?sl=la&tl=en&text=subditi&op=translate
D12bSubditi Français : https://translate.google.ca/?hl=fr&sl=auto&tl=fr&text=subditi&op=translate
D12cSubesse Anglais : https://translate.google.ca/?sl=la&tl=en&text=subesse&op=translate
D12dSubesse Français : https://translate.google.ca/?hl=fr&sl=auto&tl=fr&text=subesse&op=translate

SOURCE E

Notre mémoire en ligne (NML) / Early Canadiana Online (ECO)

Nota : « Canadiana en ligne a également intégré la défunte collection Notre mémoire en ligne (ECO) » / "Canadiana Online also includes all content in the closed Early Canadiana Online (ECO)"
Canadiana en ligne : http://www.canadiana.ca/?usrlang=fr
Canadiana Online: http://www.canadiana.ca/?usrlang=en
DocumentE1 p.6
En ligne : http://www.canadiana.ca/view/oocihm.9_03428/35?r=0&s=1&usrlang=fr
Online: http://www.canadiana.ca/view/oocihm.9_03428/35?r=0&s=1&usrlang=en
DocumentE2 p.61
En ligne : http://www.canadiana.ca/view/oocihm.41706/63?r=0&s=1&usrlang=fr
Online: http://www.canadiana.ca/view/oocihm.41706/63?r=0&s=1&usrlang=en
Bobine C-9292E3 - Voir les images 1237 à 1247 (pages 79-89).
En ligne : https://heritage.canadiana.ca/view/oocihm.lac_mikan_100116?usrlang=fr
Bobines C-12879, C-12876 & C-12877E4
En ligne : https://heritage.canadiana.ca/view/oocihm.lac_mikan_100008?usrlang=fr
Voir bobine C-12879 - image 1876 pour la dernière lettre (145) trouvée à propos d'Isidore Petitpas datée du 3 octobre 1730.

SOURCE F

Nouvelle-France Horizons Nouveaux / New France New Horizons

En ligne: "http://www.bac-lac.gc.ca/fra/decouvrez/exploration-colonisation/nouvelle-france-horizons-nouveaux/Pages/maintenir.aspx#3
Online: http://www.bac-lac.gc.ca/eng/discover/exploration-settlement/new-france-new-horizons/Pages/survival.aspx
DocumentF1 p.65
En ligne: http://www.bac-lac.gc.ca/eng/discover/exploration-settlement/new-france-new-horizons/Documents/Survival/traite_treaty_utrecht.pdf
Online: http://www.bac-lac.gc.ca/eng/discover/exploration-settlement/new-france-new-horizons/Documents/Survival/traite_treaty_utrecht.pdf
DocumentF2
En ligne: https://www.bac-lac.gc.ca/eng/discover/exploration-settlement/new-france-new-horizons/Documents/Survival/edit-edict-queen-reine-anne.pdf
Online: https://www.bac-lac.gc.ca/eng/discover/exploration-settlement/new-france-new-horizons/Documents/Survival/edit-edict-queen-reine-anne.pdf
DocumentF3
En ligne: http://www.champlain2004.org/html/12/1208_f.html
Online: http://www.champlain2004.org/html/12/1208_e.html
Document
Dossier / File (Article 1-1174)F4: http://collectionscanada.gc.ca/pam_archives/index.php?fuseaction=genitem.displayItem&lang=fre&rec_nbr=3115264&rec_nbr_list=3115264
FF200F4f: http://data2.collectionscanada.ca/e/e068/e001694806.jpg
DocumentF5: http://nouvelle-france.org/fra/Pages/item.aspx?IdNumber=31524&
Page 4: http://data2.collectionscanada.ca/champlain/france4/DAFCAOM03_G1_466_12.jpg
Page 16: http://data2.collectionscanada.ca/champlain/france4/DAFCAOM03_G1_466_23.jpg

SOURCE G

L' Institut de Louisbourg - Site officiel de recherche sur la Forteresse-de-Louisbourg / Louisbourg Institute - The Official Research Site for the Fortress of Louisbourg

En ligne : Le lien du site Web est brisé et son contenu est introuvable ou n'existe plus.
Online: The Website link is broken and its content cannot be found or no longer exists.
DocumentG1, DocumentG2, DocumentG3, DocumentG4, DocumentG5, DocumentG6, DocumentG7, DocumentG8

SOURCE H

Massachusetts Archives Collection (1629 - 1799) Search

DocumentH1 Date de Recherche début et fin: 11-02-1744 / Search start & ending date: 11-02-1744
http://www.sec.state.ma.us/ArchivesSearch/RevolutionarySearch.aspx

Bibliothèque Public / Public Library

DocumentH2
Coleman, Emma Lewis. (1925) New England Captives Carried to Canada Between 1677 and 1760 During the French and Indian Wars, Volume One. Portland Maine: The Southworth Press. P.97. P.98.

Project Gutenberg

http://www.gutenberg.org/wiki/Main_Page
DocumentH3
http://www.gutenberg.org/files/15567/15567-h/15567-h.htm

Nouvelle-Écosse Canada / Nova Scotia Canada

DocumentH4, H4a
En ligne : http://novascotia.ca/archives/acadian/archives.asp?ID=1351
Online: http://novascotia.ca/archives/acadian/archives.asp?ID=1351

New York State Library Cultural Education Center

DocumentH5 O'CALLAGHAN, E. B. Documents Relative to The The Colonial History of The State of New York, Volume IX, Albany: Weed, Parsons & Compony. PP. 909-912.
Note: Translation of documents collected by Brodhead in 1841 / Traduction des documents que Brodhead a recueilli en 1841

MUSÉE DE LA CIVILISATION - Le Centre de référence de l'Amérique française

DocumentH6
En ligne : https://www.mcq.org/fr/informations/mcq
Online: https://www.mcq.org/en/informations/mcq

The Newberry Library, 60 W. Walton St. - Chicago, IL - 60610, U.S.A.

Online / En ligne: http://www.newberry.org/genealogy/canadiancensus.html
DocumentH7 File downloaded / Fichier téléchargé: Ayer-MS-751-(VAULT)-Recensement-gen--fait-au-mois-de-novembre-mile-sept-cent-huit-de-tous-les-sauviages-,-pg.-17.jpg

Memorial University's Digital Archives Initiative Website of Newfoundland

En ligne / Online : http://collections.mun.ca/cdm4/document.php?CISOROOT=/cns&CISOPTR=41545&CISOSHOW=41534&REC=13
DocumentH8 Great Britain. (1713) Treaty of Utrecht (1713) - Tractatus pacis & amicitiae [...] conclusus Trajecti ad Rhenum die 31 Martii /|c11 Aprilis, anno 1713 = Treaty of peace and friendship [...] concluded at Utrecht the 31/11 day of March/April 1713. London Great Britain: John Baskett. P.74, Article XIV translation from Latin to English
Fichier téléchargé / File downloaded (.pdf - 16.97 MB/Mo): http://collections.mun.ca/PDFs/cns/TractatusPacisAndAmicitiae.pdf

MUSÉE DE LA CIVILISATION - Le Centre de référence de l'Amérique française - Les missions - Le rayonnement spirituel - Séminaire de Québec

En ligne / Online : https://collections.mcq.org/objets/287844
DocumentH9 - Lettre datée 1735.
MENTION OBLIGATOIRE : Musée de la civilisation, fonds d'archives du Séminaire de Québec
DESCRIPTION: Lettre de l'abbé de Saint-Vincent, missionnaire à Louisbourg, à l'abbé Jacques-Charles de Brisacier, supérieur du Séminaire des Missions étrangères à Paris, au sujet des moeurs des Micmacs, de ce qu'il leur enseigne, de la visite de missionnaires et de certaines demandes qu'il lui fait.
En ligne / Online : https://mcq-cdn.org/VIGNETTE/EPSON3/2015/2015-09-17/missions-no6a_p7_v.jpg

Nota : En septembre 2015, le lien du site Web a été désactivé car il est brisé et son contenu est introuvable ou n'existe plus - trouvé et activé en octobre 2019. / In September 2015, the Website link was disabled because it is broken and its content cannot be found or no longer exists - found and enabled in October 2019.

Nova Scotia Archives

En ligne / Online : http://novascotia.ca/archives/virtual/Mikmaq/archives.asp?ID=611
DocumentH10
http://novascotia.ca/archives/virtual/Mikmaq/archives.asp?ID=611

Archives nationales d'outre-mer at Aix-en-Provence France

En ligne / Online : http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/anom/en/index.html
DocumentH11
http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/ark:/61561/zn401qopsmf.num=20.q=Petitpas

Une nommée Petitpas

DocumentH12
http://l.n.p.50webs.com/ref-h12.html

l’Université d’Ottawa - Compendium de l’aménagement linguistique au Canada (CALC) / University of Ottawa - Compendium of Language Management in Canada (CLMC)

Traité de Paris (1763) - voir ARTICLE 4 / Treaty of Paris (1763) - see ARTICLE 4
TranscriptionH13
https://www.uottawa.ca/calc/traite-paris-1763 - ilob@uOttawa.ca - Édité par la Professeure M. Jezak - ilob@uOttawa.ca - Le site a été consulté 2019-10-27. / https://www.uottawa.ca/clmc/treaty-paris-1763 - ilob@uOttawa.ca - Edited by Professor Monika Jezak - The site was accessed 2019-10-27.

Warren A. Perrin

BiographieH14
http://www.acadianmuseum.com/biography.html

PétitionH15
THE PETITION TO OBTAIN AN APOLOGY FOR THE ACADIAN DEPORTATION: "WARREN A. PERRIN, ET AL. VERSUS GREAT BRITAIN, ET AL."
Traduction libre :
LA PÉTITION POUR OBTENIR DES EXCUSES POUR LA DÉPORTATION DES ACADIENS : « WARREN, ET AL. CONTRE LA GRANDE BRETAGNE, ET AL. »
http://1755.ca/perrin/perrin.htm
*1Au paragraphe 6 de la pétition de Warren Perrin, il y a une référence à la pétition de 1760 par les Acadiens au roi George II de la Grande-Bretagne.

La Proclamation royale de 2003H16
Désigné le 28 juillet de chaque année comme une commémoration du "Grand Dérangement" et il a commencé le 28 juillet 2005.
Société Nationale de l’Acadie (SNA) http://snacadie.org/
https://snacadie.org/images/PDF/4.3.1_-_Proclamation_Royale.pdf
The Acadian Museum http://www.acadianmuseum.com/
http://www.acadianmuseum.com/photoalbum.html

Le Juge, Jonathan Belcher

TranscriptionH17
L'avis du juge en chef de la Nouvelle-ecosse concernant la deportation des Acadiens/The opinion of the Chief Justice of Nova Scotia regarding the deportation of the Acadians..
The Free Library. 2011 Faculty of the Common Law Section, University of Ottawa 17 Oct. 2014
http://www.thefreelibrary.com/L'avis+du+juge+en+chef+de+la+Nouvelle-ecosse+concernant+la...-a0290520550

Archives départementales de la Charente-Maritime

Archives de l'hôpital royal de RochefortH18
http://www.archinoe.net/v2/ad17/registre.html
http://www.archinoe.net/v2/ad17/visualiseur/registre.html?id=170040229
Vue 104H18a : http://www.archinoe.net/v2/ark:/18812/186292b5db653b55460bda7003c0c3c0
Vue 108H18b : http://www.archinoe.net/v2/ark:/18812/9aca242ce32e7d21d780659b58fd7683
http://www.archinoe.net/v2/ad17/visualiseur/registre.html?id=170040230
Vue 344H18c : http://www.archinoe.net/v2/ark:/18812/aad54bebc17931a78a74260ed0a68af8
Nota : La source Web ci-dessus a été fournie par Stéphane Dallet et reçue par courriel en avril 2020.

L’Arche Musée et Archives de la Collectivité Territoriale de Saint-Pierre et Miquelon

ChroniqueH19
Le premier bulletin de "Le Foyer paroissial" a été publié le 1er janvier 1924. Émile SASCO était un homme reconnu. Il a beaucoup fait pour rassembler, conserver et établir les archives locales à Saint-Pierre et Miquelon. Il est décédé le 19 août 1944, sa biographie est une préface à la réédition de 1970 de sa publication de travail intitulée « Un peu de notre histoire ». L’Arche Musée et Archives de la Collectivité Territoriale de Saint-Pierre et Miquelon has that collection of Émile SASCO en ligne. La référence H19 en est deux extraits. Il s'agit du sort de Guillaume Petitpas qui s'est enfui à Saint-Pierre et Miquelon après le traité de Paris de 1763.

Acadian-Cajun Genealogy & History par Tim Hebert

Page Web - Exile Destination: Bristol, England [via Virginia]H20

Notes Supplémentaires

  1. Depuis l'écriture ci-dessus, la source à la page 98 de la thèse (cette référence de source de recherche : B8d) de l'auteur Isabelle Ringuet a été trouvée sur l'Internet comme :
    William C. WICKEN. (1994). Encounters with Tall Sails and Tall Tales : Mik’maq Society, 1500- 1760 (thèse, degree de Ph.D. - Montréal, Université McGill). p. 394.
    http://digitool.library.mcgill.ca/R/?func=dbin-jump-full&object_id=28551&local_base=GEN01-MCG02

    Sa note 43 (en bas de la page), à la page 394 dit ceci :
    43. Boston, MSA 123:205, Treasurer's Account, 31 May 1721 to 31 May 1722.
    No further records regarding him either in Massachusetts or Nova Scotia have
    been found. Emma Coleman who researched the Petitpas case confuses Isidore
    with his older brother Barthélemy who later died in prison in Boston. Emma
    Lewis Coleman, New England Captives Carried to Canada Between 1677 and
    1760 During the French and Indian Wars,
    vol. 2 (Portland 1926), pp. 97-98.”

    Dans sa thèse de 1994, William C. Wicken a conclu que la recherche effectuée par Emma Lewis Coleman de 1926 est erronée. Elle a confondu Isidore Petitpas avec son frère aîné Barthélemy Petitpas. Il semble que William C. Wicken n'indique pas comment il est arrivé à cette conclusion. De plus, d'après les informations tirées de sa thèse, il a étudié la biographie de Claude Petitpas II qui a été publiée dans le Dictionnaire biographique du Canada/Dictionary of Canadian Biography (DBC/DCB) volume II en 1969. Également, il semble qu'il n'a pas considéré comme matériel de recherche la biographie de Barthélemy Petitpas, publiée dans le (DCB/DBC) volume III en 1974. Si la biographie de Barthélemy Petitpas avait été revue, William C. Wicken aurait probablement rapidement conclu qu'il y avait des erreurs importantes. Bien entendu cela se serait produit environ 14 ans (2008-1994) plus tôt que la présente recherche (Les Nommés Petitpas) est arrivée à cette conclusion d'après les documents de recherche originaux.

    Comme indiqué ci-dessus, le livre de 1926 d'Emma Lewis Coleman a été utilisé comme une référence pour les biographies de Claude Petitpas II et de Barthélemy Petitpas à DBC/DCB.

    Comme on pouvait s'y attendre, ces biographies incorrectes continuent d'être utilisées par des chercheurs en généalogie ou en histoire.

  2. Depuis fin 2009, ce qui suit liste la plupart des mises à jour qui ont été incorporées pour cette présentation :

  1. Fin 2009, une copie numérique du recensement de novembre 1708 des Indiens de l'Acadie (page 17) pour la famille Indienne Petitpas
  2. Une traduction du latin à l'anglais du traité d'Utrecht article XIV qui a été comparée et annotée aux versions française et anglaise du même document.
  3. Des copies de plusieurs autres documents originaux sur « Les Nommés Petitpas » qui ont été transcrites et traduites.
  4. La présentation en anglais de « Les Nommés Petitpas » a été traduite en français. Les adresses sites Web des deux présentations sont : http://l-n-p.50webs.com/ & http://l.n.p.50webs.com/
  5. Changements à la table des matières de cette présentation qui comprend aussi cette section.
  6. En 2013, ce site a été mis à jour pour être conforme à la W3C HTML5.
  7. En mars 2019, ce site a été rendu adaptés aux mobiles.
  8. En novembre 2014, inséré après le point 3 deux nouveaux points (4 & 5) intitulés : « Continuation de Barthélemy Petitpas, William Shirley et le Traité d'Utrecht ».
  9. En octobre 2019, les hyperliens du site web ont été vérifiés et mis à jour, ce qui comprenait un extrait d'un livre publié en 1825 (D11) au point 3.
  10. En avril, juillet et août 2020, mise à jour du site Web. C’était avec de nouveaux documents sur les avis de décès de Joseph et Paul Petitpas, et concernant le sort de Guillaume Petitpas qui s’est enfui à Saint-Pierre et Miquelon après le traité de Paris de 1763. Des renseignements ont été inclus sur les frères de Guillaume, Paul et Pierre Petitpas.
  11. En septembre 2020, BAC a fermé son outil de recherche d’archives. Cela a causé des liens brisés pour "source B" des documents en ligne. Trente-cinq liens des documents ont été trouvés et réparer avec l'outil recherche dans la collection de BAC.
  12. En juin 2022, ce site Web a été mis à jour pour montrer que les microfilms C-9292, C-12879, C-12876 et C-12877 de BAC sont numérisés et disponibles en ligne.
  13. En octobre 2022, la référence D12 a été ajoutée.
  1. Comme indiqué précédemment, la méthode de correction et une procédure doivent être déterminés. La correction de ces erreurs à DBC/DCB en ligne, d'autres entités historiques et dans le domaine public sera apparemment difficile. Cependant, il semble qu'un début serait d'arrêter toute nouvelle propagation d'informations inexactes. Avec espoir, cette présentation « Les Nommés Petitpas » aidera à atteindre cet objectif.

Dernière mise à jour : 20221026